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« Le Tour Opérateur Isrofly n’ayant pas honoré les engagements qu’il a pris à l’occasion de la réunion de médiation qui s’est déroulée le 22 août 2006 sous l’égide du Ministère du Tourisme et des Transports, Corsair informe les clients de la société Isrofly que le vol du 28 août CRL 848 ORY TLV et CRL 849 TLV ORY ne sera pas opéré. »
C’est par ce communiqué laconique que la Compagnie Corsair a déçu les attentes des passagers qui attendent, depuis plusieurs jours, un hypothétique retour en France. Le litige entre la Compagnie et le TO israélien qui a tiré le rideau de son agence à Paris, prend des allures de bras de fer.
Pourtant, le 23 août dernier, la médiation de la Direction du Tourisme du Ministère des Transports, avait semblé porté ses fruits, puisque le transporteur annonçait « un accord conclu le 22 août 2006 entre les sociétés Corsair et Isrofly et le maintien des vols Paris - Tel Aviv et Tel Aviv - Paris des 28 et 30 août et invitait « Tous les passagers Isrofly à contacter directement leur Tour Opérateur. »
Un chèque a régler de l'ordre de 180 000 euros
Le chèque a régler était de l'ordre de 180 000 euros, selon certaines sources, sachant que le nombre estimé (certains ayant déjà pris d'autres dispositions) de passagers est de l'ordre du millier dans les 2 sens (Paris-Tel Aviv)
Mais il semblerait que le règlement promis et attendu ne soit pas arrivé. Aussi, Corsair campe sur ses positions mais ne met pas encore en cause la rotation du 30 août pour laquelle, selon une source proche du dossier, aucune décision n’a été arrêtée.
En attendant que la situation se débloque, les passagers pris en otage par un litige qui ne les concerne pas devront, une fois de plus, en faire les frais…
C’est par ce communiqué laconique que la Compagnie Corsair a déçu les attentes des passagers qui attendent, depuis plusieurs jours, un hypothétique retour en France. Le litige entre la Compagnie et le TO israélien qui a tiré le rideau de son agence à Paris, prend des allures de bras de fer.
Pourtant, le 23 août dernier, la médiation de la Direction du Tourisme du Ministère des Transports, avait semblé porté ses fruits, puisque le transporteur annonçait « un accord conclu le 22 août 2006 entre les sociétés Corsair et Isrofly et le maintien des vols Paris - Tel Aviv et Tel Aviv - Paris des 28 et 30 août et invitait « Tous les passagers Isrofly à contacter directement leur Tour Opérateur. »
Un chèque a régler de l'ordre de 180 000 euros
Le chèque a régler était de l'ordre de 180 000 euros, selon certaines sources, sachant que le nombre estimé (certains ayant déjà pris d'autres dispositions) de passagers est de l'ordre du millier dans les 2 sens (Paris-Tel Aviv)
Mais il semblerait que le règlement promis et attendu ne soit pas arrivé. Aussi, Corsair campe sur ses positions mais ne met pas encore en cause la rotation du 30 août pour laquelle, selon une source proche du dossier, aucune décision n’a été arrêtée.
En attendant que la situation se débloque, les passagers pris en otage par un litige qui ne les concerne pas devront, une fois de plus, en faire les frais…