Ce jour de fin janvier, la météo hésite entre la grisaille de la veille et le franc soleil du lendemain. Qu'importe !
Du côté de la presqu’île de Saint-Jean-Cap-Ferrat, la balade est délicieuse.
Pas si facile, a priori, d'aborder ce gros village (quelque 1 500 habitants) situé entre Nice et Monaco. Avec des prix au mètre carré qui défient l'entendement, cette commune réputée être la plus chère de la Côte d'Azur, est un peu intimidante.
En outre, à la belle saison, l’ancien village de pêcheurs devenu un haut de lieu de villégiature après l'arrivée du train en 1868 et -surtout - avec celle, au début du XXe siècle, de riches familles étrangères, est pris d'assaut, tout comme les routes qui y mènent.
On comprend d'ailleurs que les touristes cèdent à son charme exceptionnel : non seulement Saint-Jean-Cap-Ferrat est, avec ses pins, ses cyprès, ses agrumes et ses palmiers, un écrin de verdure préservé, mais ses plages et ses criques sont propices à la baignade et il est aisé d'y pratiquer les sports nautiques.
Il est cependant bien plus facile de s'y rendre à l'automne, au printemps et surtout en hiver.
On peut alors s'y offrir en toute quiétude quelques-unes de ces randonnées qui ajoutent au charme de l’hiver azuréen.
Du côté de la presqu’île de Saint-Jean-Cap-Ferrat, la balade est délicieuse.
Pas si facile, a priori, d'aborder ce gros village (quelque 1 500 habitants) situé entre Nice et Monaco. Avec des prix au mètre carré qui défient l'entendement, cette commune réputée être la plus chère de la Côte d'Azur, est un peu intimidante.
En outre, à la belle saison, l’ancien village de pêcheurs devenu un haut de lieu de villégiature après l'arrivée du train en 1868 et -surtout - avec celle, au début du XXe siècle, de riches familles étrangères, est pris d'assaut, tout comme les routes qui y mènent.
On comprend d'ailleurs que les touristes cèdent à son charme exceptionnel : non seulement Saint-Jean-Cap-Ferrat est, avec ses pins, ses cyprès, ses agrumes et ses palmiers, un écrin de verdure préservé, mais ses plages et ses criques sont propices à la baignade et il est aisé d'y pratiquer les sports nautiques.
Il est cependant bien plus facile de s'y rendre à l'automne, au printemps et surtout en hiver.
On peut alors s'y offrir en toute quiétude quelques-unes de ces randonnées qui ajoutent au charme de l’hiver azuréen.
Saint-Jean-Cap-Ferrat : un littoral aux panoramas exceptionnels
Un paysage de rêve, même en hiver - DepositPhotos.com, edimur
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Sur place, dix kilomètres de sentiers parcourent le littoral, offrant des panoramas exceptionnels.
Ces sentiers forment plusieurs itinéraires différents. Selon son humeur et surtout sa forme, on en empruntera donc plusieurs ou l'on se contentera d'un seul.
Bien entendu, des guides de l'Office de Tourisme de Saint-Jean-Cap-Ferrat - comme, par exemple, Laureline Ribette l'a fait pour nous - peuvent accompagner les promeneurs.
On s'adressera à cet effet au bureau d'information touristique de Saint-Jean-Cap-Ferrat ou à l'Office Métropolitain de tourisme de Nice-Côte d'Azur dont il dépend.
Toutefois, on peut aussi, sans risque, tenter l'aventure tout seul, en se procurant, au préalable, le "Guide des sentiers" édité par l'OT de la ville (quai Virgile Allari).
Ces sentiers forment plusieurs itinéraires différents. Selon son humeur et surtout sa forme, on en empruntera donc plusieurs ou l'on se contentera d'un seul.
Bien entendu, des guides de l'Office de Tourisme de Saint-Jean-Cap-Ferrat - comme, par exemple, Laureline Ribette l'a fait pour nous - peuvent accompagner les promeneurs.
On s'adressera à cet effet au bureau d'information touristique de Saint-Jean-Cap-Ferrat ou à l'Office Métropolitain de tourisme de Nice-Côte d'Azur dont il dépend.
