Les adhérents qui n'acceptent pas ces nouvelles règles sont libres de partir.
Les temps sont durs pour les franchisés Havas.
Depuis l’annonce de l’alliance avec Carlson Wagonlit en mai dernier, certains comme François Piot rechignent à signer le nouveau contrat.
D’autres encore se méfient et pensent même changer de crèmerie, comme l’explique François Calvino, le vice-président de l’association des franchisés Havas.
« Il y a une grosse inquiétude chez les anciens adhérents, car les doublons sont très nombreux et nous les dénonçons.
Je pense que ce qui est arrivé à Yann Sellecchia (Lire) n’est qu’un début. Les problèmes de ce type vont certainement se multiplier ».
En effet, dans le nouveau contrat, les règles de territorialité ont été modifiées. Les agences existantes devront donc se partager différemment le marché. cy[
Depuis l’annonce de l’alliance avec Carlson Wagonlit en mai dernier, certains comme François Piot rechignent à signer le nouveau contrat.
D’autres encore se méfient et pensent même changer de crèmerie, comme l’explique François Calvino, le vice-président de l’association des franchisés Havas.
« Il y a une grosse inquiétude chez les anciens adhérents, car les doublons sont très nombreux et nous les dénonçons.
Je pense que ce qui est arrivé à Yann Sellecchia (Lire) n’est qu’un début. Les problèmes de ce type vont certainement se multiplier ».
En effet, dans le nouveau contrat, les règles de territorialité ont été modifiées. Les agences existantes devront donc se partager différemment le marché. cy[
Les adhérents qui n'acceptent pas les nouvelles règles sont libres de partir
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Mais Jean-Michel Rey, le responsable franchise Havas by CWT, tient à rassurer. « Nous n'imposerons aucune fermeture de point de vente ».
Les adhérents qui n'acceptent pas ces nouvelles règles sont libres de partir.
Cependant, près de 80% d'entre eux ont déjà signé le nouveau contrat, à l'image de Yann Sellecchia. « Nous avons donc fait les choses dans les règles » poursuit Jean-Michel Rey.
Il assure d'ailleurs qu'il a dû résilier l'engagement du Toulousain la mort dans l'âme. « Nous ne sommes pas là pour porter le coup de grâce à nos adhérents. Mais par mesure de précaution, en cas de défaut paiement, nous devons prendre les mesures nécessaires».
Une attitude qu'il estime responsable, vis à vis d'une affaire qui pourrait arriver dans n'importe quel autre réseau.
Les adhérents qui n'acceptent pas ces nouvelles règles sont libres de partir.
Cependant, près de 80% d'entre eux ont déjà signé le nouveau contrat, à l'image de Yann Sellecchia. « Nous avons donc fait les choses dans les règles » poursuit Jean-Michel Rey.
Il assure d'ailleurs qu'il a dû résilier l'engagement du Toulousain la mort dans l'âme. « Nous ne sommes pas là pour porter le coup de grâce à nos adhérents. Mais par mesure de précaution, en cas de défaut paiement, nous devons prendre les mesures nécessaires».
Une attitude qu'il estime responsable, vis à vis d'une affaire qui pourrait arriver dans n'importe quel autre réseau.