Entre une augmentation de temps libre ou de salaire, presque deux tiers des cadres d’entreprises français privilégieraient l’aspect pécuniaire (62%).
Un tiers seulement (33%) souhaiterait pouvoir consacrer davantage de temps à leurs loisirs.
En moyenne, les cadres français évaluent leur journée de travail à 9 heures. 26% d’entre eux estiment leur nombre d’heures de travail journalier à environ 8 heures.
32% des interviewés l’évaluent à 9 heures et 38% jusqu’à 10 heures ou plus. La moyenne, 9 heures, s’avère plus élevée chez les responsables d’encadrement (environ 9 heures et demie) que chez les autres cadres (environ 8 heures et demie).
Durant cette journée de travail, la quasi-totalité (96%) des cadres interrogés avouent réaliser des activités privées au bureau : environ huit personnes sur dix déclarent téléphoner à leurs proches (80%), consulter des sites Internet sans rapport avec leur travail (79%) et consulter ou envoyer des courriels personnels (78%).
Les trois quarts des cadres s’occupent régulièrement des contrariétés de la vie quotidienne sur leur temps de travail (74%) et les deux tiers consultent leurs comptes bancaires (67%).
Plus de la moitié des cadres invitent leurs loisirs au travail en y organisant leurs weekends ou leurs vacances (55%).
Un peu moins de la moitié des personnes interrogées effectuent des achats sur Internet au travail (44%), et un tiers (32%) consultent leurs comptes personnels sur les réseaux sociaux.
Un tiers seulement (33%) souhaiterait pouvoir consacrer davantage de temps à leurs loisirs.
En moyenne, les cadres français évaluent leur journée de travail à 9 heures. 26% d’entre eux estiment leur nombre d’heures de travail journalier à environ 8 heures.
32% des interviewés l’évaluent à 9 heures et 38% jusqu’à 10 heures ou plus. La moyenne, 9 heures, s’avère plus élevée chez les responsables d’encadrement (environ 9 heures et demie) que chez les autres cadres (environ 8 heures et demie).
Durant cette journée de travail, la quasi-totalité (96%) des cadres interrogés avouent réaliser des activités privées au bureau : environ huit personnes sur dix déclarent téléphoner à leurs proches (80%), consulter des sites Internet sans rapport avec leur travail (79%) et consulter ou envoyer des courriels personnels (78%).
Les trois quarts des cadres s’occupent régulièrement des contrariétés de la vie quotidienne sur leur temps de travail (74%) et les deux tiers consultent leurs comptes bancaires (67%).
Plus de la moitié des cadres invitent leurs loisirs au travail en y organisant leurs weekends ou leurs vacances (55%).
Un peu moins de la moitié des personnes interrogées effectuent des achats sur Internet au travail (44%), et un tiers (32%) consultent leurs comptes personnels sur les réseaux sociaux.
Consultation des réseaux sociaux pendant les heures de travail.
Toutefois, il convient de noter que dans la plupart des cas, ces pratiques, si elles existent bel et bien, restent assez rares : la proportion d’interviewés déclarant ne pratiquer que « rarement » ces activités est très largement majoritaire.
La très grande majorité des cadres (85%) déclare travailler à au moins un moment de la semaine en dehors des horaires habituels de travail.
Connectés en permanence à leur travail, trois cadres sur dix (30%) déclarent ne pas pouvoir se passer de consulter leurs courriels professionnels en dehors de leur journée de travail.
Trois quarts des cadres (73%) déclarent consulter leurs courriels professionnels lorsqu’ils sont chez eux, et deux tiers (66%) lorsqu’ils sont malades. Plus de la moitié (54%) gèrent leur courrier électronique pendant des réunions.
Ceux qui déclarent le faire dans les transports (43%), dans un café ou un restaurant (33%), pendant un rendez-vous client (25%) ou pendant leurs loisirs (18%) sont minoritaires.
Cette organisation, dans laquelle vie privée et vie professionnelle ne sont plus distinctement séparées, n’est pas sans conséquence.
Bien qu’ils paraissent volontairement dépendants à ce mode de fonctionnement, les cadres interrogés constatent tout de même qu’il impacte leur équilibre.
