Les représentants d’Air France, d’Aéroports de Paris, de la SNCF ou encore de la RATP étaient conviés, lundi 2 mars 2020, au ministère de la Transition écologique pour une réunion d’étape.
Cette dernière survient alors que la France a franchi le stade 2 de l’épidémie de coronavirus et que le quai d’Orsay vient d’indiquer qu’il était « préférable de différer les déplacements à l’étranger, dans toute la mesure du possible ».
« Pour les voyages internationaux et pour les aéroports nous continuons à déconseiller fortement les voyages non-nécessaires hors de la zone euro et au sein de la zone euro dans les zones classées orange », a insisté Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique (dont relève le ministère des Transports) au sortir de la réunion qui a réuni 160 entreprises de secteur relevant du ministère.
« L’objectif est de permettre une mobilisation générale (…) et de freiner la propagation du virus, d’empêcher aussi longtemps que possible le passage au stade 3 », a poursuivi Mme Borne, parlant d’une réunion « d’informations ainsi que d’anticipation et de prévention ».
« La logique est que toutes les activités essentielles à la vie du pays doivent pouvoir se poursuivre.
C’est le cas dans le secteur des transports. Il n’y a pas de mesures spécifiques pour ce dernier si ce n’est de respecter les gestes qui permettent de lutter contre la propagation du virus », a-t-elle affirmé aussi.
Cette dernière survient alors que la France a franchi le stade 2 de l’épidémie de coronavirus et que le quai d’Orsay vient d’indiquer qu’il était « préférable de différer les déplacements à l’étranger, dans toute la mesure du possible ».
« Pour les voyages internationaux et pour les aéroports nous continuons à déconseiller fortement les voyages non-nécessaires hors de la zone euro et au sein de la zone euro dans les zones classées orange », a insisté Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique (dont relève le ministère des Transports) au sortir de la réunion qui a réuni 160 entreprises de secteur relevant du ministère.
« L’objectif est de permettre une mobilisation générale (…) et de freiner la propagation du virus, d’empêcher aussi longtemps que possible le passage au stade 3 », a poursuivi Mme Borne, parlant d’une réunion « d’informations ainsi que d’anticipation et de prévention ».
« La logique est que toutes les activités essentielles à la vie du pays doivent pouvoir se poursuivre.
C’est le cas dans le secteur des transports. Il n’y a pas de mesures spécifiques pour ce dernier si ce n’est de respecter les gestes qui permettent de lutter contre la propagation du virus », a-t-elle affirmé aussi.
Pas d’arrêt des transports
Autres articles
-
TAP Air Portugal : feu vert de l'Europe à l'aide de 71,4 M€ de l'Etat portugais
-
Pourquoi 2020 a été une année noire pour le transport aérien
-
Coronavirus : les assureurs promettent jusqu’à 150 millions d’euros au tourisme
-
Catalogne : "Le tourisme représente 11% du PIB et 12% des emplois, il s’agit d’un secteur essentiel"
-
Coronavirus : Charentes Tourisme veut "des décisions claires et des mesures fortes !"
Le but : s’assurer d’un plan de continuité des transports en fonction de la gravité de l’épidémie.
« Il n’est pas question d’arrêter de faire rouler les trains, le plan de continuité d’activité vise à trouver le meilleur équilibre possible.
Il ne s’agit pas d’arrêter le pays, il n’y a pas de scénario dans lequel on arrêterait tous les transports, ça n’existe pas », a tranché la ministre, n’excluant toutefois pas une baisse des plans de transports en stade 3 de l’épidémie.
« Un accueil spécifique a été mis en place dans les aéroports les plus susceptibles d’accueillir des voyages en provenance des zones à risques, avec des affichages et la remise de documents en plusieurs langues », a poursuivi la ministre, précisant qu'à Roissy Charles-de-Gaulle et Saint-Denis-de-la-Réunion des accueils médicalisés étaient en place pour « les pays les plus à risques ».
Les autorités françaises tentent d’endiguer la progression de l’épidémie de Coronavirus dans le pays alors que 130 personnes sont contaminées, dont 49 dans l’Oise, et que 3 personnes en sont décédées.
« Il n’est pas question d’arrêter de faire rouler les trains, le plan de continuité d’activité vise à trouver le meilleur équilibre possible.
Il ne s’agit pas d’arrêter le pays, il n’y a pas de scénario dans lequel on arrêterait tous les transports, ça n’existe pas », a tranché la ministre, n’excluant toutefois pas une baisse des plans de transports en stade 3 de l’épidémie.
« Un accueil spécifique a été mis en place dans les aéroports les plus susceptibles d’accueillir des voyages en provenance des zones à risques, avec des affichages et la remise de documents en plusieurs langues », a poursuivi la ministre, précisant qu'à Roissy Charles-de-Gaulle et Saint-Denis-de-la-Réunion des accueils médicalisés étaient en place pour « les pays les plus à risques ».
Les autorités françaises tentent d’endiguer la progression de l’épidémie de Coronavirus dans le pays alors que 130 personnes sont contaminées, dont 49 dans l’Oise, et que 3 personnes en sont décédées.