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En France métropolitaine, au 1er semestre 2006, le trafic de passagers et le nombre de vols commerciaux, au départ et à l’arrivée des aérodromes, ont poursuivi leur reprise amorcée en 2004, avec une croissance respective de 5% et de 4% par rapport au 1er semestre 2005.
Par ailleurs, le nombre de vols contrôlés par les services de la navigation aérienne a augmenté de près de 3% par rapport au 1er semestre 2005 en raison essentiellement des vols internationaux (+6%), se situant à un niveau encore jamais atteint.
27% des vols retardés
Dans ce contexte, les indicateurs de ponctualité ont évolué comme suit, en France :
- La part des vols retardés de 15 minutes et plus au départ s’est élevée à 27% pour le 1er semestre 2006 contre 25% au 1er semestre 2005. NB : 24% des vols (tous types de vols confondus : court, moyen et long-courriers) ont été retardés de 15 minutes et plus à l’arrivée au 1er semestre 2006, soit près de 2% de plus qu’au 1er semestre 2005.
- Le retard moyen par vol retardé de 3 minutes et plus au départ s’est élevé à 20 minutes
au 1er semestre 2006. Il était de 23 minutes au 1er semestre 2005. Cette amélioration traduit une meilleure performance du système de transport aérien, dans son ensemble.
NB : le retard moyen par vol retardé de 3 minutes et plus à l’arrivée est passé de 21 minutes au 1er semestre 2005 à 26 minutes au 1er semestre 2006.
- Le retard moyen par vol retardé de 15 minutes et plus au départ s’est élevé à 40
minutes pour le 1er semestre 2006 alors qu’il avait atteint 50 minutes au 1er semestre
2005, marqué notamment par de très mauvaises conditions météorologiques.
NB : le retard moyen par vol retardé de 15 minutes et plus à l’arrivée a atteint 41 minutes au 1er semestre 2006, contre 51 minutes au 1er semestre 2005.
Cette situation s’avère particulièrement pénalisante pour le client aérien. Cette amélioration est à mettre à l’actif des principaux aéroports : Paris-CDG, Paris-Orly, Nice et Toulouse.
Toutefois, cet indicateur reste encore élevé à Ajaccio, Marseille, Lille et Lyon avec près de 45 minutes de retard moyen pour les vols retardés de 15 minutes et plus.
Les retards liés aux passagers sont en hausse
La première cause des retards est imputable à l'enchaînement des rotation (29,1%). Les causes liées aux compagnies sont en augmentation (26,7% des cas contre 24,1%). Elles regroupent les incidents techniques, l'assistance au sol et les conflits sociaux.
Les retards liés aux passagers sont en hausse et passe de 10,8% à 13%. Les retards liés à la météo en revanche est en baisse passant de 7,8% à 4,5%.
Source Direction Générale de l'aviation Civile - L’Observatoire des retards du transport aérien ne s’intéresse qu’aux vols commerciaux (les vols privés, les vols de fret et les vols postaux ne sont pas pris en compte), au départ et à l’arrivée des 15 principaux aérodromes métropolitains, toutes compagnies confondues (françaises et étrangères, régulières et charters) et tous types de vols confondus (court, moyen et longcourriers).
Sur les 15 principaux aérodromes métropolitains qui représentent 93% du total du trafic de passagers et 89% du total des vols commerciaux métropolitains, l’Observatoire analyse la ponctualité des vols commerciaux selon quatre indicateurs reconnus au niveau international.
Par ailleurs, le nombre de vols contrôlés par les services de la navigation aérienne a augmenté de près de 3% par rapport au 1er semestre 2005 en raison essentiellement des vols internationaux (+6%), se situant à un niveau encore jamais atteint.
27% des vols retardés
Dans ce contexte, les indicateurs de ponctualité ont évolué comme suit, en France :
- La part des vols retardés de 15 minutes et plus au départ s’est élevée à 27% pour le 1er semestre 2006 contre 25% au 1er semestre 2005. NB : 24% des vols (tous types de vols confondus : court, moyen et long-courriers) ont été retardés de 15 minutes et plus à l’arrivée au 1er semestre 2006, soit près de 2% de plus qu’au 1er semestre 2005.
- Le retard moyen par vol retardé de 3 minutes et plus au départ s’est élevé à 20 minutes
au 1er semestre 2006. Il était de 23 minutes au 1er semestre 2005. Cette amélioration traduit une meilleure performance du système de transport aérien, dans son ensemble.
NB : le retard moyen par vol retardé de 3 minutes et plus à l’arrivée est passé de 21 minutes au 1er semestre 2005 à 26 minutes au 1er semestre 2006.
- Le retard moyen par vol retardé de 15 minutes et plus au départ s’est élevé à 40
minutes pour le 1er semestre 2006 alors qu’il avait atteint 50 minutes au 1er semestre
2005, marqué notamment par de très mauvaises conditions météorologiques.
NB : le retard moyen par vol retardé de 15 minutes et plus à l’arrivée a atteint 41 minutes au 1er semestre 2006, contre 51 minutes au 1er semestre 2005.
Cette situation s’avère particulièrement pénalisante pour le client aérien. Cette amélioration est à mettre à l’actif des principaux aéroports : Paris-CDG, Paris-Orly, Nice et Toulouse.
Toutefois, cet indicateur reste encore élevé à Ajaccio, Marseille, Lille et Lyon avec près de 45 minutes de retard moyen pour les vols retardés de 15 minutes et plus.
Les retards liés aux passagers sont en hausse
La première cause des retards est imputable à l'enchaînement des rotation (29,1%). Les causes liées aux compagnies sont en augmentation (26,7% des cas contre 24,1%). Elles regroupent les incidents techniques, l'assistance au sol et les conflits sociaux.
Les retards liés aux passagers sont en hausse et passe de 10,8% à 13%. Les retards liés à la météo en revanche est en baisse passant de 7,8% à 4,5%.
Source Direction Générale de l'aviation Civile - L’Observatoire des retards du transport aérien ne s’intéresse qu’aux vols commerciaux (les vols privés, les vols de fret et les vols postaux ne sont pas pris en compte), au départ et à l’arrivée des 15 principaux aérodromes métropolitains, toutes compagnies confondues (françaises et étrangères, régulières et charters) et tous types de vols confondus (court, moyen et longcourriers).
Sur les 15 principaux aérodromes métropolitains qui représentent 93% du total du trafic de passagers et 89% du total des vols commerciaux métropolitains, l’Observatoire analyse la ponctualité des vols commerciaux selon quatre indicateurs reconnus au niveau international.