Toutefois, on peut aussi, sans risque, tenter l'aventure tout seul, en se procurant, au préalable, le "Guide des sentiers" édité par l'OT de la ville (quai Virgile Allari).
Saint-Jean-Cap-Ferrat : des randonnées pour tous
En hommage à Winston Churchill, Saint-Jean-Cap-Ferrat a installé cette statue sur un quai du port car le célèbre Premier ministre britannique fréquentait la Côte d'Azur et y a peint près de 150 toiles entre 1920 et 1965 (© PB)
Prenons, pour commencer, l'itinéraire le plus facile : la promenade Maurice Rouvier. Ce parcours de 1,3 km ne prend guère qu'une petite demi-heure.
Entièrement goudronnée et sans escaliers, accessible aux poussettes et aux personnes à mobilité réduite, cette promenade démarre face à la mairie avec une belle vue sur le port de Saint-Jean-Cap-Ferrat, la plage Cros deï Pin et la Pointe Saint-Hospice.
Une fois dépassée la pointe Fontettes, ce sont les îlots de la pointe Rompa-Talon qui s'offrent à la vue.
A droite, par temps clair, on aperçoit sur les hauteurs des falaises Eze et La Turbie tandis qu'en contrebas, la commune de Cap d'Ail se dessine le long du littoral. Le dernier cap fermant l'horizon est alors... l'Italie !
Arrivé place David Niven - cet acteur fut, jusqu'à sa mort, un inconditionnel de Saint-Jean-Cap-Ferrat -, il est possible, en prenant la petite traverse à gauche, de rejoindre la somptueuse Villa Ephrussi de Rothschild.
Cette villa aux façades roses entourée d'extraordinaires jardins mérite de lui consacrer une bonne demi-journée. Autant le savoir avant de se laisser tenter !
Elle est, à n'en pas douter, l'un des plus beaux domaines aménagés il y a un siècle lorsque Saint-Jean devint un des lieux de rendez-vous des riches étrangers. Cette vocation demeure d'ailleurs, tout comme persiste sur place une importante communauté russophone.
Le chemin se poursuit en longeant la Baie des Fourmis avec, à droite, la Villa Kérylos.
Devenu musée, ce joyau de la Riviera invite, lui, à un voyage au cœur de l'Antiquité grecque qui, lui aussi, mérite une demi-journée.
Si l'on a peu de temps, on restera donc prudemment sur la Promenade Maurice Rouvier, avant de rejoindre la plage de Beaulieu-sur-Mer et son port des Fourmis puis de revenir vers son point de départ...
Entièrement goudronnée et sans escaliers, accessible aux poussettes et aux personnes à mobilité réduite, cette promenade démarre face à la mairie avec une belle vue sur le port de Saint-Jean-Cap-Ferrat, la plage Cros deï Pin et la Pointe Saint-Hospice.
Une fois dépassée la pointe Fontettes, ce sont les îlots de la pointe Rompa-Talon qui s'offrent à la vue.
A droite, par temps clair, on aperçoit sur les hauteurs des falaises Eze et La Turbie tandis qu'en contrebas, la commune de Cap d'Ail se dessine le long du littoral. Le dernier cap fermant l'horizon est alors... l'Italie !
Arrivé place David Niven - cet acteur fut, jusqu'à sa mort, un inconditionnel de Saint-Jean-Cap-Ferrat -, il est possible, en prenant la petite traverse à gauche, de rejoindre la somptueuse Villa Ephrussi de Rothschild.
Cette villa aux façades roses entourée d'extraordinaires jardins mérite de lui consacrer une bonne demi-journée. Autant le savoir avant de se laisser tenter !
Elle est, à n'en pas douter, l'un des plus beaux domaines aménagés il y a un siècle lorsque Saint-Jean devint un des lieux de rendez-vous des riches étrangers. Cette vocation demeure d'ailleurs, tout comme persiste sur place une importante communauté russophone.
Le chemin se poursuit en longeant la Baie des Fourmis avec, à droite, la Villa Kérylos.
