Sur le site internet où la billetterie est exempte de frais, les ventes ont progressé de 44% en volume et de 54% en chiffre d’affaires !
Air France a beau jurer ses grands dieux que la baisse des frais d’intervention est temporaire, son alliée Delta Airlines n’a pas ce genre de scrupules.
La vente de billets sur le site Delta, désormais traduit en français, se fait sans aucun frais d’intervention. « C’est une politique décidée au niveau du siège », explique Béatrice de Rotalier, directrice pour la France.
Les amateurs de billets pas chers l’ont bien compris puisque depuis janvier, le site Delta affiche une progression de 44% en nombre de billets vendus et de 54% en chiffre d’affaires. Une performance un peu meilleure que celle des agences en ligne françaises qui progresse de 71,8% en nombre de billets mais seulement de 14% en chiffre d’affaires.
Pour l’ensemble de l’industrie, la progression du chiffre réalisé par des agences en ligne s’affiche à + 37,5% pour un nombre de passagers en hausse de 50,2%.
Mais les agences traditionnelles ne sont pas en reste puisque sur les cinq premiers mois de l’année, le BSP enregistre une progression de 23,6 % du nombre de passagers, toutes compagnies incluses, tandis que pour Delta ce nombre progresse de 30,7%.
La compagnie propose un volume mensuel de 35 000 sièges et enregistre un coefficient de remplissage 82%.
Un bon semestre pour la compagnie américaine qui est sortie du chapitre 11 en avril dernier après quinze mois de restructuration et qui pense désormais à asseoir sa croissance sur l’international. « Notre chiffre d’affaires à l’international entre pour 35% du CA total et l’objectif est d’arriver à 50% », explique Béatrice de Rotalier.
La vente de billets sur le site Delta, désormais traduit en français, se fait sans aucun frais d’intervention. « C’est une politique décidée au niveau du siège », explique Béatrice de Rotalier, directrice pour la France.
Les amateurs de billets pas chers l’ont bien compris puisque depuis janvier, le site Delta affiche une progression de 44% en nombre de billets vendus et de 54% en chiffre d’affaires. Une performance un peu meilleure que celle des agences en ligne françaises qui progresse de 71,8% en nombre de billets mais seulement de 14% en chiffre d’affaires.
Pour l’ensemble de l’industrie, la progression du chiffre réalisé par des agences en ligne s’affiche à + 37,5% pour un nombre de passagers en hausse de 50,2%.
Mais les agences traditionnelles ne sont pas en reste puisque sur les cinq premiers mois de l’année, le BSP enregistre une progression de 23,6 % du nombre de passagers, toutes compagnies incluses, tandis que pour Delta ce nombre progresse de 30,7%.
La compagnie propose un volume mensuel de 35 000 sièges et enregistre un coefficient de remplissage 82%.
Un bon semestre pour la compagnie américaine qui est sortie du chapitre 11 en avril dernier après quinze mois de restructuration et qui pense désormais à asseoir sa croissance sur l’international. « Notre chiffre d’affaires à l’international entre pour 35% du CA total et l’objectif est d’arriver à 50% », explique Béatrice de Rotalier.
Open sky : une vingtaine de routes nouvelles
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Sur le transatlantique, la croissance dépendra de l’autorisation du gouvernement américain à étendre l’immunity antitrust à six compagnies Skyteam ( Air France, Delta, Alitalia, CSA, KLM et Northwest) d’une part, et à constituer une joint venture à quatre avec ses alliés Air France, KLM et Northwest.
L’accord d’open sky entre l’Europe et les Etats-Unis devrait permettre de développer une vingtaine de routes nouvelles, entre autres des lignes au départ d’Heathrow et la reprise du Lyon-New York.
« La joint venture ne concernera que l’axe transatlantique. Sur le réseau américain, Delta et Northwest resteront concurrents », explique Béatrice de Rotalier. Une condition sine qua non pour obtenir le feu vert des autorités américaines. Qui devrait intervenir avant la fin de cette année. Juste à temps pour déployer le nouveau service à bord et notamment les lits de la classe Affaires.
L’accord d’open sky entre l’Europe et les Etats-Unis devrait permettre de développer une vingtaine de routes nouvelles, entre autres des lignes au départ d’Heathrow et la reprise du Lyon-New York.
« La joint venture ne concernera que l’axe transatlantique. Sur le réseau américain, Delta et Northwest resteront concurrents », explique Béatrice de Rotalier. Une condition sine qua non pour obtenir le feu vert des autorités américaines. Qui devrait intervenir avant la fin de cette année. Juste à temps pour déployer le nouveau service à bord et notamment les lits de la classe Affaires.