Je constate, avec une certaine incompréhension que, cette année, tout le monde se rue sur l'Océan Indien. Avec chacun, le même leitmotiv: "Nous voulons être le leader sur cette partie du monde". /photo JDL
Cet hiver, qu'on se le dise, c'est l'Océan Indien et on ne discute pas !
Tiens, je parierais même que TUI, qui doit présenter ses nouveautés la semaine prochaine, va lui aussi se jeter, telle la vérole sur le bas clergé, vers ces destinations balnéaires !
Et pourtant, comme le soulignait Emmanuel Foiry, en présentant lui aussi les nouveautés "hiver" de Kuoni France (qui pourrait d'ailleurs bientôt abandonner le nom au profit de Travel Lab), "nous faisons un métier très compliqué et nous sommes concurrencés de toutes parts".
Certes, mais en même temps, la concurrence, ça s'organise, n'est-il pas ?
Or, je constate, avec une certaine incompréhension (mais qui suis-je pour comprendre ?), que, cette année, tout le monde se rue sur l'Océan Indien.
Avec chacun, le même leitmotiv : "Nous voulons être le leader sur cette partie du monde".
En même temps, toujours selon Emmanuel Foiry, "le balnéaire long-courrier, c'est vraiment la foire d'empoigne. Et pourtant, c'est ici que notre valeur ajoutée est la plus réduite" !
N'empêche que chacun y va, persuadé (souvent à juste titre), d'être le meilleur.
Tiens, je parierais même que TUI, qui doit présenter ses nouveautés la semaine prochaine, va lui aussi se jeter, telle la vérole sur le bas clergé, vers ces destinations balnéaires !
Et pourtant, comme le soulignait Emmanuel Foiry, en présentant lui aussi les nouveautés "hiver" de Kuoni France (qui pourrait d'ailleurs bientôt abandonner le nom au profit de Travel Lab), "nous faisons un métier très compliqué et nous sommes concurrencés de toutes parts".
Certes, mais en même temps, la concurrence, ça s'organise, n'est-il pas ?
Or, je constate, avec une certaine incompréhension (mais qui suis-je pour comprendre ?), que, cette année, tout le monde se rue sur l'Océan Indien.
Avec chacun, le même leitmotiv : "Nous voulons être le leader sur cette partie du monde".
En même temps, toujours selon Emmanuel Foiry, "le balnéaire long-courrier, c'est vraiment la foire d'empoigne. Et pourtant, c'est ici que notre valeur ajoutée est la plus réduite" !
N'empêche que chacun y va, persuadé (souvent à juste titre), d'être le meilleur.
Du coup, la concurrence va être particulièrement féroce, d'autant que les OTAs se jettent également à corps perdus dans cette bataille, que les clients eux-mêmes peuvent réserver directement en deux coups de cuillère à pot, sans aucun problème.
L'outil technologique présenté la semaine dernière par Transat, même si pour le moment, il semble réservé au BtoB, sera indubitablement mis à la disposition des clients directs.
Lesquels, en quelques "clics", auront accès à toutes les informations, pourront concevoir leur séjour "à la carte" et, comme les produits sont quasi les mêmes, faire leur choix en fonction du prix.
Et comme, du côté des voyagistes, on va vouloir conserver à tout prix ses propres parts de marché, inéluctablement les tarifs vont baisser…
Au plus grand profit des clients, mais au détriment de la marge de ces TO qui semblent quand même avoir un certain mal à assurer leur pérennité.
J'avoue avoir un certain mal à comprendre cette stratégie, à moins que les TO concernés (parmi, je le répète, des groupes les plus puissants du marché), n'aient décidé que le "volume" compensait aisément la réduction des marges…
L'outil technologique présenté la semaine dernière par Transat, même si pour le moment, il semble réservé au BtoB, sera indubitablement mis à la disposition des clients directs.
Lesquels, en quelques "clics", auront accès à toutes les informations, pourront concevoir leur séjour "à la carte" et, comme les produits sont quasi les mêmes, faire leur choix en fonction du prix.
Et comme, du côté des voyagistes, on va vouloir conserver à tout prix ses propres parts de marché, inéluctablement les tarifs vont baisser…
Au plus grand profit des clients, mais au détriment de la marge de ces TO qui semblent quand même avoir un certain mal à assurer leur pérennité.
J'avoue avoir un certain mal à comprendre cette stratégie, à moins que les TO concernés (parmi, je le répète, des groupes les plus puissants du marché), n'aient décidé que le "volume" compensait aisément la réduction des marges…
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Pourquoi pas ? En même temps, je vois difficilement un "tourisme de masse" s'abattre sur les Seychelles ou Maurice par exemple.
Je ne parle pas des Maldives, ce "paradis" dans lequel je refuse de me rendre pour cause d'incompatibilité de valeurs avec des gens qui parquent leurs citoyens dans la misère la plus complète et punissent de mort des enfants chapardeurs.
Quant à vous, distributeurs, que vos fournisseurs fassent partie du Top 25, du club Platinium ou de je ne sais quelle invention marketeuse pour pomper davantage de commissions, une chose est claire : ces produits sont parfaitement commercialisables sans votre intervention !
C'est peut-être ça, la stratégie ? Uberiser (ou Raymondiser) le marché ?
Bien que, selon Pierre Dac, "rien n'est jamais perdu tant qu'il reste quelque chose à trouver" !
Je ne parle pas des Maldives, ce "paradis" dans lequel je refuse de me rendre pour cause d'incompatibilité de valeurs avec des gens qui parquent leurs citoyens dans la misère la plus complète et punissent de mort des enfants chapardeurs.
Quant à vous, distributeurs, que vos fournisseurs fassent partie du Top 25, du club Platinium ou de je ne sais quelle invention marketeuse pour pomper davantage de commissions, une chose est claire : ces produits sont parfaitement commercialisables sans votre intervention !
C'est peut-être ça, la stratégie ? Uberiser (ou Raymondiser) le marché ?
Bien que, selon Pierre Dac, "rien n'est jamais perdu tant qu'il reste quelque chose à trouver" !