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Rémy Arca, président des 1ères Rencontres des métiers du voyage et du tourisme qui se déroulent actuellement sur le Queen Mary 2, a présenté les conclusions plutôt rassurantes d'un des grands spécialistes du secteur de la croisière. Vous pourrez retrouver des chiffres détaillés dans le document à télécharger en bas de page.
Premier constat : la croissance de cette industrie en Europe est en nette progression. De 2003 à 2005 sa part de marché a augmenté de 13% à 3,2 millions de passagers, alors qu'aux USA (9,7 millions de croisiéristes), elle n'affiche « que » 7%.
Les capacités des navires continuent de croître et d'ici 2010 on devrait compter 274 unités pour 440 000 lits. Enfin, d'ici 2015, il devrait y avoir selon les prévisions 6 millions de croisiéristes supplémentaires dans le monde.
Le secteur n'intéresse pas que les majors. Aux côtés des catégories Luxe, Premium et Contemporary (standard), on trouve aussi des low cost comme Easycruise, qui dispose d'un bateau en Méditerranée et envisage d'en placer un autre aux Caraïbes. Par ailleurs, Richard Branson (Virgin) est également séduit par le concept et TUI réfléchit à la commande de nouveaux bateaux.
La croisière est bel et bien un produit de substitution à la billetterie aérienne
Rémy Arca, patron de CIC n'est guère convaincu de la viabilité à terme du concept « croisière bas prix » tout en remarquant que le concept luxe est aussi celui qui a été le plus touché par la crise de 2001. « Les catégories standard et Premium sont celles qui vont dominer le marché... »
Pour lui, pas de doute. Si l'on en croît les conclusions de Tony Peisley, qui s'appuyent sur les chiffres du marché US, « l'évolution du marché de la croisière repose sur un vecteur indispensable : l'agent de voyages. » Des chiffres qui nous révèlent que 93% des clients consultent internet pour s'informer sur les produits croisière et 64% d'entre eux concrétisent dans une agence de voyages.
Pas de doute : la croisière est bel et bien un produit de substitution à la billetterie aérienne par exemple. Outre le taux de satisfaction très élevé de la clientèle, la vente de ce produit ne génère pratiquement pas d'après vente et ses commissions sont plutôt rémunératrices.
Pour analyser en détail cette étude, télécharger le document en power point en CLIQUANT ICI.
Premier constat : la croissance de cette industrie en Europe est en nette progression. De 2003 à 2005 sa part de marché a augmenté de 13% à 3,2 millions de passagers, alors qu'aux USA (9,7 millions de croisiéristes), elle n'affiche « que » 7%.
Les capacités des navires continuent de croître et d'ici 2010 on devrait compter 274 unités pour 440 000 lits. Enfin, d'ici 2015, il devrait y avoir selon les prévisions 6 millions de croisiéristes supplémentaires dans le monde.
Le secteur n'intéresse pas que les majors. Aux côtés des catégories Luxe, Premium et Contemporary (standard), on trouve aussi des low cost comme Easycruise, qui dispose d'un bateau en Méditerranée et envisage d'en placer un autre aux Caraïbes. Par ailleurs, Richard Branson (Virgin) est également séduit par le concept et TUI réfléchit à la commande de nouveaux bateaux.
La croisière est bel et bien un produit de substitution à la billetterie aérienne
Rémy Arca, patron de CIC n'est guère convaincu de la viabilité à terme du concept « croisière bas prix » tout en remarquant que le concept luxe est aussi celui qui a été le plus touché par la crise de 2001. « Les catégories standard et Premium sont celles qui vont dominer le marché... »
Pour lui, pas de doute. Si l'on en croît les conclusions de Tony Peisley, qui s'appuyent sur les chiffres du marché US, « l'évolution du marché de la croisière repose sur un vecteur indispensable : l'agent de voyages. » Des chiffres qui nous révèlent que 93% des clients consultent internet pour s'informer sur les produits croisière et 64% d'entre eux concrétisent dans une agence de voyages.
Pas de doute : la croisière est bel et bien un produit de substitution à la billetterie aérienne par exemple. Outre le taux de satisfaction très élevé de la clientèle, la vente de ce produit ne génère pratiquement pas d'après vente et ses commissions sont plutôt rémunératrices.
Pour analyser en détail cette étude, télécharger le document en power point en CLIQUANT ICI.