Selon nos sources, les gestionnaires de la compagnie belge s’était aperçue que pour sauvegarder son indépendance et garantir sa rentabilité, il lui est indispensable de rechercher des solutions originales et surtout que celles-ci offrent un niveau de return financier maximal, le tout avec l’investissement le plus serré qui soit.
Selon l’un des meilleurs analystes des questions aériennes : « J’ai pu démontrer que pour les compagnies aériennes moyennes qui se refusent à devenir low cost, il est fondamental de bien maîtriser leur core business. Dans un rapport de plus de 1.343 pages, j’ai pu démontré avec l’aide de nombreux autres consultants que la mission prioritaire des compagnies aériennes n’est pas de transporter des passagers.
Prenez le cas de la SNBA. Pour cette entreprise aérienne belge, son core business se compose de trois éléments. Deux prioritaires et un secondaire. Les deux premiers étant de signer des accords de code share avec le maximum de confrères et la seconde priorité est de rendre attractif sa carte de fidélisation.
L’élément secondaire étant naturellement de transporter des passagers par voie aérienne sur ses propres appareils. Autre exemple, pour Air France, objectivement, il s’agit de tout mettre en œuvre de rester la seule compagnie régulière dans l’Hexagone afin que les clients n’aient pas d’autres choix que de voler avec Air France ou AF. J’ai pu démontrer que pour les compagnies aériennes, le transport étant une conséquence de leurs activités est en réalité un centre de coût prohibitif qu’il faut naturellement mettre à charge des clients ».
Le nouveau concept lancé par les Belges
S’étant rendu compte qu’un pourcentage plus que conséquent des clients possèdent des chiens et des chats. Une étude a donc été commandée auprès d’un consultant américain. Après une étude de marché approfondie comportant d’une part une enquête quantitative (échantillonnage européen de 2.000 unités interviewées dans chacun des états) et d’autre part suivies par une réflexion qualitative sur le comportement psychologique des propriétaires d’animaux de compagnie, la société s’est rendu compte qu’il existait un marché important à prendre.
Qui plus est, il pouvait se travailler aussi bien par la compagnie elle-même que par sa carte de fidélisation.
Chaque fois qu’un passager souhaitera voyager avec son chien ou son chat, un service particulier sera mis à sa disposition de ces touristes à quatre pattes. Pour se faire, une partie de la cabine des avions sera partagée en quatre parties : Business class et Economy class pour les humains et Collier d’or class ou Collier cuir Class pour les chiens et chats.
Pour les animaux voyageant en Collier d’or Class des lounges spéciaux vont être implantés dans les aéroports. Dans ceux-ci, des salons de toilettages seront à la disposition des passagers, pardon, de leurs fidèles compagnons..
La carte de fidélisation Gribouille et Ramses
Un nouveau programme de fidélisation dédié aux chiens et chats va être mis en place. Nous avons pu apprendre la dénomination de celui-ci : « Gribouille et Ramses Card ». Le calcul des miles s’établira comme suit : distance aérienne parcourue multipliée par le poids de l’animal et divisée par le poids de celui du propriétaire.
Après un certain nombre de miles « Gribouille et Ramses », les bénéficiaires obtiendront soit un vol gratuit en soute, soit des réductions sur l’achat de nourriture pour les animaux. En effet, nous avons appris que ce programme étant sponsorisé par un producteur d’aliments pour chiens et chats, il est tout à fait normal que l’échange de miles se fasse en priorité en faveur de ce fabriquant.
Ce qui justifie par ailleurs que le transport gratuit offert se fasse dans la partie cargo des avions.
La réaction de Ryanair
La compagnie low cost n’est pas restée indifférente lorsqu’elle a appris le lancement de ce nouveau produit. « Nous pensons que la Commission européenne doit se pencher sur ce problème. Il s’agit là d’une position dominante qui doit être sanctionnée immédiatement.
Néanmoins, vous devez savoir que nous allons lancer dans les prochains jours un produit similaire. Dès que nous aurons négocié avec les aéroports les taxes nous pourrons communiquer nos offres de prix variables mais nettement moins élevées que cette compagnie belge qui ne respecte rien ».
Il va de soi que ce programme ne sera pas mis à la disposition des passagers se rendant dans un pays pratiquent la quarantaine. Pour le directeur commercial de la compagnie : « Vous devez comprendre que si nous devons créer des lounges pour les animaux en quarantaine ce produit ne serait pas rentable ».
