Les variations en pourcentage peuvent sembler significatives, mais en volume, le chiffre d’affaires de ce mois ne pèsera pas très lourd sur l’ensemble de l’année 2010.
Le RevPAR accuse un coup de gel, en baisse de 4.2% sur janvier 2009.
Alors qu’ils étaient en passe de regagner le terrain perdu sur l’année 2009, les taux d’occupation marquent un signe de faiblesse, en baisse de 3 points sur janvier 2010.
Les hôteliers français ont constaté une relative mollesse de l’activité Affaires.
Outre les intempéries persistantes, les déplacements sont freinés par les politiques voyages restrictives des entreprises et nce n’est pas la bonne fréquentation des stations de sports d’hiver qui peut compenser ce manque.
Les effets du plan de relance tardent à se faire sentir à court terme.
La pression reste forte sur les prix moyens avec des contrats Corporate renégociés à la baisse et une quête permanente du meilleur tarif par les clients individuels.
La proportion d’activité Affaires dans l’hôtellerie de chaque région fonctionne comme une ligne de
partage.
Alors qu’ils étaient en passe de regagner le terrain perdu sur l’année 2009, les taux d’occupation marquent un signe de faiblesse, en baisse de 3 points sur janvier 2010.
Les hôteliers français ont constaté une relative mollesse de l’activité Affaires.
Outre les intempéries persistantes, les déplacements sont freinés par les politiques voyages restrictives des entreprises et nce n’est pas la bonne fréquentation des stations de sports d’hiver qui peut compenser ce manque.
Les effets du plan de relance tardent à se faire sentir à court terme.
La pression reste forte sur les prix moyens avec des contrats Corporate renégociés à la baisse et une quête permanente du meilleur tarif par les clients individuels.
La proportion d’activité Affaires dans l’hôtellerie de chaque région fonctionne comme une ligne de
partage.
Janvier, un des mois les plus creux de l’année
Lyon et la région Rhône-Alpes sont les premières victimes de ce phénomène avec une activité congrès-salons nettement en recul.
A l’inverse, la bonne fréquentation haut de gamme des hôtels de la Côte d’Azur a été bénéfique.
Pour autant, il faut remettre les choses en perspective, à l’exception de quelques salons notables sur Paris, dont la Fashion Week, le mois de janvier est traditionnellement l’un des plus creux de l’année.
Les variations en pourcentage peuvent sembler significatives, mais en volume, le chiffre d’affaires de ce mois ne pèsera pas très lourd sur l’ensemble de l’année 2010.
En introduisant les paramètres connus à ce jour sur les prévisions économiques, le modèle statistique de MKG Hospitality, table néanmoins sur une véritable stabilisation de l’activité.
Dans l’hypothèse la plus haute, il prévoit même un retour au positif. Le redressement progressif des taux d’occupation s’opère déjà. Il risque de souffrir dans certains villes d’affaires du phénomène «années paires», moins porteuses en matière de tourisme d’affaires.
La solidité du socle français d’hôtellerie économique, qui montre une véritable résistance à la crise, permet d’être relativement confiant. En revanche, il est certain qu’il faudra du temps pour retrouver un niveau tarifaire équivalent aux meilleures années 2006 et 2007.
Pour autant, on ne constate pas d’effondrement ou de guerre des prix sauvages. La bataille commerciale se limite essentiellement aux catégories 3* et 4*, et les leçons du passé
A l’inverse, la bonne fréquentation haut de gamme des hôtels de la Côte d’Azur a été bénéfique.
Pour autant, il faut remettre les choses en perspective, à l’exception de quelques salons notables sur Paris, dont la Fashion Week, le mois de janvier est traditionnellement l’un des plus creux de l’année.
Les variations en pourcentage peuvent sembler significatives, mais en volume, le chiffre d’affaires de ce mois ne pèsera pas très lourd sur l’ensemble de l’année 2010.
En introduisant les paramètres connus à ce jour sur les prévisions économiques, le modèle statistique de MKG Hospitality, table néanmoins sur une véritable stabilisation de l’activité.
Dans l’hypothèse la plus haute, il prévoit même un retour au positif. Le redressement progressif des taux d’occupation s’opère déjà. Il risque de souffrir dans certains villes d’affaires du phénomène «années paires», moins porteuses en matière de tourisme d’affaires.
La solidité du socle français d’hôtellerie économique, qui montre une véritable résistance à la crise, permet d’être relativement confiant. En revanche, il est certain qu’il faudra du temps pour retrouver un niveau tarifaire équivalent aux meilleures années 2006 et 2007.
Pour autant, on ne constate pas d’effondrement ou de guerre des prix sauvages. La bataille commerciale se limite essentiellement aux catégories 3* et 4*, et les leçons du passé