Epilogue de l'affaire Wasteels ? La décision définitive ne sera connue que le 25 février prochain, indique l'attachée de presse de François Piot, patron de Prêt à Partir.
Elle reconnaît cependant que le réseau est au coude à coude avec Thomas Cook mais s'estime toujours "bien placé."
Pourtant, les jeux semblent faits, selon nos informations.
Le résultat des courses ? 36 agences reviendraient à Thomas Cook, casaque bleue et jaune qui l'aurait emporté d'une courte tête sur Prêt à Partir.
De son côté, le régional de l'étape, Biladi Voyages qui possède 13 points de ventes dans le centre et le sud, décrocherait, lui aussi, 7 points de vente.
Elle reconnaît cependant que le réseau est au coude à coude avec Thomas Cook mais s'estime toujours "bien placé."
Pourtant, les jeux semblent faits, selon nos informations.
Le résultat des courses ? 36 agences reviendraient à Thomas Cook, casaque bleue et jaune qui l'aurait emporté d'une courte tête sur Prêt à Partir.
De son côté, le régional de l'étape, Biladi Voyages qui possède 13 points de ventes dans le centre et le sud, décrocherait, lui aussi, 7 points de vente.
Le CE opposé à la reprise par Thomas Cook
Une décision qui laisse également au paddock Verdier Voyages (Afat), ainsi que Karavel Promovacances.
Mais Alain de Mendonça n'en est pas affecté pour autant : "Nous étions là plutôt en observateur et en partenariat avec François Piot. Notre ambition était modeste puisque nous ne visions que 4 points de vente..."
Si le propriétaire Laurent Wasteels semblait heureux de cette issue, on ne peut dire la même chose des syndicats et du Comité d'entreprise. Selon nos informations, ce dernier ce serait opposé farouchement à la reprise par Thomas Cook. Il en aurait même émis un Veto.
Il est vrai qu'au cours des derniers mois, on était loin de l'entente cordiale entre les deux entreprises. A tel point qu'il a fallu faire appel au Tribunal de commerce pour contraindre Thomas Cook, début décembre, à revenir à de meilleurs sentiments.
En effet, le TO avait coupé les robinets de la production à ses propres franchisés Wastells avant de le remettre en place sous astreinte quotidienne de 15 000 euros.
Ambiance...
Voilà qui promet du sport dans les futures relations entre repris et repreneurs. A noter toutefois que si le décompte annoncé s'avérait exact le 25 février, cela signifie qu'il y aura pas mal de salariés sur le carreau.
En effet, y a pas photo : 36+7=42-66= 24 agences qui devront, hélas, tirer le rideau ?
Affaire à suivre...
Mais Alain de Mendonça n'en est pas affecté pour autant : "Nous étions là plutôt en observateur et en partenariat avec François Piot. Notre ambition était modeste puisque nous ne visions que 4 points de vente..."
Si le propriétaire Laurent Wasteels semblait heureux de cette issue, on ne peut dire la même chose des syndicats et du Comité d'entreprise. Selon nos informations, ce dernier ce serait opposé farouchement à la reprise par Thomas Cook. Il en aurait même émis un Veto.
Il est vrai qu'au cours des derniers mois, on était loin de l'entente cordiale entre les deux entreprises. A tel point qu'il a fallu faire appel au Tribunal de commerce pour contraindre Thomas Cook, début décembre, à revenir à de meilleurs sentiments.
En effet, le TO avait coupé les robinets de la production à ses propres franchisés Wastells avant de le remettre en place sous astreinte quotidienne de 15 000 euros.
Ambiance...
Voilà qui promet du sport dans les futures relations entre repris et repreneurs. A noter toutefois que si le décompte annoncé s'avérait exact le 25 février, cela signifie qu'il y aura pas mal de salariés sur le carreau.
En effet, y a pas photo : 36+7=42-66= 24 agences qui devront, hélas, tirer le rideau ?
Affaire à suivre...