Le ministère belge de la Santé publique a annoncé dimanche qu'il tentait de retrouver le Thaïlandais, qui a été apparemment relâché après avoir été appréhendé lundi à l'aéroport de Bruxelles par les services des douanes en possession de deux aigles dont des tests ont confirmé samedi qu'ils étaient infectés par le virus de la grippe aviaire.
La Commission européenne a fait savoir que les autorités belges l'avaient sollicitée pour qu'elle "l'aide dans sa recherche des passagers de différentes nationalités qui pourraient avoir été exposés au virus de la grippe aviaire".
"Bien que le risque de transmission des animaux aux hommes soit limité, il ne peut être exclu à partir du moment où les volatiles ont voyagé en cabine, dans un bagage à main", a indiqué la Commission dans un communiqué. L'exécutif de l'Union européenne s'est dit soucieux d'empêcher que ne s'introduise en Europe le virus mortel, qui a déjà tué au moins 30 personnes et touche six pays asiatiques.
Liste des passagers dispo mais pas d'adresse connue
Les passagers qui ont voyagé sur les mêmes vols que le Thaïlandais doivent consulter un médecin s'ils se mettent à développer des symptômes apparentés à ceux de la grippe aviaire, comme la nausée, la fièvre ou un rhume.
Ces vols sont le BR0061 de la compagnie taiwanaise EVA Airways arrivé lundi matin à Vienne en provenance de Bangkok, et le OS351 d'Austrian Airlines entre Vienne et Bruxelles de lundi dernier.
"Bien que la liste des passagers soit disponible pour les deux vols concernés, leur adresse n'est pas connue", a précisé la Commission, avant d'ajouter que "les oiseaux n'ont jamais quitté la zone de quarantaine à l'aéroport de Bruxelles et sont donc sans danger pour la volaille européenne".
Les officiers des douanes et les scientifiques qui ont été en contact avec les volatiles ont été traités préventivement contre le virus, ont rapporté les médias locaux. Les aigles ont été tués de même que deux perroquets qui avaient été saisis par les douanes auparavant.
La Commission européenne a fait savoir que les autorités belges l'avaient sollicitée pour qu'elle "l'aide dans sa recherche des passagers de différentes nationalités qui pourraient avoir été exposés au virus de la grippe aviaire".
"Bien que le risque de transmission des animaux aux hommes soit limité, il ne peut être exclu à partir du moment où les volatiles ont voyagé en cabine, dans un bagage à main", a indiqué la Commission dans un communiqué. L'exécutif de l'Union européenne s'est dit soucieux d'empêcher que ne s'introduise en Europe le virus mortel, qui a déjà tué au moins 30 personnes et touche six pays asiatiques.
Liste des passagers dispo mais pas d'adresse connue
Les passagers qui ont voyagé sur les mêmes vols que le Thaïlandais doivent consulter un médecin s'ils se mettent à développer des symptômes apparentés à ceux de la grippe aviaire, comme la nausée, la fièvre ou un rhume.
Ces vols sont le BR0061 de la compagnie taiwanaise EVA Airways arrivé lundi matin à Vienne en provenance de Bangkok, et le OS351 d'Austrian Airlines entre Vienne et Bruxelles de lundi dernier.
"Bien que la liste des passagers soit disponible pour les deux vols concernés, leur adresse n'est pas connue", a précisé la Commission, avant d'ajouter que "les oiseaux n'ont jamais quitté la zone de quarantaine à l'aéroport de Bruxelles et sont donc sans danger pour la volaille européenne".
Les officiers des douanes et les scientifiques qui ont été en contact avec les volatiles ont été traités préventivement contre le virus, ont rapporté les médias locaux. Les aigles ont été tués de même que deux perroquets qui avaient été saisis par les douanes auparavant.