Le Web 2.0 qui a permis de communiquer à l’échelle planétaire, via réseaux sociaux, forums, chats et autres blogs, a réussi à la fois à développer la créativité et l’intelligence à travers un échange d’idées et d’informations, et a aussi permis de créer une sorte de contre-pouvoir citoyen - Photo J.D.L.
Les évolutions techniques et scientifiques constituent l’un des principaux moteurs des changements comportementaux.
A l’heure où le tout technologique fait fureur et où tous les observateurs se penchent sur le chevet de l’internaute, certaines évolutions de l’homo-turisticus sont évidentes.
Mais d’autres pourraient fort bien devoir prendre leur mal en patience ! D’autant que les effets secondaires de la technologie alimentent de plus en plus le débat.
Bonne ou mauvaise nouvelle ?
Un sac à mains capable de recharger les Smartphones est en gestation. Il sera bientôt commercialisé aux USA !
Les mobinautes n’auront donc plus d’excuses pour être déconnectés de leurs précieux écrans. 24 heures sur 24, ils pourront capter flux RSS, emails, alertes et autres news intempestives dont, convenons en, ils pourraient fort bien se passer.
A l’heure où le tout technologique fait fureur et où tous les observateurs se penchent sur le chevet de l’internaute, certaines évolutions de l’homo-turisticus sont évidentes.
Mais d’autres pourraient fort bien devoir prendre leur mal en patience ! D’autant que les effets secondaires de la technologie alimentent de plus en plus le débat.
Bonne ou mauvaise nouvelle ?
Un sac à mains capable de recharger les Smartphones est en gestation. Il sera bientôt commercialisé aux USA !
Les mobinautes n’auront donc plus d’excuses pour être déconnectés de leurs précieux écrans. 24 heures sur 24, ils pourront capter flux RSS, emails, alertes et autres news intempestives dont, convenons en, ils pourraient fort bien se passer.
Les applications pratiques permettent des miracles
Mais ainsi va la technologie, vite trop vite, en tous les cas plus vite que le cerveau humain. D’où le stress éprouvé par une bonne moitié de nos contemporains incapables de suivre et de s’adapter à des gadgets complexes et parfois inutiles.
Au cœur de cet immense bouleversement numérique qui, depuis vingt ans nous a entraînés à changer une partie de nos comportements, la montée en puissance d’Internet et la prolifération de sites d’information et de réservation ont bel et bien bouleversé nos façons d’effectuer nos recherches de renseignements, de réserver et d’acheter.
Sur téléphones mobiles, les applications pratiques permettant des miracles : réserver un hôtel, trouver un restaurant, vérifier les horaires d’un musée, d’un avion, les transports pour se déplacer … font également des prouesses et sont irrémédiablement entrées dans les mœurs.
On ne pourrait pas en dire autant de la panoplie d’applis d’ordre culturel.
De plus, le Web 2.0 qui a permis de communiquer à l’échelle planétaire, via réseaux sociaux, forums, chats et autres blogs, a réussi à la fois à développer la créativité et l’intelligence à travers un échange d’idées et d’informations, et a aussi permis de créer une sorte de contre-pouvoir citoyen.
Un must, à l’heure où la défiance est au cœur de nos attitudes tandis que l’une de nos attentes essentielles concerne la transparence.
Au cœur de cet immense bouleversement numérique qui, depuis vingt ans nous a entraînés à changer une partie de nos comportements, la montée en puissance d’Internet et la prolifération de sites d’information et de réservation ont bel et bien bouleversé nos façons d’effectuer nos recherches de renseignements, de réserver et d’acheter.
Sur téléphones mobiles, les applications pratiques permettant des miracles : réserver un hôtel, trouver un restaurant, vérifier les horaires d’un musée, d’un avion, les transports pour se déplacer … font également des prouesses et sont irrémédiablement entrées dans les mœurs.
On ne pourrait pas en dire autant de la panoplie d’applis d’ordre culturel.
De plus, le Web 2.0 qui a permis de communiquer à l’échelle planétaire, via réseaux sociaux, forums, chats et autres blogs, a réussi à la fois à développer la créativité et l’intelligence à travers un échange d’idées et d’informations, et a aussi permis de créer une sorte de contre-pouvoir citoyen.
Un must, à l’heure où la défiance est au cœur de nos attitudes tandis que l’une de nos attentes essentielles concerne la transparence.
