Alain Le Scouzec, directeur commercial de Donatello
TourMaG.com - Votre présence à BTExpo signifie-t-elle que Donatello fait son entrée dans le marché belge?
Alain Le Scouzec : "Plusieurs agences belges proches de la frontière française nous proposent déjà à leurs clients. Par ailleurs, nous sommes également référencés chez Wasteels.
Mais il faut reconnaître que notre approche du marché belge est jusqu’à ce jour restée assez timide. En réalité, cela fait plusieurs années que nous nous interrogeons en ce qui concerne la Belgique. Aujourd’hui la donne a changé avec l’effacement du marché de CIT Evasion."
T.M.com - Comment envisagez-vous votre implantation en Belgique?
A. le S. : "Il est prévu d’installer un service complet à Bruxelles. Nous allons demander une licence nationale afin d’être parfaitement intégré au paysage du marché. Notre implantation comptera 4 personnes pour la résa, 2 salles (un pour la partie flamande et un pour la partie francophone) et un responsable administratif."
T.M.com - Comptez-vous publier des brochures spécifiquement « belges» ?
A. le S. : "Oui. Et pour plusieurs raisons. Tout d’abord afin de respecter la législation nationale. Ensuite, nos brochures belges seront éditées dans les deux langues nationales."
T.M.com - Allez-vous vendre toutes les destinations que vous commercialisez en France ?
A. le S. : "Dans un premier temps, nous allons nous limiter à la seule destination Italie. Par la suite, nous verrons..."
T.M.com - Quel sera le positionnement de Donatello sur le marché belge ?
A. le S. : "Pratiquement le même qu’en France. Nous sommes un TO spécialiste du voyage de qualité à la carte. C’est-à-dire que notre objectif est de répondre aux besoins exacts des clients qui souhaitent se rendre dans une de nos destinations.
Comme vous le savez, ce sont nos clients qui décident où ils veulent aller pour passer des vacances intelligentes et qui ne se limitent pas nécessairement à de simples séjours balnéaires."
Propos recueillis par Michel GHESQUIERE à Bruxelles - michel.ghesquiere@skynet.be
Alain Le Scouzec : "Plusieurs agences belges proches de la frontière française nous proposent déjà à leurs clients. Par ailleurs, nous sommes également référencés chez Wasteels.
Mais il faut reconnaître que notre approche du marché belge est jusqu’à ce jour restée assez timide. En réalité, cela fait plusieurs années que nous nous interrogeons en ce qui concerne la Belgique. Aujourd’hui la donne a changé avec l’effacement du marché de CIT Evasion."
T.M.com - Comment envisagez-vous votre implantation en Belgique?
A. le S. : "Il est prévu d’installer un service complet à Bruxelles. Nous allons demander une licence nationale afin d’être parfaitement intégré au paysage du marché. Notre implantation comptera 4 personnes pour la résa, 2 salles (un pour la partie flamande et un pour la partie francophone) et un responsable administratif."
T.M.com - Comptez-vous publier des brochures spécifiquement « belges» ?
A. le S. : "Oui. Et pour plusieurs raisons. Tout d’abord afin de respecter la législation nationale. Ensuite, nos brochures belges seront éditées dans les deux langues nationales."
T.M.com - Allez-vous vendre toutes les destinations que vous commercialisez en France ?
A. le S. : "Dans un premier temps, nous allons nous limiter à la seule destination Italie. Par la suite, nous verrons..."
T.M.com - Quel sera le positionnement de Donatello sur le marché belge ?
A. le S. : "Pratiquement le même qu’en France. Nous sommes un TO spécialiste du voyage de qualité à la carte. C’est-à-dire que notre objectif est de répondre aux besoins exacts des clients qui souhaitent se rendre dans une de nos destinations.
Comme vous le savez, ce sont nos clients qui décident où ils veulent aller pour passer des vacances intelligentes et qui ne se limitent pas nécessairement à de simples séjours balnéaires."
Propos recueillis par Michel GHESQUIERE à Bruxelles - michel.ghesquiere@skynet.be
Réaction de Jean Luc Hans, président de l’ABTO, l’association belge des tours-opérateurs. « Donatello
jouit d’une bonne réputation en France. J’espère qu’ils approcheront de
manière professionnelle les spécificités du marché belge. |