Selon un baromètre Randstad-Le Parisien, réalisé par l’institut LH2, la hausse ou la baisse des dépenses est indépendante de la volonté des salariés.
Il s’agit d’une obligations extérieure : baisse du pouvoir d’achat, hausse du prix du baril de pétrole, imposée par la conjoncture.
Selon l’étude, la hausse du prix du pétrole se fait au détriment d’autres secteurs, notamment celui des loisirs.
En effet, seulement 35 % des salariés (-17 points par rapport à 2007) prévoient de dépenser davantage que l’année dernière dans les loisirs.
A noter également que le nombre de salariés n’ayant pas le projet de partir en vacances cet été a doublé (8 % en moyenne, contre 4 % l’an dernier), même s’il reste très minoritaire.
Seuls 8% des salariés vont augmenter la part du budget vacances
Il s’agit d’une obligations extérieure : baisse du pouvoir d’achat, hausse du prix du baril de pétrole, imposée par la conjoncture.
Selon l’étude, la hausse du prix du pétrole se fait au détriment d’autres secteurs, notamment celui des loisirs.
En effet, seulement 35 % des salariés (-17 points par rapport à 2007) prévoient de dépenser davantage que l’année dernière dans les loisirs.
A noter également que le nombre de salariés n’ayant pas le projet de partir en vacances cet été a doublé (8 % en moyenne, contre 4 % l’an dernier), même s’il reste très minoritaire.
Seuls 8% des salariés vont augmenter la part du budget vacances
Les personnes ayant déclaré qu’elles dépenseraient globalement plus, imputent très largement cette augmentation à la hausse des prix (72 %, +13 points vs 2007), explique l’enquête. On note également que la volonté de se faire plaisir est moins prépondérante.
Seulement 13% (- 5 points Vs 2007) des salariés déclarent qu’ils accorderont plus d’importance pour leurs vacances et leurs loisirs. Enfin, une minorité (8%) a quand à elle décidé d’augmenter la part du budget dédié aux vacances.
Près d’un interviewé sur deux pensant dépenser moins d’argent pendant ses vacances le justifie par une diminution de son pouvoir d’achat (47 %, +18 points depuis juin 2007). Cette hausse, assez considérable, est encore plus forte parmi les femmes (50 %, +24) et les classes moyennes (60 %, +27).
Seulement 13% (- 5 points Vs 2007) des salariés déclarent qu’ils accorderont plus d’importance pour leurs vacances et leurs loisirs. Enfin, une minorité (8%) a quand à elle décidé d’augmenter la part du budget dédié aux vacances.
Près d’un interviewé sur deux pensant dépenser moins d’argent pendant ses vacances le justifie par une diminution de son pouvoir d’achat (47 %, +18 points depuis juin 2007). Cette hausse, assez considérable, est encore plus forte parmi les femmes (50 %, +24) et les classes moyennes (60 %, +27).
Sondage LH2 réalisé pour Randstad et Le Parisien-Aujourd’hui en France les 13-14 juin et les
20-21 juin 2008, par téléphone.
Échantillon de 961 salariés, extrait d’un échantillon représentatif de la population française
âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes : sexe,
âge, profession du chef de famille, après stratification par région et catégorie d’agglomération.
20-21 juin 2008, par téléphone.
Échantillon de 961 salariés, extrait d’un échantillon représentatif de la population française
âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes : sexe,
âge, profession du chef de famille, après stratification par région et catégorie d’agglomération.