Le SNPL France ALPA a pris connaissance du dernier rapport d'expertise judiciaire sur l'accident du vol AF447, présenté aux avocats des parties civiles le 2 juillet dernier.
Dans un communiqué le syndicat indique que ce document, "de façon objective", "met en cause la conception de l'avion, les procédures utilisées sur A330 au moment de l'accident, la formation des équipages par leur compagnie, le fonctionnement imparfait de l'équipage face à la situation, ainsi que des déficiences criantes dans le suivi par les autorités (DGAC, BEA, AESA en particulier) des multiples incidents similaires ayant précédés l'accident."
Le SNPL demande que soit menée "une action très ferme", à l'encontre de l'Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA). Cet organisme responsable de la certification des sondes pitot dont le givrage est la cause initiale de l'accident, refuse d'apporter sa collaboration à la juge d'instruction et aux experts dans l'enquête, selon le syndicat.
Dans un communiqué le syndicat indique que ce document, "de façon objective", "met en cause la conception de l'avion, les procédures utilisées sur A330 au moment de l'accident, la formation des équipages par leur compagnie, le fonctionnement imparfait de l'équipage face à la situation, ainsi que des déficiences criantes dans le suivi par les autorités (DGAC, BEA, AESA en particulier) des multiples incidents similaires ayant précédés l'accident."
Le SNPL demande que soit menée "une action très ferme", à l'encontre de l'Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA). Cet organisme responsable de la certification des sondes pitot dont le givrage est la cause initiale de l'accident, refuse d'apporter sa collaboration à la juge d'instruction et aux experts dans l'enquête, selon le syndicat.