Me David Sprecher, avocat du CEDIV
« Nous avons décidé de faire descendre l’information qui, habituellement remonte vers le siège, en allant à la rencontre des agences de voyages », explique Me David Sprecher, avocat du CEDIV qui vient de conduire avec Adriana Minchella, sa présidente, 2 réunions d’information à Lyon et Toulouse.
Paris et Strasbourg sont également dans les tuyaux pour le mois de juin.
Avec des petits groupes de 8 personnes, il s’agissait d’aborder de manière concrète et très personnelle, presque en one to one, les problèmes des distributeurs sur le terrain.
Le sujet traité « La plainte client comme outil marketing » est de ceux qui traumatisent particulièrement l’agence, souvent démunie face à l’appareil judiciaire.
« Ces ateliers sont adaptés aux spécificités locales et tiennent compte des départs de tel ou tel aéroport, explique Me Sprecher. Les agences présentes ont un énorme besoin d’information sur ces questions et sont ravies de pouvoir échanger avec leurs confrères. Ils se rendent compte qu’ils ne sont pas seuls à avoir ce type de problèmes et cela est déjà un point positif… »
Les ateliers se sont plutôt bien passés et l’horaire prévu à souvent été (très) largement débordé. « Dans les DOM/TOM, la demande pour ce type d’information est également très importante, souligne Adriana Minchella. Nous allons laisser décanter, attendre le retour du formulaire de satisfaction et ensuite nous fixerons un programme avec un calendrier précis… »
Paris et Strasbourg sont également dans les tuyaux pour le mois de juin.
Avec des petits groupes de 8 personnes, il s’agissait d’aborder de manière concrète et très personnelle, presque en one to one, les problèmes des distributeurs sur le terrain.
Le sujet traité « La plainte client comme outil marketing » est de ceux qui traumatisent particulièrement l’agence, souvent démunie face à l’appareil judiciaire.
« Ces ateliers sont adaptés aux spécificités locales et tiennent compte des départs de tel ou tel aéroport, explique Me Sprecher. Les agences présentes ont un énorme besoin d’information sur ces questions et sont ravies de pouvoir échanger avec leurs confrères. Ils se rendent compte qu’ils ne sont pas seuls à avoir ce type de problèmes et cela est déjà un point positif… »
Les ateliers se sont plutôt bien passés et l’horaire prévu à souvent été (très) largement débordé. « Dans les DOM/TOM, la demande pour ce type d’information est également très importante, souligne Adriana Minchella. Nous allons laisser décanter, attendre le retour du formulaire de satisfaction et ensuite nous fixerons un programme avec un calendrier précis… »