Le premier est le projet "Taimana resort and Spa", de la société "Hotel Investment Partners Limited" installée à Hong Kong, qui devrait être exploité par la chaîne "Six senses Hotels Resort and Spas". Le projet, dont les travaux devaient débuter en juin 2004, a obtenu l'aval de la municipalité, le 6 décembre 2002.
Il attend désormais son permis de construire du ministère de l'Urbanisme. Le second est le projet hôtelier "Taha'a Golf Resort" du promoteur immobilier Thierry Barbion, à l'origine déjà du "Radisson Plaza Resort Tahiti" situé à Arue (côte est de Tahiti). Celui-ci n'a cependant obtenu ni l'aval de la municipalité, ni celui du ministère.
"Dans l'esprit des responsables de Taha'a, deux projets, en plus de l'établissement 5 étoiles "Taha'a-Private Island & Spa" déjà ouvert, peuvent encore être construits sur l'île", a déclaré mercredi à Tahitipresse le ministre du Tourisme, Jacqui Drollet.
"Nous sommes en train de négocier. Je prendrai l'ultime décision en connaissance de cause", a-t-il prévenu.
"China Travel Service", également en lice
Parmi les autres projets connus en lice: celui de "China Travel Service", l'un des plus importants tours-opérateurs de Chine. L'organisme, chargé d’organiser les visites touristiques en Chine, coordonne également les voyages des touristes chinois à l’étranger. C'est donc la garantie de la venue des touristes chinois en Polynésie française.
Le Président de la Polynésie, Oscar Temaru, a rencontré ses responsables "récemment".
"Nous ne souhaitons pas que l'île de Taha'a soit dénaturée et perde de son charme", a indiqué samedi le Président. Et de prôner les pensions de famille. L'île en compte actuellement seulement trois.
Pour le ministre du Tourisme, le choix se fera après que "l"ensemble des concernés, élus municipaux et du Pays, se soient prononcés". "S'il faut 'équilibrer' avec les pensions de famille, nous ne pouvons cependant pas négliger les grandes structures qui accueillent des touristes fortunés", a précisé Jacqui Drollet.
Il attend désormais son permis de construire du ministère de l'Urbanisme. Le second est le projet hôtelier "Taha'a Golf Resort" du promoteur immobilier Thierry Barbion, à l'origine déjà du "Radisson Plaza Resort Tahiti" situé à Arue (côte est de Tahiti). Celui-ci n'a cependant obtenu ni l'aval de la municipalité, ni celui du ministère.
"Dans l'esprit des responsables de Taha'a, deux projets, en plus de l'établissement 5 étoiles "Taha'a-Private Island & Spa" déjà ouvert, peuvent encore être construits sur l'île", a déclaré mercredi à Tahitipresse le ministre du Tourisme, Jacqui Drollet.
"Nous sommes en train de négocier. Je prendrai l'ultime décision en connaissance de cause", a-t-il prévenu.
"China Travel Service", également en lice
Parmi les autres projets connus en lice: celui de "China Travel Service", l'un des plus importants tours-opérateurs de Chine. L'organisme, chargé d’organiser les visites touristiques en Chine, coordonne également les voyages des touristes chinois à l’étranger. C'est donc la garantie de la venue des touristes chinois en Polynésie française.
Le Président de la Polynésie, Oscar Temaru, a rencontré ses responsables "récemment".
"Nous ne souhaitons pas que l'île de Taha'a soit dénaturée et perde de son charme", a indiqué samedi le Président. Et de prôner les pensions de famille. L'île en compte actuellement seulement trois.
Pour le ministre du Tourisme, le choix se fera après que "l"ensemble des concernés, élus municipaux et du Pays, se soient prononcés". "S'il faut 'équilibrer' avec les pensions de famille, nous ne pouvons cependant pas négliger les grandes structures qui accueillent des touristes fortunés", a précisé Jacqui Drollet.