« Malgré des coûts pétroliers qui pèsent de plus en plus lourd dans nos dépenses, Gulf Air est d’humeur festive, à mesure que l’on s’approche de la fin de l’année », a-t-il ainsi déclaré à la veille de l’ouverture du World Travel Market, à Londres.
« L’année a été exceptionnelle en tous points de vue : les mesures appliquées dans le cadre du projet Falcon –notre programme de retour à l’équilibre financier entamé en janvier 2003- continuent de porter leurs fruits, avec en ligne de mire un objectif financier conforme à nos intentions.
Gulf Air est bien parti pour battre des records de trafic passagers et de chiffre d’affaires, avec une dette au plus bas depuis 1989. Comme toutes les compagnies du monde entier, les hausses record des prix pétroliers nous affectent très durement, avec 35 millions de BD (72 millions d’Euros) au-dessus de notre budget prévisionnel 2004, mais cela n’a pas diminué notre détermination à atteindre l’équilibre pour la fin de l’année », affirme James Hogan.
La hausse du kérosène empêchera de "substantiels bénéfices"
Depuis le début du Projet Falcon, les indicateurs de trafic passagers au départ des trois hubs d’Abou Dhabi, de Bahraïn et de Mascate affichent respectivement une croissance de 46%, 36% et 105%, tandis que le chiffre d’affaires de l’activité Cargo est en hausse de 38%, et le taux de remplissage par siège augmente de 3,8%.
Cependant, avec des coûts de kérosène dépassant de 75% notre budget et un budget global pétrolier en dépassement de plus de 42,5% sur l’année 2004, James Hogan a admis sa déception, dans la mesure où ces coûts empêcheront la compagnie aérienne d’annoncer de substantiels bénéfices.
« Même si nous sommes frustrés de ne pas être bénéficiaires plus tôt que prévu, nous considérons que les augmentations des charges pétrolières ne sont qu’un nouvel obstacle à franchir : nous avançons en ajustant constamment notre business plan, afin de gérer au mieux les obstacles qui se dressent sur le chemin du succès ».
« L’année a été exceptionnelle en tous points de vue : les mesures appliquées dans le cadre du projet Falcon –notre programme de retour à l’équilibre financier entamé en janvier 2003- continuent de porter leurs fruits, avec en ligne de mire un objectif financier conforme à nos intentions.
Gulf Air est bien parti pour battre des records de trafic passagers et de chiffre d’affaires, avec une dette au plus bas depuis 1989. Comme toutes les compagnies du monde entier, les hausses record des prix pétroliers nous affectent très durement, avec 35 millions de BD (72 millions d’Euros) au-dessus de notre budget prévisionnel 2004, mais cela n’a pas diminué notre détermination à atteindre l’équilibre pour la fin de l’année », affirme James Hogan.
La hausse du kérosène empêchera de "substantiels bénéfices"
Depuis le début du Projet Falcon, les indicateurs de trafic passagers au départ des trois hubs d’Abou Dhabi, de Bahraïn et de Mascate affichent respectivement une croissance de 46%, 36% et 105%, tandis que le chiffre d’affaires de l’activité Cargo est en hausse de 38%, et le taux de remplissage par siège augmente de 3,8%.
Cependant, avec des coûts de kérosène dépassant de 75% notre budget et un budget global pétrolier en dépassement de plus de 42,5% sur l’année 2004, James Hogan a admis sa déception, dans la mesure où ces coûts empêcheront la compagnie aérienne d’annoncer de substantiels bénéfices.
« Même si nous sommes frustrés de ne pas être bénéficiaires plus tôt que prévu, nous considérons que les augmentations des charges pétrolières ne sont qu’un nouvel obstacle à franchir : nous avançons en ajustant constamment notre business plan, afin de gérer au mieux les obstacles qui se dressent sur le chemin du succès ».
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