L’Oberoi Marrakech, construit sur les 18 hectares d’une ancienne ferme, s’inscrit parfaitement dans la nature luxuriante locale avec notamment des milliers d’oliviers et d’orangers.
L’architecture arabo andalouse étant magnifiée par cet écrin de verdure partout présent.
« Nous avons voulu une sensation de liberté et de découverte de la nature. Nous produisons notre propre huile d’olive et la connexion avec la nature est omniprésente »
84 logements sont proposés ici: des villas et des suites d’exception, avec 76 d’entre eux dotés de piscines privatives chauffées. 3 restaurants et un spa d’exception, le tout face à la chaîne montagneuse de l’Atlas. 220 employés travaillent ici: « soit 3 employés par clé »
Un choix fort a été adopté d’emblée par l’Oberoi Marrakech, après la première vague le 15 mars dernier et une fermeture pour 7 mois: rester ouvert cet hiver coûte que coûte.
Le 24 octobre dernier l’hôtel a en effet réouvert et a fait le choix de ne pas fermer à nouveau avec la seconde vague du coronavirus: « Ce n’est pas une période facile, nous avons peu de clients européens, mais nous restons positifs.
Nous avons décidé de rester ouverts et nous travaillons également avec la clientèle marocaine. Et nous pensons que cela permet aux employés de garder la motivation et de continuer à faire vivre l’hôtel.»
L’architecture arabo andalouse étant magnifiée par cet écrin de verdure partout présent.
« Nous avons voulu une sensation de liberté et de découverte de la nature. Nous produisons notre propre huile d’olive et la connexion avec la nature est omniprésente »
84 logements sont proposés ici: des villas et des suites d’exception, avec 76 d’entre eux dotés de piscines privatives chauffées. 3 restaurants et un spa d’exception, le tout face à la chaîne montagneuse de l’Atlas. 220 employés travaillent ici: « soit 3 employés par clé »
Un choix fort a été adopté d’emblée par l’Oberoi Marrakech, après la première vague le 15 mars dernier et une fermeture pour 7 mois: rester ouvert cet hiver coûte que coûte.
Le 24 octobre dernier l’hôtel a en effet réouvert et a fait le choix de ne pas fermer à nouveau avec la seconde vague du coronavirus: « Ce n’est pas une période facile, nous avons peu de clients européens, mais nous restons positifs.
Nous avons décidé de rester ouverts et nous travaillons également avec la clientèle marocaine. Et nous pensons que cela permet aux employés de garder la motivation et de continuer à faire vivre l’hôtel.»
"Garder la motivation et de continuer à faire vivre l’hôtel..."
Des procédures très strictes ont depuis été mises en place. Tous les employés ont été testés à la réouverture et leur température est prise quotidiennement.
Un partenariat a par ailleurs été noué avec Bureau Veritas pour valider ses process sanitaires.
« Personnellement se protéger est important mais aussi protéger ses équipes et les clients » dans les chambres: « nous avons un Protocole sanitaire très strict. Les employés portent notamment des gants et utilisent des produits spécifiques. » ]i
L’hôtel, initialement conçu pour une clientèle internationale, affiche actuellement une fréquentation de 80% de tourisme domestique.
« C’est une période où nous sommes obligés de nous adapter. Nous sommes évidemment dépendants de la clientèle marocaine»
Le récent durcissement des mesures annoncées par le gouvernement français « ne nous aide pas » mais Fabien Gastinel a décidé de s’adapter en lançant un package test PCR inclus pour un séjour d’au minimum 3 nuits avec une infirmière qui se déplace dans l’hôtel pour réaliser les tests au sein de l’établissement.
Une note d’espoir pour Fabien Gastinel: « Le monde du tourisme est résilient et les gens auront toujours le besoin de voyager. Je pense que le jour où ça reprendra ça reprendra de manière très forte . Marrakech a toujours été un phare du tourisme»
Un partenariat a par ailleurs été noué avec Bureau Veritas pour valider ses process sanitaires.
« Personnellement se protéger est important mais aussi protéger ses équipes et les clients » dans les chambres: « nous avons un Protocole sanitaire très strict. Les employés portent notamment des gants et utilisent des produits spécifiques. » ]i
L’hôtel, initialement conçu pour une clientèle internationale, affiche actuellement une fréquentation de 80% de tourisme domestique.
« C’est une période où nous sommes obligés de nous adapter. Nous sommes évidemment dépendants de la clientèle marocaine»
Le récent durcissement des mesures annoncées par le gouvernement français « ne nous aide pas » mais Fabien Gastinel a décidé de s’adapter en lançant un package test PCR inclus pour un séjour d’au minimum 3 nuits avec une infirmière qui se déplace dans l’hôtel pour réaliser les tests au sein de l’établissement.
Une note d’espoir pour Fabien Gastinel: « Le monde du tourisme est résilient et les gens auront toujours le besoin de voyager. Je pense que le jour où ça reprendra ça reprendra de manière très forte . Marrakech a toujours été un phare du tourisme»