Richard Vainopoulos souligne que : « Les agences de voyages concernées par ce drame font leur travail.
La grande majorité des voyageurs pour les Comores souhaitent partir et confirment leur vol. Quant aux quelques passagers qui ont décidé d’annuler leur voyage, les agences se chargent de les rembourser intégralement en accord avec Yemenia Airlines.
Elles travaillent en outre avec beaucoup d’implication et de concert avec la compagnie pour le suivi du dossier des victimes.
Il n’y a aucune raison de s’en prendre aux agences de voyages, si ce n’est pour instrumentaliser politiquement ce drame humain. De tels comportements sont inacceptables.
En revanche, les pouvoirs publics doivent d’urgence revoir la liste noire qui fait une nouvelle fois la preuve de l’insuffisance de ses critères et de son manque de transparence. Il est inacceptable que la DGAC n’ait pas informé le grand public ou les agences de voyages du risque de cet appareil pourtant constaté depuis deux ans ».
La grande majorité des voyageurs pour les Comores souhaitent partir et confirment leur vol. Quant aux quelques passagers qui ont décidé d’annuler leur voyage, les agences se chargent de les rembourser intégralement en accord avec Yemenia Airlines.
Elles travaillent en outre avec beaucoup d’implication et de concert avec la compagnie pour le suivi du dossier des victimes.
Il n’y a aucune raison de s’en prendre aux agences de voyages, si ce n’est pour instrumentaliser politiquement ce drame humain. De tels comportements sont inacceptables.
En revanche, les pouvoirs publics doivent d’urgence revoir la liste noire qui fait une nouvelle fois la preuve de l’insuffisance de ses critères et de son manque de transparence. Il est inacceptable que la DGAC n’ait pas informé le grand public ou les agences de voyages du risque de cet appareil pourtant constaté depuis deux ans ».