« Nous devrions terminer notre premier exercice avec un chiffre d’affaires de 5,2 millions d’euros, soit 1 million de plus que nos objectifs de départ » se félicite François Weill, le directeur général France.
Plus de 3 000 clients ont emprunté la célèbre ligne de l’Express Côtier, qui relie 365 jours par an 34 ports de la côte norvégienne depuis maintenant 111 ans.
Les raisons du succès sont simples : une information en direction du public, une bonne réactivité des agences et un service de réservation efficace et compéten,t sans oublier l’adaptation des bateaux aux nouveaux besoins de la clientèle.
« Nous avons su garder les traditions tout en intégrant de nouveaux services de croisière comme les jacuzzis en extérieur qui équipent 9 de nos 11 bateaux ou encore la piscine chauffée ».
Autant d’éléments qui ont pesé favorablement sur le premier bilan malgré la cherté du produit. « Nous ne sommes pas spécialement bon marché mais il est vrai que la Norvège est chère, notamment pour la restauration», précise François Weill qui insiste sur l’excellent rapport qualité prix de ses navires et l’absence de mauvaises surprises du produit.
L'offre la plus complète sur la Norvège
« Seuls 2 clients se sont plaints auprès de notre service après vente. Après vérification, il s’est avéré qu’on leur avait conseillé un produit inadapté à leurs attentes ». Pour son deuxième exercice, Hurtigruten (les routes rapides en norvégien) accroît encore son offre, la plus complète sur la Norvège, déclinée le long des 92 pages de sa brochure.
Mais l’agent général de la compagnie compte également capitaliser sur son expérience des croisières polaires, en ajoutant 3 nouveaux catalogues à sa production, multipliant ainsi ses départs par 3 aussi bien en été qu’en hiver.
Désormais, le Spitzberg (brochure déjà disponible), l’Antarctique et les îles Lofoten (sorties en janvier 2005) viendront étoffer sa nouvelle production. Baptisées « voyages extrêmes », elles espèrent conquérir 1/3 de clients supplémentaires.
Rattraper le marché anglais qui totalise près de 8000 clients
Pour y arriver, un réel effort descriptif a été apporté pour chaque produit, afin de cerner au plus près les réalités du voyage et l’offre « cabine » a été volontairement simplifiée avec 13 catégories proposées contre 23 cette année.
« Nous avons également « francisé » nos packages avec des guides francophones sur la majorité de nos bateaux». Revendu majoritairement par le réseau (seules 25 % des ventes sont faites en direct), Hurtigruten compte encore renforcer ses partenariats avec les agences.
Avec un atout de taille : « nos commissions de base sont de 10 % mais peuvent grimper jusqu’à 13 % pour nos meilleurs revendeurs ». d’ici quatre ans, Hurtigruten France espère bien rattraper le marché anglais qui totalise près de 8000 clients.
Plus de 3 000 clients ont emprunté la célèbre ligne de l’Express Côtier, qui relie 365 jours par an 34 ports de la côte norvégienne depuis maintenant 111 ans.
Les raisons du succès sont simples : une information en direction du public, une bonne réactivité des agences et un service de réservation efficace et compéten,t sans oublier l’adaptation des bateaux aux nouveaux besoins de la clientèle.
« Nous avons su garder les traditions tout en intégrant de nouveaux services de croisière comme les jacuzzis en extérieur qui équipent 9 de nos 11 bateaux ou encore la piscine chauffée ».
Autant d’éléments qui ont pesé favorablement sur le premier bilan malgré la cherté du produit. « Nous ne sommes pas spécialement bon marché mais il est vrai que la Norvège est chère, notamment pour la restauration», précise François Weill qui insiste sur l’excellent rapport qualité prix de ses navires et l’absence de mauvaises surprises du produit.
L'offre la plus complète sur la Norvège
« Seuls 2 clients se sont plaints auprès de notre service après vente. Après vérification, il s’est avéré qu’on leur avait conseillé un produit inadapté à leurs attentes ». Pour son deuxième exercice, Hurtigruten (les routes rapides en norvégien) accroît encore son offre, la plus complète sur la Norvège, déclinée le long des 92 pages de sa brochure.
Mais l’agent général de la compagnie compte également capitaliser sur son expérience des croisières polaires, en ajoutant 3 nouveaux catalogues à sa production, multipliant ainsi ses départs par 3 aussi bien en été qu’en hiver.
Désormais, le Spitzberg (brochure déjà disponible), l’Antarctique et les îles Lofoten (sorties en janvier 2005) viendront étoffer sa nouvelle production. Baptisées « voyages extrêmes », elles espèrent conquérir 1/3 de clients supplémentaires.
Rattraper le marché anglais qui totalise près de 8000 clients
Pour y arriver, un réel effort descriptif a été apporté pour chaque produit, afin de cerner au plus près les réalités du voyage et l’offre « cabine » a été volontairement simplifiée avec 13 catégories proposées contre 23 cette année.
« Nous avons également « francisé » nos packages avec des guides francophones sur la majorité de nos bateaux». Revendu majoritairement par le réseau (seules 25 % des ventes sont faites en direct), Hurtigruten compte encore renforcer ses partenariats avec les agences.
Avec un atout de taille : « nos commissions de base sont de 10 % mais peuvent grimper jusqu’à 13 % pour nos meilleurs revendeurs ». d’ici quatre ans, Hurtigruten France espère bien rattraper le marché anglais qui totalise près de 8000 clients.