Si le business de Kuoni va s’effondrer avec la Première Guerre Mondiale, les affaires reprendront à partir de 1920.
Cette année-là, Alfred Kuoni ouvre ses premières succursales en Suisse et à l’étranger.
En France, il s’établit en 1923 à Nice, première filiale étrangère. Puis ce seront Cannes, Monte-Carlo. Suivront Menton et Antibes, Paris en 1929, Beaulieu et Juan-les-Pins en 1931.
En 1927, la société simple s’est transformée en société anonyme. En 1929, les débuts parisiens déçoivent.
Sur les conseils de son partenaire new-yorkais, l’agence située boulevard Malesherbes a remplacé les traditionnels guichets par des espaces d’accueil ouverts, considérés plus conviviaux.
Pour Kuoni, le modèle américain ne convient pas.
« Les clients parisiens restaient assis trop longtemps et le chiffre d’affaires ne décollait pas non plus. Nous sommes donc revenus aux bons vieux guichets en conservant un bureau au 1er étage pour les cas particuliers » écrira dans ses mémoires le numéro 2 de l’époque, actionnaire minoritaire de l’entreprise (avec 40%), Harry Hugentobler.
Paris décollera en sous-louant une partie de ses locaux à « Paris Excursions ». Organisateur de visites de la capitale française, cette société qui dispose de ses propres autobus, connaît un succès retentissant.
Cette année-là, Alfred Kuoni ouvre ses premières succursales en Suisse et à l’étranger.
En France, il s’établit en 1923 à Nice, première filiale étrangère. Puis ce seront Cannes, Monte-Carlo. Suivront Menton et Antibes, Paris en 1929, Beaulieu et Juan-les-Pins en 1931.
En 1927, la société simple s’est transformée en société anonyme. En 1929, les débuts parisiens déçoivent.
Sur les conseils de son partenaire new-yorkais, l’agence située boulevard Malesherbes a remplacé les traditionnels guichets par des espaces d’accueil ouverts, considérés plus conviviaux.
Pour Kuoni, le modèle américain ne convient pas.
« Les clients parisiens restaient assis trop longtemps et le chiffre d’affaires ne décollait pas non plus. Nous sommes donc revenus aux bons vieux guichets en conservant un bureau au 1er étage pour les cas particuliers » écrira dans ses mémoires le numéro 2 de l’époque, actionnaire minoritaire de l’entreprise (avec 40%), Harry Hugentobler.
Paris décollera en sous-louant une partie de ses locaux à « Paris Excursions ». Organisateur de visites de la capitale française, cette société qui dispose de ses propres autobus, connaît un succès retentissant.
Le tourisme réceptif à jamais l’une des activités phares du groupe
C’est le Paris des « Années Folles », des cafés concerts, des expositions, le Paris qui attire et retient les artistes. Succès qui revient, dira la réclame de l’époque « à la qualité de ses véhicules, l’amabilité de ses chauffeurs et le sérieux de ses guides ».
Alfred Kuoni va proposer à Paris Excursions une organisation conjointe de voyages en car dans toute l’Europe.
Le tourisme réceptif restera à jamais l’une des activités phares du groupe zurichois.
En 2013, au moment de la cession de sa filiale française, Zurich gardera dans sa corbeille les activités réceptives implantées en France.
Kuoni élargira son offre en proposant en hiver des trains spéciaux à destination des stations de ski situées en Suisse et dans les Alpes tyroliennes.
Il deviendra très vite le spécialiste des voyages en train à destination de Vienne, Budapest, Rome et Naples. Il développera par ailleurs l’échange bilatéral entre tourisme entrant (incoming) et tourisme sortant (outbound).
Alfred Kuoni va proposer à Paris Excursions une organisation conjointe de voyages en car dans toute l’Europe.
Le tourisme réceptif restera à jamais l’une des activités phares du groupe zurichois.
En 2013, au moment de la cession de sa filiale française, Zurich gardera dans sa corbeille les activités réceptives implantées en France.
Kuoni élargira son offre en proposant en hiver des trains spéciaux à destination des stations de ski situées en Suisse et dans les Alpes tyroliennes.
Il deviendra très vite le spécialiste des voyages en train à destination de Vienne, Budapest, Rome et Naples. Il développera par ailleurs l’échange bilatéral entre tourisme entrant (incoming) et tourisme sortant (outbound).
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