Jalel Henchiri, président des hôteliers du sud tunisien tient à préciser et clarifier sa déclaration parue dans Tourmag.com du 24 juillet.
« La décision par le gouvernement de rouvrir la décharge de Guellala début juillet a interpellé tous les habitants de Djerba.
Nous avons attiré l’attention des autorités sur les difficultés et les risques que cela pouvait engendrer.
Demander à l’Etat de faire respecter la loi ne signifie pas, pour moi la réouverture de la décharge de Guellala par la force.
La décharge de Guellala ne peut être réouverte. Il y va de la santé, de l’équilibre du droit de vivre dans la dignité de ses habitants.
Une solution alternative doit être trouvée en concertation avec les habitants.
Mais aucune campagne, aucune proposition concrète, aucune concertation n’a pu aboutir.
Cependant des solutions existent. Djerba appartient administrativement à l’important gouvernorat de Medenine qui dispose sur le continent de décharges adaptées. »
Le dossier djerbien est sur le bureaux des ministres concernés. Une solution devrait être trouvée rapidement.
« La décision par le gouvernement de rouvrir la décharge de Guellala début juillet a interpellé tous les habitants de Djerba.
Nous avons attiré l’attention des autorités sur les difficultés et les risques que cela pouvait engendrer.
Demander à l’Etat de faire respecter la loi ne signifie pas, pour moi la réouverture de la décharge de Guellala par la force.
La décharge de Guellala ne peut être réouverte. Il y va de la santé, de l’équilibre du droit de vivre dans la dignité de ses habitants.
Une solution alternative doit être trouvée en concertation avec les habitants.
Mais aucune campagne, aucune proposition concrète, aucune concertation n’a pu aboutir.
Cependant des solutions existent. Djerba appartient administrativement à l’important gouvernorat de Medenine qui dispose sur le continent de décharges adaptées. »
Le dossier djerbien est sur le bureaux des ministres concernés. Une solution devrait être trouvée rapidement.