Devenu musée, ce joyau de la Riviera invite, lui, à un voyage au cœur de l'Antiquité grecque qui, lui aussi, mérite une demi-journée.
Si l'on a peu de temps, on restera donc prudemment sur la Promenade Maurice Rouvier, avant de rejoindre la plage de Beaulieu-sur-Mer et son port des Fourmis puis de revenir vers son point de départ...
Saint-Jean-Cap-Ferrat : l'étonnante Pointe Saint-Hospice
La Chapelle de la Pointe Saint-Hospice et sa Vierge monumentale (© PB)
La balade du côté de la Pointe Saint-Hospice est plus exigeante.
Certes, elle court seulement sur 1,8 km mais il faut emprunter un chemin pavé de pierres irrégulières. Elle demande quelque 40 minutes voire une heure si l'on visite la chapelle du même nom. Surtout, in fine, il faut monter des escaliers.
Le départ se fait au Jardin de la Paix. Après avoir suivi le sentier d'interprétation qui, en six stations, initie aux richesses de ce site littoral classé, on chemine dans une pinède (celle-ci accueille, l'été, le Festival de jazz) avant d'arriver à la Pointe du Colombier et son paysage de roches calcaires découpées qui se laisse volontiers admirer.
Un peu plus loin à gauche, une traverse permet d'accéder au sommet de la Pointe Saint-Hospice pour découvrir la chapelle du XIe siècle, agrandie par les ducs de Savoie successifs, qui est classée monument historique.
Juste à côté s'élance une impressionnante Vierge en bronze, haute de 11,4 mètres. Sculptée par l'Italien Tranquillo Galbusieri en 1903, elle a été réalisée à la demande d’un riche négociant niçois à la suite de la réalisation d’un vœu. C'est donc un ex-voto.
A côté de la chapelle, il y avait jadis un fort construit vers 1610 et rasé en 1706, sur ordre de Louis XIV après le siège de Nice.
Ces forts avaient été érigés à la demande du duc de Savoie Emmanuel-Philibert pour la défense des côtes du Comté de Nice après le siège de Nice de... 1543. Ils servirent aussi à protéger le littoral méditerranéen des raids des "Barbaresques" venant piller et enlever des esclaves.
Après la destruction du fort, une tour improprement appelée "tour génoise" fut construite à son emplacement, à côté de la chapelle.
En poursuivant la balade jusqu'à la Pointe, on aperçoit, à droite, Cap-Martin, Monaco et même l'Italie.
On poursuit ensuite par l'anse de la Scaletta qui abrite la plage de la Paloma. Puis, il faut monter une volée d'escaliers afin de rejoindre le chemin de Saint-Hospice et terminer cette boucle qui permet aussi d'apercevoir quelques belles villas, par exemple la villa Brasilia construite tout en courbes par Oscar Nemeyer. Ou la Villa Fiorentina édifiée en 1919 pour la comtesse de Beauchamp.
Certes, elle court seulement sur 1,8 km mais il faut emprunter un chemin pavé de pierres irrégulières. Elle demande quelque 40 minutes voire une heure si l'on visite la chapelle du même nom. Surtout, in fine, il faut monter des escaliers.
Le départ se fait au Jardin de la Paix. Après avoir suivi le sentier d'interprétation qui, en six stations, initie aux richesses de ce site littoral classé, on chemine dans une pinède (celle-ci accueille, l'été, le Festival de jazz) avant d'arriver à la Pointe du Colombier et son paysage de roches calcaires découpées qui se laisse volontiers admirer.
Un peu plus loin à gauche, une traverse permet d'accéder au sommet de la Pointe Saint-Hospice pour découvrir la chapelle du XIe siècle, agrandie par les ducs de Savoie successifs, qui est classée monument historique.
Juste à côté s'élance une impressionnante Vierge en bronze, haute de 11,4 mètres. Sculptée par l'Italien Tranquillo Galbusieri en 1903, elle a été réalisée à la demande d’un riche négociant niçois à la suite de la réalisation d’un vœu. C'est donc un ex-voto.