Près de deux tiers (63%) des cadres interrogés déclarent qu’au cours des cinq dernières années, leur équilibre vie privée – vie professionnelle a évolué, et ceci dans le mauvais sens pour 40% des interviewés.
Pour gérer l’équilibre vie privée – vie professionnelle, 71% des cadres se sont fixé des règles en s’interdisant de travailler sur des périodes définies en dehors du bureau.
La très grande majorité des cadres (85%) déclare travailler à au moins un moment de la semaine en dehors des horaires habituels de travail.
Connectés en permanence à leur travail, trois cadres sur dix (30%) déclarent ne pas pouvoir se passer de consulter leurs courriels professionnels en dehors de leur journée de travail.
Trois quarts des cadres (73%) déclarent consulter leurs courriels professionnels lorsqu’ils sont chez eux, et deux tiers (66%) lorsqu’ils sont malades. Plus de la moitié (54%) gèrent leur courrier électronique pendant des réunions.
Ceux qui déclarent le faire dans les transports (43%), dans un café ou un restaurant (33%), pendant un rendez-vous client (25%) ou pendant leurs loisirs (18%) sont minoritaires.
Cette organisation, dans laquelle vie privée et vie professionnelle ne sont plus distinctement séparées, n’est pas sans conséquence.
Bien qu’ils paraissent volontairement dépendants à ce mode de fonctionnement, les cadres interrogés constatent tout de même qu’il impacte leur équilibre.
Près de deux tiers (63%) des cadres interrogés déclarent qu’au cours des cinq dernières années, leur équilibre vie privée – vie professionnelle a évolué, et ceci dans le mauvais sens pour 40% des interviewés.
Pour gérer l’équilibre vie privée – vie professionnelle, 71% des cadres se sont fixé des règles en s’interdisant de travailler sur des périodes définies en dehors du bureau.
La majorité ne travaille pas en vacances ni le dimanche
Ainsi, la majorité ne travaille pas en vacances (56%), ou le dimanche (51%).
La moitié (49%) des interviewés se fixe une heure limite le soir au-delà de laquelle ils ne travaillent jamais. Un tiers (33%) préserve son samedi et un quart (26%) ne travaille tout simplement jamais en dehors du bureau.
Dans l’exercice de leur travail, plus de huit cadres sur dix (81%) utilisent au moins un équipement fourni par l’entreprise, que ce soit un ordinateur portable (59%), un smartphone (33%) ou une tablette tactile (6%).
56% des cadres déclarent utiliser un équipement personnel : le smartphone arrive en tête (32% des interviewés), suivi de l’ordinateur portable (19%) et enfin de la tablette (7%) – un chiffre d’autant plus important que 17% des cadres travaillent dans une entreprise qui interdit l’utilisation des équipements personnels.
Pour 81% des cadres interrogés, être équipé d’un smartphone ou d’une tablette professionnelle permet d’être plus réactif.
Une forte proportion des personnes interrogées estime que ces équipements représentent une marque de confiance de leur employeur (46%) et qu’ils sont un moyen de valorisation (42%).
Toutefois, ils véhiculent aussi un certain ressentiment et peuvent être associés à une contrainte,
L’étude complète est consultable ici
La moitié (49%) des interviewés se fixe une heure limite le soir au-delà de laquelle ils ne travaillent jamais. Un tiers (33%) préserve son samedi et un quart (26%) ne travaille tout simplement jamais en dehors du bureau.
Dans l’exercice de leur travail, plus de huit cadres sur dix (81%) utilisent au moins un équipement fourni par l’entreprise, que ce soit un ordinateur portable (59%), un smartphone (33%) ou une tablette tactile (6%).
56% des cadres déclarent utiliser un équipement personnel : le smartphone arrive en tête (32% des interviewés), suivi de l’ordinateur portable (19%) et enfin de la tablette (7%) – un chiffre d’autant plus important que 17% des cadres travaillent dans une entreprise qui interdit l’utilisation des équipements personnels.
Pour 81% des cadres interrogés, être équipé d’un smartphone ou d’une tablette professionnelle permet d’être plus réactif.
Une forte proportion des personnes interrogées estime que ces équipements représentent une marque de confiance de leur employeur (46%) et qu’ils sont un moyen de valorisation (42%).
Toutefois, ils véhiculent aussi un certain ressentiment et peuvent être associés à une contrainte,
L’étude complète est consultable ici