Barry Diller
L'arrivée en force du Groupe de Barry Diller en France et la rationalisation des moyens dans une optique d'économie d'échelle, expliquent selon nos sources, la reprise en main de hotels.com.
Le Groupe affûte ses armes car, avant la fin de l'année, Expedia et Travelocity (qui adoptera un autre nom de domaine) vont s'affronter dans une guerre sans merci pour la suprématie hexagonale de la distribution de voyage en ligne.
Un avènement qui présage d'une nouvelle concentration et consolidation dans le secteur, déjà amorcée avec les rachats d'Anyaway par Expedia et celui de Boomerang par Travelocity.
Le Groupe de Barry Diller se disait disposé, il y a quelques mois encore, à poursuivre sa fructueuse collaboration avec Sncf.com qui lui a permis de poser ses premiers jalons sur le sol français.
Hotels.com : 3e société la plus profitable d'InteractiveCorp
L'homme dispose de liquidités confortables assurées par la véritable explosion du voyage en ligne. Rappelons que Hotels.com auquel nous avons consacré un article (Cf. LIRE) il y a quelques mois, c'est aujourd'hui 12 millions de nuitées, 4 millions de clients, un choix de 65 grandes villes européennes en stock avec 2 centres d'appel européens et une base de données de plus de 10 000 hôtels dans plus de 450 destinations dans le monde.
"Nous sommes la 3e société la plus profitable d'InteractiveCorp ( ex-USA Interactive), avec une marge bénéficiaire de 11%, soulignait à l'époque Pierre Duarte. Nous disposons au total de plus de 28 000 sites affiliés."
Hotels.com fonctionne sur un principe simple : les hôtels partenaires ne paient aucun abonnement mais s'engagent à accorder à la marque un allotement sur toute l'année.
Moyennant quoi il construit gratuitement un site pour ses affiliés, et les agences de voyage. Tous peuvent suivre, grâce à un système de traçabilité, l'état de leurs resa et de leurs ventes à tout moment.
Le Groupe affûte ses armes car, avant la fin de l'année, Expedia et Travelocity (qui adoptera un autre nom de domaine) vont s'affronter dans une guerre sans merci pour la suprématie hexagonale de la distribution de voyage en ligne.
Un avènement qui présage d'une nouvelle concentration et consolidation dans le secteur, déjà amorcée avec les rachats d'Anyaway par Expedia et celui de Boomerang par Travelocity.
Le Groupe de Barry Diller se disait disposé, il y a quelques mois encore, à poursuivre sa fructueuse collaboration avec Sncf.com qui lui a permis de poser ses premiers jalons sur le sol français.
Hotels.com : 3e société la plus profitable d'InteractiveCorp
L'homme dispose de liquidités confortables assurées par la véritable explosion du voyage en ligne. Rappelons que Hotels.com auquel nous avons consacré un article (Cf. LIRE) il y a quelques mois, c'est aujourd'hui 12 millions de nuitées, 4 millions de clients, un choix de 65 grandes villes européennes en stock avec 2 centres d'appel européens et une base de données de plus de 10 000 hôtels dans plus de 450 destinations dans le monde.
"Nous sommes la 3e société la plus profitable d'InteractiveCorp ( ex-USA Interactive), avec une marge bénéficiaire de 11%, soulignait à l'époque Pierre Duarte. Nous disposons au total de plus de 28 000 sites affiliés."
Hotels.com fonctionne sur un principe simple : les hôtels partenaires ne paient aucun abonnement mais s'engagent à accorder à la marque un allotement sur toute l'année.
Moyennant quoi il construit gratuitement un site pour ses affiliés, et les agences de voyage. Tous peuvent suivre, grâce à un système de traçabilité, l'état de leurs resa et de leurs ventes à tout moment.