Jean-Baptiste Lemoyne, Secrétaire d'Etat en charge du Tourisme était l'invité de BFMTV ce vendredi 22 janvier 2020.
A la question "Les Français pourront-ils changer de région pour les vacances de février ?", le secrétaire d'Etat a répondu : "Le virus ne vous prévient pas quand il augmente ou quand il baisse. Le virus c'est l'inattendu permanent.
Cela nous plonge tous dans l'incertitude permanente. Pour un secteur pour le tourisme c'est même un très gros problème car il y a des réservations et des plannings.
Les grandes fédérations, UMIH, GNI, les Entreprises du Voyage ont mis en place beaucoup de conditions commerciales très souples, très flexibles, pour que les Français puissent le cas échéant s'adapter, reporter, annuler... c'est un très gros effort par une secteur fortement touché".
A la question "Les Français pourront-ils changer de région pour les vacances de février ?", le secrétaire d'Etat a répondu : "Le virus ne vous prévient pas quand il augmente ou quand il baisse. Le virus c'est l'inattendu permanent.
Cela nous plonge tous dans l'incertitude permanente. Pour un secteur pour le tourisme c'est même un très gros problème car il y a des réservations et des plannings.
Les grandes fédérations, UMIH, GNI, les Entreprises du Voyage ont mis en place beaucoup de conditions commerciales très souples, très flexibles, pour que les Français puissent le cas échéant s'adapter, reporter, annuler... c'est un très gros effort par une secteur fortement touché".
Faut-il alors réserver ses billets de train pour les vacances de février ? "Aujourd'hui je suis plutôt dans le registre de la prudence. Attention, nous avons certains indicateurs qui sont en train de remonter. Aujourd'hui j'incite à la prudence.
On l'a vu ses derniers mois, les Français se sont adaptés et la plupart des réservations se sont faites en ultra dernière minute, nous l'avons vu l'été dernier. Les comportements sont en train de s'adapter".
On l'a vu ses derniers mois, les Français se sont adaptés et la plupart des réservations se sont faites en ultra dernière minute, nous l'avons vu l'été dernier. Les comportements sont en train de s'adapter".