C'est une nouvelle fois Gianfranco Bozzini, représentant italien de la Compagnie, qui est venu plaider ce mardi 27 à Paris le renvoi à une date ultérieure de la décision du tribunal de commerce. Ce que ce dernier a accepté.
Rien de vraiment sensationnel côté arguments : des sempiternelles discussions qui se poursuivraient à Gênes, tandis que l'on disperse à droite et à gauche les bateaux. Le nouveau délai a été décidé, indique-t-on, dans l'attente d'une décision du consortium bancaire qui finance la dette de Festival, décision qui devrait d'intervenir d'ici vendredi.
Selon la même source, la formule qui est en cours de discussion concerne une relance avec un partenaire extérieur, l'armateur RCCL (Royal Caribbean International), numéro deux américain.
De quoi se poser des questions (quelle que soit la décision du tribunal consulaire) sur les chances de survie du croisiériste qui a perdu toute crédibilité sur le marché français...
Rien de vraiment sensationnel côté arguments : des sempiternelles discussions qui se poursuivraient à Gênes, tandis que l'on disperse à droite et à gauche les bateaux. Le nouveau délai a été décidé, indique-t-on, dans l'attente d'une décision du consortium bancaire qui finance la dette de Festival, décision qui devrait d'intervenir d'ici vendredi.
Selon la même source, la formule qui est en cours de discussion concerne une relance avec un partenaire extérieur, l'armateur RCCL (Royal Caribbean International), numéro deux américain.
De quoi se poser des questions (quelle que soit la décision du tribunal consulaire) sur les chances de survie du croisiériste qui a perdu toute crédibilité sur le marché français...