Addiction aux avis et aux commentaires
Certes, le buzz qui fait et défait les réputations sur le Web, le fait au grand dam des professionnels.
Mais que faire, l’habitude est prise et ce ne sont pas les Millénnials - Génération Y- ni la Génération Z qui rompront avec la manie de consulter les réseaux et leurs propres réseaux pour étoffer leur information sur une destination ou un quelconque opérateur.
D’ailleurs, une récente étude entièrement consacrée à leurs comportements touristiques, confirme bien leur addiction aux avis et commentaires de leurs pairs ! Voilà pourquoi, soit dit en passant, ils souhaitent majoritairement être entendus quand eux-mêmes émettent des opinions sur les sites dédiés. Avis !
Autre bémol à la success-story en cours, les comportements ne changent que dans le cas où une technologie est capable d’apporter des réponses simples.
Oui, l’agent de voyages n’était pas toujours performant et disponible. Oui, l’information s’avérait défaillante. Oui, les images manquaient et le récit de voyages, encore plus. Oui, les agences pratiquaient une sorte d’élitisme dont se sentaient exclus bon nombre d’entre nous !
Entré dans 80% des foyers, internet qui a fait œuvre de démocratisation, fonctionnalité, rapidité, accessibilité, gratuité, liberté, ne pouvait que réussir.
Mais que faire, l’habitude est prise et ce ne sont pas les Millénnials - Génération Y- ni la Génération Z qui rompront avec la manie de consulter les réseaux et leurs propres réseaux pour étoffer leur information sur une destination ou un quelconque opérateur.
D’ailleurs, une récente étude entièrement consacrée à leurs comportements touristiques, confirme bien leur addiction aux avis et commentaires de leurs pairs ! Voilà pourquoi, soit dit en passant, ils souhaitent majoritairement être entendus quand eux-mêmes émettent des opinions sur les sites dédiés. Avis !
Autre bémol à la success-story en cours, les comportements ne changent que dans le cas où une technologie est capable d’apporter des réponses simples.
Oui, l’agent de voyages n’était pas toujours performant et disponible. Oui, l’information s’avérait défaillante. Oui, les images manquaient et le récit de voyages, encore plus. Oui, les agences pratiquaient une sorte d’élitisme dont se sentaient exclus bon nombre d’entre nous !
Entré dans 80% des foyers, internet qui a fait œuvre de démocratisation, fonctionnalité, rapidité, accessibilité, gratuité, liberté, ne pouvait que réussir.
« Humains, nous sommes trop humains »
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Malheureusement, parmi les milliers de start-ups en quête de l’idée de génie, la majeure partie des trouvailles technologiques ne rencontrent pas leur marché.
Souvent magiques à première vue et dignes d’admiration, elles n’offrent pas les suppléments de service souhaité.
De plus, privilégiant le contenant, la technologie néglige régulièrement le contenu. Elle néglige surtout un paramètre sociétal essentiel : la demande de liens et la demande d’humain.
« Humains, nous sommes trop humains ».
Il n’est donc guère la peine de forcer les portes de l’humanité pour lui imposer une post-humanité dans laquelle la technologie ferait tout.
Un jour peut-être mais, pas tout de suite…
Voilà pourquoi la réalité augmentée et toutes sortes d’applications offrant des services trop sophistiqués peinent à s’imposer à un public déboussolé parmi lequel, rappelons le quand-même, les déconnectés sont toujours prés de 10 millions dans notre seul Hexagone !
Quant aux effets secondaires, nous y reviendrons dans une prochaine chronique !
Souvent magiques à première vue et dignes d’admiration, elles n’offrent pas les suppléments de service souhaité.
De plus, privilégiant le contenant, la technologie néglige régulièrement le contenu. Elle néglige surtout un paramètre sociétal essentiel : la demande de liens et la demande d’humain.
« Humains, nous sommes trop humains ».
Il n’est donc guère la peine de forcer les portes de l’humanité pour lui imposer une post-humanité dans laquelle la technologie ferait tout.
Un jour peut-être mais, pas tout de suite…
Voilà pourquoi la réalité augmentée et toutes sortes d’applications offrant des services trop sophistiqués peinent à s’imposer à un public déboussolé parmi lequel, rappelons le quand-même, les déconnectés sont toujours prés de 10 millions dans notre seul Hexagone !
Quant aux effets secondaires, nous y reviendrons dans une prochaine chronique !
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