La collectivité envisage de céder ses parts (18%) "soit au conseil général", qui contrôle le Futuroscope, "soit à tout autre partenaire, comme la Caisse des dépôts, qui participe actuellement à des discussions sur la restructuration du capital", a déclaré à l'AFP Jean-Luc Fulachier, directeur général de la région.
"Le Futuroscope (...) a eu une bonne capacité de redressement ces dernières années. Les perspectives financières s'améliorent et dans ce cas il peut intéresser des investisseurs", a ajouté le directeur général de la région, dont la présidente (PS) est Ségolène Royal.
"La principale idée est de se dire que les actions possédées par la région dans différentes structures peuvent être activées en faveur des aides aux entreprises, pour l'emploi", a poursuivi M. Fulachier.
Le parc a renoué avec la croissance en 2004
La région a déjà cédé des actifs immobiliers comme la Maison de Poitou-Charentes à Paris ou celle de Bruxelles.
"On ne peut pas se retirer du Futuroscope aussi facilement lorsqu'on est actionnaire très minoritaire d'un capital de société. Il faut être en mesure de vendre ses parts, à un ou plusieurs repreneurs. Si tel est le cas, c'est au conseil de surveillance de décider", a réagi le président du conseil général de la Vienne, Alain Fouché (UMP) dans un communiqué.
Le Futuroscope, qui a fermé ses portes le 14 novembre pour une pause hivernale jusqu'au 5 février, a renoué avec la croissance en 2004 après six années de baisse, avec 1.350.000 entrées, soit 12% ou 150.000 visiteurs de plus qu'en 2003.
Depuis son ouverture en 1987, ce parc à thème consacré aux nouvelles technologies de l'image a accueilli près de 30 millions de visiteurs, ce qui en fait le deuxième parc de loisirs français.
La rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
"Le Futuroscope (...) a eu une bonne capacité de redressement ces dernières années. Les perspectives financières s'améliorent et dans ce cas il peut intéresser des investisseurs", a ajouté le directeur général de la région, dont la présidente (PS) est Ségolène Royal.
"La principale idée est de se dire que les actions possédées par la région dans différentes structures peuvent être activées en faveur des aides aux entreprises, pour l'emploi", a poursuivi M. Fulachier.
Le parc a renoué avec la croissance en 2004
La région a déjà cédé des actifs immobiliers comme la Maison de Poitou-Charentes à Paris ou celle de Bruxelles.
"On ne peut pas se retirer du Futuroscope aussi facilement lorsqu'on est actionnaire très minoritaire d'un capital de société. Il faut être en mesure de vendre ses parts, à un ou plusieurs repreneurs. Si tel est le cas, c'est au conseil de surveillance de décider", a réagi le président du conseil général de la Vienne, Alain Fouché (UMP) dans un communiqué.
Le Futuroscope, qui a fermé ses portes le 14 novembre pour une pause hivernale jusqu'au 5 février, a renoué avec la croissance en 2004 après six années de baisse, avec 1.350.000 entrées, soit 12% ou 150.000 visiteurs de plus qu'en 2003.
Depuis son ouverture en 1987, ce parc à thème consacré aux nouvelles technologies de l'image a accueilli près de 30 millions de visiteurs, ce qui en fait le deuxième parc de loisirs français.
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