A côté de la chapelle, il y avait jadis un fort construit vers 1610 et rasé en 1706, sur ordre de Louis XIV après le siège de Nice.
Ces forts avaient été érigés à la demande du duc de Savoie Emmanuel-Philibert pour la défense des côtes du Comté de Nice après le siège de Nice de... 1543. Ils servirent aussi à protéger le littoral méditerranéen des raids des "Barbaresques" venant piller et enlever des esclaves.
Après la destruction du fort, une tour improprement appelée "tour génoise" fut construite à son emplacement, à côté de la chapelle.
En poursuivant la balade jusqu'à la Pointe, on aperçoit, à droite, Cap-Martin, Monaco et même l'Italie.
On poursuit ensuite par l'anse de la Scaletta qui abrite la plage de la Paloma. Puis, il faut monter une volée d'escaliers afin de rejoindre le chemin de Saint-Hospice et terminer cette boucle qui permet aussi d'apercevoir quelques belles villas, par exemple la villa Brasilia construite tout en courbes par Oscar Nemeyer. Ou la Villa Fiorentina édifiée en 1919 pour la comtesse de Beauchamp.
Pourquoi pas un tour complet du Cap Ferrat ?
Laureline Ribette, guide à l'Office de tourisme de Saint-Jean-Cap-Ferrat montre une photo de l'ancienne carrière de pierres qui se trouve au début du sentier faisant le tour du Cap Ferrat (© PB)
Plus exigeant, mais très attrayant, est le sentier qui fait le tour du Cap Ferrat, un cap qui abrite, dit-on, plus de 500 belles villas !
Long de 4,8 kilomètres, ce sentier-là demande 1h30 de marche et surtout, il est déconseillé, par l'Office de tourisme, aux personnes sujettes au vertige.
Il démarre sur le chemin de la Carrière, ainsi nommé en raison de la présence sur place d'une ancienne carrière dont furent extraits les blocs pour construire le port de Monaco.
On longe ensuite la côte en passant en contrebas du Grand Hôtel du Cap-Ferrat, a Four Seasons Hotel***** Palace et sa mythique piscine d'eau de mer, avant d'atteindre le phare et la pointe Malalongue.
Lorsque l'on est au pied du phare, on profite d'une vue exceptionnelle sur le cap de Nice et l'Estérel, par temps clair, bien sûr.
Ensuite, sur ce versant ouest de la presqu'île, les criques se succèdent jusqu'aux derniers escaliers du sentier.
Long de 4,8 kilomètres, ce sentier-là demande 1h30 de marche et surtout, il est déconseillé, par l'Office de tourisme, aux personnes sujettes au vertige.
Il démarre sur le chemin de la Carrière, ainsi nommé en raison de la présence sur place d'une ancienne carrière dont furent extraits les blocs pour construire le port de Monaco.
On longe ensuite la côte en passant en contrebas du Grand Hôtel du Cap-Ferrat, a Four Seasons Hotel***** Palace et sa mythique piscine d'eau de mer, avant d'atteindre le phare et la pointe Malalongue.
Lorsque l'on est au pied du phare, on profite d'une vue exceptionnelle sur le cap de Nice et l'Estérel, par temps clair, bien sûr.
Ensuite, sur ce versant ouest de la presqu'île, les criques se succèdent jusqu'aux derniers escaliers du sentier.
Un village très charmant
Autre agrément d'une journée à Saint-Jean-Cap-Ferrat, la découverte du village proprement dit.
Frises, trompe-l'œil, peintures murales, points de vue et sculptures jalonnent le parcours que l'on entreprend sur le quai Virgile Allari, devant le bureau d'information touristique.
Commerces et restaurants ne manquent pas si l'on va du quai jusqu'à la capitainerie, mais tous, tant s'en faut, ne sont pas ouverts l'hiver.
Après avoir rejoint la place Clemenceau, on descendra la rue commerçante (c'est l'avenue Jean Mermoz) pour arriver à l'église Saint Jean-Baptiste qui daterait du XIe siècle, mais a été agrandie à deux reprises au XIXe puis restaurée à la fin du XXe siècle. Quoique très simple, elle est décorée de manière charmante.
