Icelandair débarque à Genève avec deux vols par semaine, du 24 mai au 23 septembre 2014 - DR : Icelandair
En 2013, le marché français a été exemplaire pour la compagnie Icelandair.
Le nombre de passagers a progressé de 14%, pour une hausse des capacités de 15%. Ses revenus affichent également une croissance de 5%.
Des résultats qui réjouissent Bryndis Philibert, la directrice des ventes en France.
"Nous profitons d'un engouement certain pour notre pays, sans doute stimulé par la chute du cours de notre monnaie, la couronne, qui rend les tarifs très attractifs".
Selon les chiffres de l'office du tourisme, le nombre de Français a grimpé de 16,2% en 2013, pour 48 313 voyageurs.
Afin de soutenir sa croissance, Icelandair compte augmenter ses capacités de 15% sur la France en 2014.
Elle espère également promouvoir ses vols vers le Canada et les Etats-Unis via son hub de Reykjavík.
Actuellement, 28% des passagers français effectuent un transit dans la capitale vers 12 destinations Outre-Atlantique.
"Les voyageurs ont tout intérêt à passer par l'Islande pour éviter les attentes trop longues à la douane américaine", assure Bryndis Philibert.
D'autant plus qu'elle propose des offres de stop-over permettant aux passagers en transit vers les Etats-Unis de faire escale jusqu'à sept jours sur place, sans surcoût.
La compagnie va par ailleurs étoffer son réseau au Canada, en programmant Edmonton et Vancouver.
Le nombre de passagers a progressé de 14%, pour une hausse des capacités de 15%. Ses revenus affichent également une croissance de 5%.
Des résultats qui réjouissent Bryndis Philibert, la directrice des ventes en France.
"Nous profitons d'un engouement certain pour notre pays, sans doute stimulé par la chute du cours de notre monnaie, la couronne, qui rend les tarifs très attractifs".
Selon les chiffres de l'office du tourisme, le nombre de Français a grimpé de 16,2% en 2013, pour 48 313 voyageurs.
Afin de soutenir sa croissance, Icelandair compte augmenter ses capacités de 15% sur la France en 2014.
Elle espère également promouvoir ses vols vers le Canada et les Etats-Unis via son hub de Reykjavík.
Actuellement, 28% des passagers français effectuent un transit dans la capitale vers 12 destinations Outre-Atlantique.
"Les voyageurs ont tout intérêt à passer par l'Islande pour éviter les attentes trop longues à la douane américaine", assure Bryndis Philibert.
D'autant plus qu'elle propose des offres de stop-over permettant aux passagers en transit vers les Etats-Unis de faire escale jusqu'à sept jours sur place, sans surcoût.
La compagnie va par ailleurs étoffer son réseau au Canada, en programmant Edmonton et Vancouver.
Un vol sur Genève qui va intéresser les Lyonnais
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Autre nouveauté sur son réseau, l'arrivée de Genève avec deux vols par semaine, du 24 mai au 23 septembre 2014.
Une ligne qui devrait intéresser les passagers de la région Rhône-Alpes. La compagnie table sur 20 à 25% de Français dans son business plan.
"Nous étudions chaque année l'opportunité d'ouvrir un vol direct sur Lyon. Mais rien ne sera confirmé avant l'été", glisse Bryndis Philibert.
Si Icelandair débarque à Saint-Exupéry, elle sera en concurrence avec Wow Air, sa rivale low-cost.
Cette dernière opère deux rotations hebdomadaires entre le 15 juin et le 7 septembre. Elle a d'ailleurs quadruplé le nombre de ses passagers depuis son arrivée sur le marché français en 2012.
Mais cette concurrence n'inquiète pas Bryndis Philibert. "Le marché global est en croissance, il y a de la place pour tout le monde.
D'autant plus que notre offre de compagnie régulière est radicalement différente".
Une ligne qui devrait intéresser les passagers de la région Rhône-Alpes. La compagnie table sur 20 à 25% de Français dans son business plan.
"Nous étudions chaque année l'opportunité d'ouvrir un vol direct sur Lyon. Mais rien ne sera confirmé avant l'été", glisse Bryndis Philibert.
Si Icelandair débarque à Saint-Exupéry, elle sera en concurrence avec Wow Air, sa rivale low-cost.
Cette dernière opère deux rotations hebdomadaires entre le 15 juin et le 7 septembre. Elle a d'ailleurs quadruplé le nombre de ses passagers depuis son arrivée sur le marché français en 2012.
Mais cette concurrence n'inquiète pas Bryndis Philibert. "Le marché global est en croissance, il y a de la place pour tout le monde.
D'autant plus que notre offre de compagnie régulière est radicalement différente".