Cette décision tue littéralement Festival Cruises en Belgique, puisque la loi belge n’autorise pas la vente des produits d’un TO belge si celui-ci n’est pas assuré en insolvabilité. En Belgique, Festival est représenté par une filiale "Festival Cruises Benelux" qui dispose dune licence d’agents de voyages du type A.
Si les agences belges se risquent encore à vouloir vendre les produits du croisiériste, ils devront passer commande directement avec la maison mère du croisiériste en Italie et donc prendre l’entière responsabilité de la bonne fin du voyage.
Réaction des professionnels belges
Pour le vice-président de Cruise and Ferry World, l’association professionnelle des croisiéristes en Belgique : « Je peux comprendre la décision du fonds de Garantie parce que les négociations en cours entre la compagnie et ses créanciers sont en cours depuis de nombreuses semaines sans résultats tangibles ».
Pour Antoon Van Eeckhout, administrateur délégué du VVR, l’association des AGV flamandes : « Il est regrettable que la direction de la compagnie n’ait pas joué carte sur table dès le début de ses difficultés. Elle paye aujourd’hui son manque de transparence.
Mais ce qui m’inquiète plus, c’est que le marché des croisières va être dominé par trois géants : Carnival avec 86.000 lits, Royal Caribbean International avec 37.000 lits et Norwegian Cruise Line avec 13.000 lits. Ce qui peut poser un problème en ce qui concerne le manque de concurrence. »
Si les agences belges se risquent encore à vouloir vendre les produits du croisiériste, ils devront passer commande directement avec la maison mère du croisiériste en Italie et donc prendre l’entière responsabilité de la bonne fin du voyage.
Réaction des professionnels belges
Pour le vice-président de Cruise and Ferry World, l’association professionnelle des croisiéristes en Belgique : « Je peux comprendre la décision du fonds de Garantie parce que les négociations en cours entre la compagnie et ses créanciers sont en cours depuis de nombreuses semaines sans résultats tangibles ».
Pour Antoon Van Eeckhout, administrateur délégué du VVR, l’association des AGV flamandes : « Il est regrettable que la direction de la compagnie n’ait pas joué carte sur table dès le début de ses difficultés. Elle paye aujourd’hui son manque de transparence.
Mais ce qui m’inquiète plus, c’est que le marché des croisières va être dominé par trois géants : Carnival avec 86.000 lits, Royal Caribbean International avec 37.000 lits et Norwegian Cruise Line avec 13.000 lits. Ce qui peut poser un problème en ce qui concerne le manque de concurrence. »