En partant de la place Clemenceau, on peut aussi, en zigzaguant un peu dans les rues, puis en empruntant une série d'escaliers, s'offrir un superbe point de vue sur l'anse Lilong et la Pointe Saint-Hospice.
Si, à la sortie des escaliers, on poursuit à droite, on arrive in fine à un belvédère qui offre, lui, un magnifique panorama sur le village et le port de Saint-Jean-Cap-Ferrat.
Revenu à la place Clemenceau, la balade peut se poursuivre en se dirigeant vers le quai du Vieux Port.
Frises, trompe-l'œil, peintures murales, points de vue et sculptures jalonnent le parcours que l'on entreprend sur le quai Virgile Allari, devant le bureau d'information touristique.
Commerces et restaurants ne manquent pas si l'on va du quai jusqu'à la capitainerie, mais tous, tant s'en faut, ne sont pas ouverts l'hiver.
Après avoir rejoint la place Clemenceau, on descendra la rue commerçante (c'est l'avenue Jean Mermoz) pour arriver à l'église Saint Jean-Baptiste qui daterait du XIe siècle, mais a été agrandie à deux reprises au XIXe puis restaurée à la fin du XXe siècle. Quoique très simple, elle est décorée de manière charmante.
En partant de la place Clemenceau, on peut aussi, en zigzaguant un peu dans les rues, puis en empruntant une série d'escaliers, s'offrir un superbe point de vue sur l'anse Lilong et la Pointe Saint-Hospice.
Si, à la sortie des escaliers, on poursuit à droite, on arrive in fine à un belvédère qui offre, lui, un magnifique panorama sur le village et le port de Saint-Jean-Cap-Ferrat.
Revenu à la place Clemenceau, la balade peut se poursuivre en se dirigeant vers le quai du Vieux Port.
Et, pourquoi pas, cap sur Nice !
Les amateurs de marche à pied peuvent aussi tenter le chemin qui mène de la Mairie de Saint-Jean-Cap-Ferrat jusqu'à Nice !
C'est un itinéraire de 9 kilomètres, qui exige 2h30 de marche. Rien d'insurmontable donc, même si c'est bien plus exigeant.
S'il fait beau, cet itinéraire permet de profiter à plein de la beauté de l'hiver azuréen, de s'immerger dans une lumière sans pareille et d'apercevoir de très belles propriétés comme, par exemple, la Villa Nellcote rendue célèbre par les Rolling Stones.
Du côté de Villefranche-sur-Mer, on longe des murs tapissés de bougainvilliers si l'on prend la direction de la Vieille ville et de sa Citadelle. Chemin faisant, on apercevra aussi la Tour Paganini au toit de faïence vernissé avant de profiter de magnifiques points de vue sur le port de Nice et la célèbre Baie des Anges.
Encore une randonnée aux couleurs de l’hiver azuréen qui donne envie de filer sur la Riviera française sans attendre le printemps !
Lire aussi : Quelles sont les plus belles villes de la Côte d'Azur ?
C'est un itinéraire de 9 kilomètres, qui exige 2h30 de marche. Rien d'insurmontable donc, même si c'est bien plus exigeant.
S'il fait beau, cet itinéraire permet de profiter à plein de la beauté de l'hiver azuréen, de s'immerger dans une lumière sans pareille et d'apercevoir de très belles propriétés comme, par exemple, la Villa Nellcote rendue célèbre par les Rolling Stones.
Du côté de Villefranche-sur-Mer, on longe des murs tapissés de bougainvilliers si l'on prend la direction de la Vieille ville et de sa Citadelle. Chemin faisant, on apercevra aussi la Tour Paganini au toit de faïence vernissé avant de profiter de magnifiques points de vue sur le port de Nice et la célèbre Baie des Anges.
Encore une randonnée aux couleurs de l’hiver azuréen qui donne envie de filer sur la Riviera française sans attendre le printemps !
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![Futuroscopie - Croisières musicales : « Alors on danse ! » [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/86621346-61591744.jpg?v=1739974564 "Futuroscopie - Croisières musicales : « Alors on danse ! » [ABO]")
