L’espoir suscité ce lundi par l’annonce du laboratoire américain est à la hauteur de la gravité de la crise sanitaire. En France on nous promet que le pic de la 2e vague est “devant nous” et les contaminations battent des records de jour en jour.
Aux USA, on recense 10 millions de cas covid, la France est désormais dans le Top 5 des pays les plus touchés et, partout dans le monde, les indices économiques font plonger la Bourse en général et l’industrie du tourisme en particulier.
Voilà pourquoi l’annonce de Pfizer et BioNTech ont déclenché une véritable euphorie. Au lendemain de la défaite de Donald Trump, faut-il y voir plus qu’un signe d’espoir ?
Pour autant, l’affaire n’est pas dans le sac, si l’on en croit les spécialistes. En effet, si le test à grande échelle ( plus de 40000 volontaires) de Pfizer et son passage en phase 3, fait littéralement saliver le monde médical, il reste encore des questions sans réponse.
La principale concerne notamment la durée de la protection, mais aussi ses effets collatéraux. A ce jour, on est encore dans le brouillard sur le sujet.
Voilà pourquoi il ne faut ni s’emballer ni relâcher les efforts car si l’arrivée de ce vaccin est annoncée pour la fin de l’année, il s’écoulera certainement plusieurs mois avant que l’antidote soit effectivement opérationnel et mis à disposition du plus grand nombre.
Aux USA, on recense 10 millions de cas covid, la France est désormais dans le Top 5 des pays les plus touchés et, partout dans le monde, les indices économiques font plonger la Bourse en général et l’industrie du tourisme en particulier.
Voilà pourquoi l’annonce de Pfizer et BioNTech ont déclenché une véritable euphorie. Au lendemain de la défaite de Donald Trump, faut-il y voir plus qu’un signe d’espoir ?
Pour autant, l’affaire n’est pas dans le sac, si l’on en croit les spécialistes. En effet, si le test à grande échelle ( plus de 40000 volontaires) de Pfizer et son passage en phase 3, fait littéralement saliver le monde médical, il reste encore des questions sans réponse.
La principale concerne notamment la durée de la protection, mais aussi ses effets collatéraux. A ce jour, on est encore dans le brouillard sur le sujet.
Voilà pourquoi il ne faut ni s’emballer ni relâcher les efforts car si l’arrivée de ce vaccin est annoncée pour la fin de l’année, il s’écoulera certainement plusieurs mois avant que l’antidote soit effectivement opérationnel et mis à disposition du plus grand nombre.
300 millions de doses déjà commandées par l'Union européenne
Autres articles
-
Voyage en Indonésie : fin des exigences sanitaires Covid
-
Quelles destinations viennent de lever leurs restrictions covid ?
-
Royal Caribbean International : nouveau protocole dès le 5 septembre 2022
-
Portugal : plus besoin de test pour les voyageurs vaccinés
-
Omicron, Delta, Alpha… Comprendre le bal des variants
Mais force est de constater que les infectiologues sont enthousiastes : un délai de 6 mois pour la mise au point d’un tel dispositif c’est du jamais vu, s’enthousiasment les infectiologues qui vont plus loin.
Si ce vaccin dont le concept est révolutionnaire “on peut tourner la page des maladies infectieuses…”
Voilà qui est prometteur et qui explique que l’Union européenne a d’ores et déjà commandé 300 millions de doses, soit l'équivalent de 150 millions de personnes vaccinées potentiellement.
Bien entendu, un vaccin de ce type ferait littéralement décoller le tourisme. Ce lundi, l'annonce des deux laboratoires a fait redécoller en Bourse les valeurs du transport et de l'hôtellerie mondiaux.
Si ce vaccin dont le concept est révolutionnaire “on peut tourner la page des maladies infectieuses…”
Voilà qui est prometteur et qui explique que l’Union européenne a d’ores et déjà commandé 300 millions de doses, soit l'équivalent de 150 millions de personnes vaccinées potentiellement.
Bien entendu, un vaccin de ce type ferait littéralement décoller le tourisme. Ce lundi, l'annonce des deux laboratoires a fait redécoller en Bourse les valeurs du transport et de l'hôtellerie mondiaux.
Qu'est-ce qui change par rapport aux vaccins classiques ?
Ce type de vaccin n'a encore jamais été homologué pour les individus. Sa conception est innovante car l'ARN messager ne fait pas appel au virus inactivé ou recombiné pour faire réagir le système immunitaire et produire des anticorps. est le suivant : il injecte une fraction du code génétique du Sars-CoV-2, appelée ARN messager. Cette molécule suscite la fabrication d'une protéine du virus, puis des anticorps.
Pour autant, elle a une durée de vie très courte ce qui explique le besoin d'être conservée à de très basses températures, de l'ordre de -80° degrés.
Pour autant, elle a une durée de vie très courte ce qui explique le besoin d'être conservée à de très basses températures, de l'ordre de -80° degrés.