La plupart des serveurs ne sont déclarés qu'au salaire minimum, vivant essentiellement de leurs pourboires, et les propriétaires interrogés pensent que les prix vont grimper.
Le Premier ministre hongrois Ferenc Gyurcsany a annoncé mercredi un projet de loi pour inscrire le service sur les factures des cafés et restaurants, ce qui pourrait augmenter la note de 15%. Les factures incluent déjà la TVA.
"La majorité des serveurs de ce secteur vivent des pourboires", a déclaré Andras Rottek, propriétaire du restaurant Kerek, au journal Npszabadsag. Son collègue Peter Ajtai, du Ring Café, fait de la rébellion: "la concurrence est trop vive, nous ne pouvons augmenter nos prix".
L'Autrice a fait marche arrière
Lundi M. Gyurcsany avait présenté un programme de réformes dit "des cents pas", dont un des buts est d'augmenter les recettes sociales en éliminant le travail au noir ou l'"économie grise", notoirement importante en Hongrie.
Il prévoit un système d'incitations et de menaces afin que les salariés soient déclarés et payent leurs contributions sociales.
En Autriche, il y a quelques semaines, le ministre des Finances Karl-Heinz Grasser, avait proposé de lever une taxe forfaitaire sur les pourboires, mais a dû revenir en arrière après une levée de bouclers de la profession.
La Rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
Le Premier ministre hongrois Ferenc Gyurcsany a annoncé mercredi un projet de loi pour inscrire le service sur les factures des cafés et restaurants, ce qui pourrait augmenter la note de 15%. Les factures incluent déjà la TVA.
"La majorité des serveurs de ce secteur vivent des pourboires", a déclaré Andras Rottek, propriétaire du restaurant Kerek, au journal Npszabadsag. Son collègue Peter Ajtai, du Ring Café, fait de la rébellion: "la concurrence est trop vive, nous ne pouvons augmenter nos prix".
L'Autrice a fait marche arrière
Lundi M. Gyurcsany avait présenté un programme de réformes dit "des cents pas", dont un des buts est d'augmenter les recettes sociales en éliminant le travail au noir ou l'"économie grise", notoirement importante en Hongrie.
Il prévoit un système d'incitations et de menaces afin que les salariés soient déclarés et payent leurs contributions sociales.
En Autriche, il y a quelques semaines, le ministre des Finances Karl-Heinz Grasser, avait proposé de lever une taxe forfaitaire sur les pourboires, mais a dû revenir en arrière après une levée de bouclers de la profession.
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