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Elvia a enregistré un résultat net de 1 174 K€, en hausse de 12% au cours de l’année 2005 par rapport à 2004, « malgré une évolution des primes relativement stable », explique un communiqué de presse.
« En effet, la compagnie d’assurance a su reconstituer son chiffre d’affaires tout en appliquant un plan drastique de maîtrise des coûts, qui aura permis de contenir la charge des sinistres et les frais généraux. »
Les primes émises en 2005 (77 M€) restent stables par rapport à 2004, puisqu’elles n’ont progressé que de 0,3%.
« Ce chiffre, malgré tout, est très positif » selon Elvia, « en dépit de la perte du contrat GIE Cartes Bancaires, Elvia a conservé son volume, notamment grâce au fort développement des acteurs Internet dans le domaine du voyage. »
Partenariat avec la SNCF
L’entreprise a renforcé en 2005 sa présence sur le secteur du tourisme en concluant un partenariat avec la SNCF sur les billets Prem’s et en remportant l’appel d’offres du réseau d’agences de voyages AFAT.
La charge de sinistres a significativement reculé puisque de 40,6 M€ en 2004, elle est passée à 38 M€ fin 2005, soit une baisse de 6,5 %. « Cette diminution correspond à un contrôle drastique des coûts externes, conjugué à une baisse des dossiers assistance au profit des dossiers assurance de voyages, avec un coût moyen moindre. » explique la société.
« Les efforts se sont également concentrés sur les frais généraux, où l’accent a porté sur la maîtrise, notamment, de la masse salariale, pour faire face à la perte de chiffre d’affaires. » Le résultat technique s’élève à 1 935 K€, contre 1 807 K€ à fin 2004, soit une hausse de 7 %.
Elvia table sur une hausse de 10% du CA en 2006
Dans un contexte de forte concurrence, Elvia table sur une progression de son chiffre d’affaires de 10% , grâce, entre autres, aux partenariats conclus fin 2005, à la bonne tenue du secteur internet et au travail de fidélisation réalisé auprès des clients.
Le ratio de sinistres devrait rester stable par rapport à 2005 et progresser dans les mêmes proportions que les primes.
« En effet, la compagnie d’assurance a su reconstituer son chiffre d’affaires tout en appliquant un plan drastique de maîtrise des coûts, qui aura permis de contenir la charge des sinistres et les frais généraux. »
Les primes émises en 2005 (77 M€) restent stables par rapport à 2004, puisqu’elles n’ont progressé que de 0,3%.
« Ce chiffre, malgré tout, est très positif » selon Elvia, « en dépit de la perte du contrat GIE Cartes Bancaires, Elvia a conservé son volume, notamment grâce au fort développement des acteurs Internet dans le domaine du voyage. »
Partenariat avec la SNCF
L’entreprise a renforcé en 2005 sa présence sur le secteur du tourisme en concluant un partenariat avec la SNCF sur les billets Prem’s et en remportant l’appel d’offres du réseau d’agences de voyages AFAT.
La charge de sinistres a significativement reculé puisque de 40,6 M€ en 2004, elle est passée à 38 M€ fin 2005, soit une baisse de 6,5 %. « Cette diminution correspond à un contrôle drastique des coûts externes, conjugué à une baisse des dossiers assistance au profit des dossiers assurance de voyages, avec un coût moyen moindre. » explique la société.
« Les efforts se sont également concentrés sur les frais généraux, où l’accent a porté sur la maîtrise, notamment, de la masse salariale, pour faire face à la perte de chiffre d’affaires. » Le résultat technique s’élève à 1 935 K€, contre 1 807 K€ à fin 2004, soit une hausse de 7 %.
Elvia table sur une hausse de 10% du CA en 2006
Dans un contexte de forte concurrence, Elvia table sur une progression de son chiffre d’affaires de 10% , grâce, entre autres, aux partenariats conclus fin 2005, à la bonne tenue du secteur internet et au travail de fidélisation réalisé auprès des clients.
Le ratio de sinistres devrait rester stable par rapport à 2005 et progresser dans les mêmes proportions que les primes.
![Futuroscopie - Architecture contemporaine : des icônes et moteurs touristiques [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/84367837-60259874.jpg?v=1732033411 "Futuroscopie - Architecture contemporaine : des icônes et moteurs touristiques [ABO]")
