Le Lac Titicaca, un des sites naturels les plus connus de l'Amérique du Sud
L’Amérique Latine a toujours eu un petit goût d’aventure.
Peut-être à cause des émissions de découverte, comme Ushuaïa Nature, qui nous faisait parcourir les richesses culturelles de la Bolivie, les paysages extraordinaires de la Patagonie ou le mode de vie des indiens de l’Amazonie.
D’ailleurs, ce continent est depuis toujours une affaire de spécialistes, comme Atalante, Terre d’Aventure ou Nomades.
Mais depuis quelques années, l’engouement est grandissant. Car ce territoire se prête parfaitement à la dernière tendance du marché français : le tourisme à la carte.
Une spécialité chez Terra Group. « Les clients veulent de l’authentique, dormir dans des petits hôtels et rencontrer les populations locales » explique Anik le Jean du réceptif. La crise et la morosité en Europe poussent les touristes vers le dépaysement total.
Peut-être à cause des émissions de découverte, comme Ushuaïa Nature, qui nous faisait parcourir les richesses culturelles de la Bolivie, les paysages extraordinaires de la Patagonie ou le mode de vie des indiens de l’Amazonie.
D’ailleurs, ce continent est depuis toujours une affaire de spécialistes, comme Atalante, Terre d’Aventure ou Nomades.
Mais depuis quelques années, l’engouement est grandissant. Car ce territoire se prête parfaitement à la dernière tendance du marché français : le tourisme à la carte.
Une spécialité chez Terra Group. « Les clients veulent de l’authentique, dormir dans des petits hôtels et rencontrer les populations locales » explique Anik le Jean du réceptif. La crise et la morosité en Europe poussent les touristes vers le dépaysement total.
Un hébergement de qualité
L’aventure d’accord, mais sans sacrifier le confort. Il n’est pas rare de trouver des superbes lodges perdus au fond de la jungle.
De nombreux hôtels en Amérique du Sud sont de petites tailles, adaptés à un tourisme confidentiel. «Sauf au Mexique, il y a peu de gros resorts » nous confirme Anik le Jean.
De toute façon, l’Amérique du sud ne se prête pas au tourisme de masse. « Ce n’est pas notre marché » ajoute Anik le Jean. « Nous proposons des séjours culturels et sur mesure. Notre clientèle reste haut de gamme ».
Il est vrai que le voyage coûte cher, si l’on compte les billets d’avions, mais aussi les coûts élevés des prestations terrestres. Le budget moyen oscille autour de 100€ par jour, selon les pays. Si le Mexique et la Bolivie restent abordables, comptez 2000 € pour un 12 jours au Costa Rica.
Ce pays d’Amérique Centrale est d’ailleurs très à la mode en ce moment. Sa nature préservée et sa politique écologie, érigée en norme constitutionnelle, sont fortement appréciées.
L’Argentine, n’est pas en reste avec des séjours dépaysants dans ses estancias. Enfin, le Brésil revient en force avec la coupe du monde et les JO de 2016.
De nombreux hôtels en Amérique du Sud sont de petites tailles, adaptés à un tourisme confidentiel. «Sauf au Mexique, il y a peu de gros resorts » nous confirme Anik le Jean.
De toute façon, l’Amérique du sud ne se prête pas au tourisme de masse. « Ce n’est pas notre marché » ajoute Anik le Jean. « Nous proposons des séjours culturels et sur mesure. Notre clientèle reste haut de gamme ».
Il est vrai que le voyage coûte cher, si l’on compte les billets d’avions, mais aussi les coûts élevés des prestations terrestres. Le budget moyen oscille autour de 100€ par jour, selon les pays. Si le Mexique et la Bolivie restent abordables, comptez 2000 € pour un 12 jours au Costa Rica.
Ce pays d’Amérique Centrale est d’ailleurs très à la mode en ce moment. Sa nature préservée et sa politique écologie, érigée en norme constitutionnelle, sont fortement appréciées.
L’Argentine, n’est pas en reste avec des séjours dépaysants dans ses estancias. Enfin, le Brésil revient en force avec la coupe du monde et les JO de 2016.
Terra group, une affaire qui marche
Toutes ces tendances, Terra Group les a bien senties. Cela fait 12 ans que ce réceptif travaille sur place. Une expérience qui fait sa vraie valeur ajoutée.
Si les responsables restent évasifs concernant les chiffres, Pierre Boyer, l’un des fondateurs estime que le groupe fait 30 à 40 % de croissance par an. Depuis son ouverture en Bolivie en 1998, l’entreprise a ouvert 9 bureaux répartis sur tout le continent.
Des chiffres qui font des envieux. « Depuis quelques années, beaucoup de jeunes montent leur boîte » explique Pierre Boyer. « Mais c’est difficile pour eux car il faut avoir le produit à vendre derrière ».
Ces nouveaux réceptifs qui tentent de se faire une place sur le marché sont bien la preuve de l'engouement pour la destination. Une tendance qui n'est pas prête de se tarir.
Si les responsables restent évasifs concernant les chiffres, Pierre Boyer, l’un des fondateurs estime que le groupe fait 30 à 40 % de croissance par an. Depuis son ouverture en Bolivie en 1998, l’entreprise a ouvert 9 bureaux répartis sur tout le continent.
Des chiffres qui font des envieux. « Depuis quelques années, beaucoup de jeunes montent leur boîte » explique Pierre Boyer. « Mais c’est difficile pour eux car il faut avoir le produit à vendre derrière ».
Ces nouveaux réceptifs qui tentent de se faire une place sur le marché sont bien la preuve de l'engouement pour la destination. Une tendance qui n'est pas prête de se tarir.