Jazeera Airways est une compagnie à bas prix, créée en mai avec un capital de 10 millions de dinars (34 millions de dollars), dont 30% des actions sont détenues par un groupe de fondateurs. Le reste a fait l'objet d'une offre publique.
Le vice-président des opérations, Adel al-Barges, a indiqué que Jazeera effectuerait son premier vol à la mi-février avec deux avions Airbus de 164 places chacun. Dans un premier temps, Jazeera a prévu d'assurer jusqu'à 30 liaisons hebdomadaires avec Beyrouth, Amman, Dubaï, Manama et Le Caire, a-t-il ajouté.
La compagnie va acquérir deux autres Airbus au bout de six à huit mois d'activités. Au terme de cinq ans d'activités, elle sera propriétaire de huit appareils, selon lui.
"C'est une compagnie aérienne à bas prix mais qui assure un service de très haute qualité (...). Elle n'offre que des places économiques et ses tarifs seront moitié moins chers que ceux de l'Agence internationale du transport aérien (AITA)", a affirmé M. Barges.
La libéralisation aérienne a été critiquée
Jazeera veut couvrir la plupart des pays du Golfe, du Moyen-Orient et du sud-est asiatique au cours des ses cinq premières années d'activités, selon lui. La compagnie est fondée par Boodai Group, un groupe d'affaires koweïtien qui a investi dans les secteurs des médias et du transport.
En novembre 2003, le gouvernement avait décidé d'ouvrir à la concurrence le secteur de l'aviation civile de l'émirat, qui était le monopole de la compagnie nationale Kuwait Airways, afin de permettre l'émergence de compagnies privées à bas coût et de fret.
Une seconde compagnie aérienne privée, de fret celle-là, est en cours de création. Des membres du Parlement koweïtien, qui possède le pouvoir de censurer les projets gouvernementaux, avaient toutefois critiqué cette libéralisation aérienne, estimant qu'elle allait handicaper Kuwait Airways, chroniquement déficitaire et lourdement endettée.
Abou Dhabi et Charjah, deux membres de la fédération des Emirats arabes unis, ont lancé depuis le début de l'année des compagnies à bas prix, sur le modèle américain ou européen, les premières du Moyen-Orient.
Le vice-président des opérations, Adel al-Barges, a indiqué que Jazeera effectuerait son premier vol à la mi-février avec deux avions Airbus de 164 places chacun. Dans un premier temps, Jazeera a prévu d'assurer jusqu'à 30 liaisons hebdomadaires avec Beyrouth, Amman, Dubaï, Manama et Le Caire, a-t-il ajouté.
La compagnie va acquérir deux autres Airbus au bout de six à huit mois d'activités. Au terme de cinq ans d'activités, elle sera propriétaire de huit appareils, selon lui.
"C'est une compagnie aérienne à bas prix mais qui assure un service de très haute qualité (...). Elle n'offre que des places économiques et ses tarifs seront moitié moins chers que ceux de l'Agence internationale du transport aérien (AITA)", a affirmé M. Barges.
La libéralisation aérienne a été critiquée
Jazeera veut couvrir la plupart des pays du Golfe, du Moyen-Orient et du sud-est asiatique au cours des ses cinq premières années d'activités, selon lui. La compagnie est fondée par Boodai Group, un groupe d'affaires koweïtien qui a investi dans les secteurs des médias et du transport.
En novembre 2003, le gouvernement avait décidé d'ouvrir à la concurrence le secteur de l'aviation civile de l'émirat, qui était le monopole de la compagnie nationale Kuwait Airways, afin de permettre l'émergence de compagnies privées à bas coût et de fret.
Une seconde compagnie aérienne privée, de fret celle-là, est en cours de création. Des membres du Parlement koweïtien, qui possède le pouvoir de censurer les projets gouvernementaux, avaient toutefois critiqué cette libéralisation aérienne, estimant qu'elle allait handicaper Kuwait Airways, chroniquement déficitaire et lourdement endettée.
Abou Dhabi et Charjah, deux membres de la fédération des Emirats arabes unis, ont lancé depuis le début de l'année des compagnies à bas prix, sur le modèle américain ou européen, les premières du Moyen-Orient.