Suite à cette décision, par un communiqué de presse du 16/3, la CIT, après avoir donné toutes les motivations de la contestation, a décide de réunir le Comité de Garantie du groupe le 18/3.
Celui-ci, à son tour, a convoque le Conseil d’administration avec comme ordre du jour la remise à l'étude des modalités et du calendrier de l'augmentation de capital décidée par l'assemblée extraordinaire du 29/10/04.
Augmentation du capital suspendue
Ainsi, le 24 mars le Conseil a en effet décidé de :
1) surseoir à l'augmentation de capital
2) de convoquer dès que possible l'Assemblée Générale des actionnaires pour évaluer la gestion de crise mise en place
3) d'utiliser le terme légal de 180 jours après clôture de l'exercice pour la convocation de l'Assemblée Ordinaire annuelle.
Ce même jour, le titre CIT (qui avait été suspendu le 16/3) s’effondre de 14%. Notre confrère italien, le journal Finanza e Mercati du 29/3, n’hésite pas à publier que toutes les hypothèses imaginées pour remettre en équilibre les comptes sont tombées à l’eau, ce qui remet en cause le maintient en vie de la société.
Mais la chose la plus inquiétante pour ce quotidien financier, c’est le désintérêt manifeste du gouvernement italien dans cette affaire. Ce qui confirme également ce que nous avons toujours écrit, à savoir la non intervention, (toujours annoncée mais jamais confirmée) de Sviluppo Italia dans le sauvetage de la société.
Accor rachèterait Sassa Seccola pour une bouchée de pain
D'autre part, selon certaines personnes proches du groupe, le groupe Accor pourrait racheter l'île de Sassa Seccola pour moins de la moitié de sa valeur réelle qui est estimèe à 50 millions euros.
Détail piquant : il y a quelques jours le directeur général de CIT France, malgré un déficit de 12 million euros et en situation de redressement judiciaire avec probation jusqu'au 31/7/05, a informé la parution de la première des deux brochures été 2005.
En même temps, la branche française du groupe a annoncé la nomination d’un directeur commercial, d'un directeur des relations humaines et d'un directeur administratif.
En Belgique, si les appointements de février ont été payés avec quelques jours de retard, le brouillard le plus épais plane quant à la continuation de l'activité. En effet, il ne faut pas oublier que la décision du Commissariat au Tourisme concernant la suppression ou la continuation de la licence, doit tomber avant le fin du mois d'avril.
Celui-ci, à son tour, a convoque le Conseil d’administration avec comme ordre du jour la remise à l'étude des modalités et du calendrier de l'augmentation de capital décidée par l'assemblée extraordinaire du 29/10/04.
Augmentation du capital suspendue
Ainsi, le 24 mars le Conseil a en effet décidé de :
1) surseoir à l'augmentation de capital
2) de convoquer dès que possible l'Assemblée Générale des actionnaires pour évaluer la gestion de crise mise en place
3) d'utiliser le terme légal de 180 jours après clôture de l'exercice pour la convocation de l'Assemblée Ordinaire annuelle.
Ce même jour, le titre CIT (qui avait été suspendu le 16/3) s’effondre de 14%. Notre confrère italien, le journal Finanza e Mercati du 29/3, n’hésite pas à publier que toutes les hypothèses imaginées pour remettre en équilibre les comptes sont tombées à l’eau, ce qui remet en cause le maintient en vie de la société.
Mais la chose la plus inquiétante pour ce quotidien financier, c’est le désintérêt manifeste du gouvernement italien dans cette affaire. Ce qui confirme également ce que nous avons toujours écrit, à savoir la non intervention, (toujours annoncée mais jamais confirmée) de Sviluppo Italia dans le sauvetage de la société.
Accor rachèterait Sassa Seccola pour une bouchée de pain
D'autre part, selon certaines personnes proches du groupe, le groupe Accor pourrait racheter l'île de Sassa Seccola pour moins de la moitié de sa valeur réelle qui est estimèe à 50 millions euros.
Détail piquant : il y a quelques jours le directeur général de CIT France, malgré un déficit de 12 million euros et en situation de redressement judiciaire avec probation jusqu'au 31/7/05, a informé la parution de la première des deux brochures été 2005.
En même temps, la branche française du groupe a annoncé la nomination d’un directeur commercial, d'un directeur des relations humaines et d'un directeur administratif.
En Belgique, si les appointements de février ont été payés avec quelques jours de retard, le brouillard le plus épais plane quant à la continuation de l'activité. En effet, il ne faut pas oublier que la décision du Commissariat au Tourisme concernant la suppression ou la continuation de la licence, doit tomber avant le fin du mois d'avril.