Autres marchés exclus, les oiseaux : « En ce qui concerne les oiseaux, nous les avons exclus du programme pour des raisons humanitaires. Le risque est grand que les canaris, les poules ou les pigeons sortent traumatisés d’être transporté par des oiseaux de fer que sont les avions. »
Selon l’un des meilleurs analystes des questions aériennes : « J’ai pu démontrer que pour les compagnies aériennes moyennes qui se refusent à devenir low cost, il est fondamental de bien maîtriser leur core business. Dans un rapport de plus de 1.343 pages, j’ai pu démontré avec l’aide de nombreux autres consultants que la mission prioritaire des compagnies aériennes n’est pas de transporter des passagers.
Prenez le cas de la SNBA. Pour cette entreprise aérienne belge, son core business se compose de trois éléments. Deux prioritaires et un secondaire. Les deux premiers étant de signer des accords de code share avec le maximum de confrères et la seconde priorité est de rendre attractif sa carte de fidélisation.
L’élément secondaire étant naturellement de transporter des passagers par voie aérienne sur ses propres appareils. Autre exemple, pour Air France, objectivement, il s’agit de tout mettre en œuvre de rester la seule compagnie régulière dans l’Hexagone afin que les clients n’aient pas d’autres choix que de voler avec Air France ou AF. J’ai pu démontrer que pour les compagnies aériennes, le transport étant une conséquence de leurs activités est en réalité un centre de coût prohibitif qu’il faut naturellement mettre à charge des clients ».
Le nouveau concept lancé par les Belges
S’étant rendu compte qu’un pourcentage plus que conséquent des clients possèdent des chiens et des chats. Une étude a donc été commandée auprès d’un consultant américain. Après une étude de marché approfondie comportant d’une part une enquête quantitative (échantillonnage européen de 2.000 unités interviewées dans chacun des états) et d’autre part suivies par une réflexion qualitative sur le comportement psychologique des propriétaires d’animaux de compagnie, la société s’est rendu compte qu’il existait un marché important à prendre.
Qui plus est, il pouvait se travailler aussi bien par la compagnie elle-même que par sa carte de fidélisation.
Chaque fois qu’un passager souhaitera voyager avec son chien ou son chat, un service particulier sera mis à sa disposition de ces touristes à quatre pattes. Pour se faire, une partie de la cabine des avions sera partagée en quatre parties : Business class et Economy class pour les humains et Collier d’or class ou Collier cuir Class pour les chiens et chats.
Pour les animaux voyageant en Collier d’or Class des lounges spéciaux vont être implantés dans les aéroports. Dans ceux-ci, des salons de toilettages seront à la disposition des passagers, pardon, de leurs fidèles compagnons..
La carte de fidélisation Gribouille et Ramses
Un nouveau programme de fidélisation dédié aux chiens et chats va être mis en place. Nous avons pu apprendre la dénomination de celui-ci : « Gribouille et Ramses Card ». Le calcul des miles s’établira comme suit : distance aérienne parcourue multipliée par le poids de l’animal et divisée par le poids de celui du propriétaire.
Après un certain nombre de miles « Gribouille et Ramses », les bénéficiaires obtiendront soit un vol gratuit en soute, soit des réductions sur l’achat de nourriture pour les animaux. En effet, nous avons appris que ce programme étant sponsorisé par un producteur d’aliments pour chiens et chats, il est tout à fait normal que l’échange de miles se fasse en priorité en faveur de ce fabriquant.
Ce qui justifie par ailleurs que le transport gratuit offert se fasse dans la partie cargo des avions.
La réaction de Ryanair
La compagnie low cost n’est pas restée indifférente lorsqu’elle a appris le lancement de ce nouveau produit. « Nous pensons que la Commission européenne doit se pencher sur ce problème. Il s’agit là d’une position dominante qui doit être sanctionnée immédiatement.
Néanmoins, vous devez savoir que nous allons lancer dans les prochains jours un produit similaire. Dès que nous aurons négocié avec les aéroports les taxes nous pourrons communiquer nos offres de prix variables mais nettement moins élevées que cette compagnie belge qui ne respecte rien ».
Il va de soi que ce programme ne sera pas mis à la disposition des passagers se rendant dans un pays pratiquent la quarantaine. Pour le directeur commercial de la compagnie : « Vous devez comprendre que si nous devons créer des lounges pour les animaux en quarantaine ce produit ne serait pas rentable ».
Autres marchés exclus, les oiseaux : « En ce qui concerne les oiseaux, nous les avons exclus du programme pour des raisons humanitaires. Le risque est grand que les canaris, les poules ou les pigeons sortent traumatisés d’être transporté par des oiseaux de fer que sont les avions. »