Claudio Ucci (à gauche) responsable marketing du salon Park Life a accueilli Gérard Joberton et Vanessa Michy de la région Auvergne
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« Transformer son temps libre en un moment de vie alliant authenticité et qualité. » La formule de Claudio Ucci, responsable du marketing de Park Life, n’a pas manqué de séduire. Le salon 2006 a en effet confirmé son intérêt en attirant dans ses allées, en dépit d’un soleil qui pût faire brûler d’envie de rejoindre les plages, plus de 30 000 visiteurs, professionnels du tourisme et grand public.
Une autre Italie
Ce rendez-vous est l’occasion de souligner l’importance du patrimoine naturel italien, qui représente plus de 10% du territoire, et se compose de 25 parcs nationaux et de 140 parcs régionaux. Il est aussi l’occasion de mettre en valeur des contrées, des villages, des spécificités. Le charme agit de toute part, des contreforts des Alpes aux pentes du Vésuve, du littoral de Capo Rizzuto à la Ombrie, de la province florentine aux environs de Catane.
Les 250 exposants de Park Life ont eu à coeur de mettre à nu l’identité de leurs parcs naturels. Celle-ci s’exprime par la flore, la faune, les villages anciens, la pratique d’activités sportives, mais aussi et parfois surtout par la richesse de la gastronomie. Être à table en Italie, chacun le sait, c’est un art de vivre… Aussi, les producteurs ont-ils fait déguster sans compter leur savoir-faire, de la pasta au prosciutto (jambon), de l’huile d’olive à « l’inénarrable » mozzarella…
Français, Avanti !
Et si Park Life fait tout cela, c’est non seulement pour attirer les citadins italiens, mais également pour voir descendre a la casa les touristes du monde entier. En premier lieu les Français, que les organisateurs tiennent à voir aussi nombreux au champ qu’ils ne le sont dans les villes d’Art. Giuseppe Scutari est guide dans le parc national de Pollino, au sud du pays. « L’Italie doit faire vraiment plus de publicité auprès des Français. C’est le peuple qui marche le plus, une nation qui aime bien manger, comme nous. Leur venue en nombre serait très utile pour le tourisme.»
Tisser des liens avec l’hexagone était l’un des maîtres mots de ce salon. La région Corse, mais également l’Auvergne étaient invitées à cette deuxième édition. Plus qu’une ouverture sur l’extérieur, il s’agissait de réfléchir à un partenariat actif franco-italien.
Vésuve et volcans d’Auvergne
C’est avec cette volonté que Gérard Joberton, directeur du parc naturel régional d’Auvergne, a fait le déplacement à Rome, accompagnée de Vanessa Michy, chargée de relations presse au C.R.D.T. Il a exposé à ses homologues, lors d’une conférence très suivie, les données clés du parc qu’il représente : « 400 000 hectares, quatre régions volcaniques, une densité qui, par endroit, ne dépasse pas trois habitants au km2… »
La présence Gérard Joberton à Parklife consistait à entretenir avec l’Italie des liens scellés à Catane le mois dernier, lors de la création d’une association à dimension européenne sur le thème de la valorisation des volcans. « Il est évident qu’il y a des territoires communs entre les deux pays, et nos deux fédérations souhaitent discuter de façon plus active, et développer des projets en commun. »
Une relation de choix entre l’Auvergne et le parc naturel du Vésuve est aujourd’hui fortement envisagée. Roberto Di Vicenzo, administrateur du salon, l’a confirmé. « Le parc du Vésuve a envie de cet échange avec l’Auvergne. Il y a énormément d’actions à mener entre nos deux régions pour valoriser les volcans et internationaliser encore davantage la présence touristique. »
Une autre Italie
Ce rendez-vous est l’occasion de souligner l’importance du patrimoine naturel italien, qui représente plus de 10% du territoire, et se compose de 25 parcs nationaux et de 140 parcs régionaux. Il est aussi l’occasion de mettre en valeur des contrées, des villages, des spécificités. Le charme agit de toute part, des contreforts des Alpes aux pentes du Vésuve, du littoral de Capo Rizzuto à la Ombrie, de la province florentine aux environs de Catane.
Les 250 exposants de Park Life ont eu à coeur de mettre à nu l’identité de leurs parcs naturels. Celle-ci s’exprime par la flore, la faune, les villages anciens, la pratique d’activités sportives, mais aussi et parfois surtout par la richesse de la gastronomie. Être à table en Italie, chacun le sait, c’est un art de vivre… Aussi, les producteurs ont-ils fait déguster sans compter leur savoir-faire, de la pasta au prosciutto (jambon), de l’huile d’olive à « l’inénarrable » mozzarella…
Français, Avanti !
Et si Park Life fait tout cela, c’est non seulement pour attirer les citadins italiens, mais également pour voir descendre a la casa les touristes du monde entier. En premier lieu les Français, que les organisateurs tiennent à voir aussi nombreux au champ qu’ils ne le sont dans les villes d’Art. Giuseppe Scutari est guide dans le parc national de Pollino, au sud du pays. « L’Italie doit faire vraiment plus de publicité auprès des Français. C’est le peuple qui marche le plus, une nation qui aime bien manger, comme nous. Leur venue en nombre serait très utile pour le tourisme.»
Tisser des liens avec l’hexagone était l’un des maîtres mots de ce salon. La région Corse, mais également l’Auvergne étaient invitées à cette deuxième édition. Plus qu’une ouverture sur l’extérieur, il s’agissait de réfléchir à un partenariat actif franco-italien.
Vésuve et volcans d’Auvergne
C’est avec cette volonté que Gérard Joberton, directeur du parc naturel régional d’Auvergne, a fait le déplacement à Rome, accompagnée de Vanessa Michy, chargée de relations presse au C.R.D.T. Il a exposé à ses homologues, lors d’une conférence très suivie, les données clés du parc qu’il représente : « 400 000 hectares, quatre régions volcaniques, une densité qui, par endroit, ne dépasse pas trois habitants au km2… »
La présence Gérard Joberton à Parklife consistait à entretenir avec l’Italie des liens scellés à Catane le mois dernier, lors de la création d’une association à dimension européenne sur le thème de la valorisation des volcans. « Il est évident qu’il y a des territoires communs entre les deux pays, et nos deux fédérations souhaitent discuter de façon plus active, et développer des projets en commun. »
Une relation de choix entre l’Auvergne et le parc naturel du Vésuve est aujourd’hui fortement envisagée. Roberto Di Vicenzo, administrateur du salon, l’a confirmé. « Le parc du Vésuve a envie de cet échange avec l’Auvergne. Il y a énormément d’actions à mener entre nos deux régions pour valoriser les volcans et internationaliser encore davantage la présence touristique. »