Comment puis-je supporter les seaux de merde que certains commentateurs anonymes me déversent sur les épaules lorsque je n'exprime pas la "pensée correcte" ? Je m'en fous. Je respecte trop la liberté et la démocratie, j'estime que chacun a droit à sa liberté de penser. Seulement, faut quand même pas trop gonfler… © Hagen411 - Fotolia.com
Une de mes consœurs, charmante mais parfois épouvantable (plaisanterie privée), me demandait récemment comment l'on pouvait supporter les seaux de merde que certains commentateurs anonymes me déversaient sur les épaules, lorsque je n'exprimais pas la "pensée correcte".
"Je m'en fous", lui avais-je répondu.
Je respecte trop la liberté et la démocratie, j'estime que chacun a droit à sa liberté de penser.
Seulement, faut quand même pas trop gonfler…
J'ai commis hier un édito qui m'a valu un seau de merde de la part de certains détracteurs, bien trop cachés pour être honnêtes.
Dommage. Mais pour une fois, oui, je vais répondre.
Et oui, j'ai parlé de TUI, arrivé au bruit des bottes il y a dix ans sur le marché français, annonçant à grand fracas après avoir racheté Nouvelles Frontières que l'on "allait voir ce que l'on allait voir".
On n'a rien vu. Si ce n'est que la belle aventure, créée par Jacques Maillot et ses copains, les Pinot (désolé pour l'orthographe), les Landaburu (repose en paix, vieux basque) et les autres n'était devenue qu'un vaste capharnaüm dont personne n'est capable de se dépêtrer !
Et qui aura permis d'engloutir en dix plus d'un milliard d'euros, la mise au chômage de centaines de salariés.
En ces temps difficiles, où les bénéficiaires des restos du cœur vont atteindre le million de personnes, ça fait carrément gerber !
"Je m'en fous", lui avais-je répondu.
Je respecte trop la liberté et la démocratie, j'estime que chacun a droit à sa liberté de penser.
Seulement, faut quand même pas trop gonfler…
J'ai commis hier un édito qui m'a valu un seau de merde de la part de certains détracteurs, bien trop cachés pour être honnêtes.
Dommage. Mais pour une fois, oui, je vais répondre.
Et oui, j'ai parlé de TUI, arrivé au bruit des bottes il y a dix ans sur le marché français, annonçant à grand fracas après avoir racheté Nouvelles Frontières que l'on "allait voir ce que l'on allait voir".
On n'a rien vu. Si ce n'est que la belle aventure, créée par Jacques Maillot et ses copains, les Pinot (désolé pour l'orthographe), les Landaburu (repose en paix, vieux basque) et les autres n'était devenue qu'un vaste capharnaüm dont personne n'est capable de se dépêtrer !
Et qui aura permis d'engloutir en dix plus d'un milliard d'euros, la mise au chômage de centaines de salariés.
En ces temps difficiles, où les bénéficiaires des restos du cœur vont atteindre le million de personnes, ça fait carrément gerber !
Dominique Gobert - DR
Oui, j'ai dit ça, Monsieur Rick, mon ami à moi que j'ai, au risque de radoter.
N'empêche que ce n'est pas encore rentré dans certains esprits obtus…
Oui, j'ai dénoncé la stupidité de ce "mainstream" qui ne veut rien dire…
Pourquoi ne pas simplement parler de "produits standards", de "cœur de métier" pour ces industriels besogneux qui passent leur temps en "meetings" et "conference calls" ? Vous croyez que le client sait ce qu'est le mainstream ?
L'escroquerie des taxes aériennes, disiez-vous, bon Rick ? Si vous aviez des instances professionnelles qui daignent s'en préoccuper…
Mais, chaque fois que j'évoque le sujet, il parait que je n'ai plus d'idées. Faudrait-il que je sois aussi candidat à la Présidence du Syndicat ?
Tiens, en parlant du Syndicat et de l'après-Colson, ce sont les professionnels du métier qui votent. Pas moi.
Mais il serait bon que vous, les professionnels, daigniez un tout petit peu vous occuper de ça. C'est pitoyable, Monsieur Rick qui n'êtes surement pas un sailor (marin, pour les non anglicistes).
N'empêche que ce n'est pas encore rentré dans certains esprits obtus…
Oui, j'ai dénoncé la stupidité de ce "mainstream" qui ne veut rien dire…
Pourquoi ne pas simplement parler de "produits standards", de "cœur de métier" pour ces industriels besogneux qui passent leur temps en "meetings" et "conference calls" ? Vous croyez que le client sait ce qu'est le mainstream ?
L'escroquerie des taxes aériennes, disiez-vous, bon Rick ? Si vous aviez des instances professionnelles qui daignent s'en préoccuper…
Mais, chaque fois que j'évoque le sujet, il parait que je n'ai plus d'idées. Faudrait-il que je sois aussi candidat à la Présidence du Syndicat ?
Tiens, en parlant du Syndicat et de l'après-Colson, ce sont les professionnels du métier qui votent. Pas moi.
Mais il serait bon que vous, les professionnels, daigniez un tout petit peu vous occuper de ça. C'est pitoyable, Monsieur Rick qui n'êtes surement pas un sailor (marin, pour les non anglicistes).
Quant à la revalorisation du métier d'agent de voyages, je n'en sais rien. Et non, je n'ai pas honte.
Peut-être un manque de curiosité de la part de ces conseillers, peut-être un certain désappointement par rapport à leur évolution de carrière, peut-être une mauvaise formation de la part des écoles…
Encore que, moi qui me déplace beaucoup sur tous les rassemblements auxquels participent des agents de voyages, j'ai souvent le sentiment de rencontrer des gens sérieux, motivés et désireux de bien accompagner leurs clients.
Sans doute n'ai-je pas rencontré les bons…
En même temps, cher Rick ami à moi que j'ai, vous semblez contrit que je ne parle pas de votre ami Mas et l'unité de son réseau…
Patience, ça va venir et, effectivement, je ne suis pas sûr de l'unité actuelle (ou à venir) dans le premier réseau de France.
En revanche, je pense bien que notre bon Jean-Pierre restera encore pour un certain temps sur le devant de la scène. Au Snav ? A la tête d'AS Entreprises ? J'y reviendrai, mais laissons le Congrès se passer d'abord…
Pour finir, mais ça n'est qu'un premier épisode, je pense sincèrement qu'il fallait un Nabet à la tête de l'APST. Même si c'est encore compliqué et que le ménage est sacrément difficile.
Quant aux contraintes budgétaires de la distribution, c'est quand même pas à moi de le régler. Et si tel était le cas, ça se saurait !
Peut-être un manque de curiosité de la part de ces conseillers, peut-être un certain désappointement par rapport à leur évolution de carrière, peut-être une mauvaise formation de la part des écoles…
Encore que, moi qui me déplace beaucoup sur tous les rassemblements auxquels participent des agents de voyages, j'ai souvent le sentiment de rencontrer des gens sérieux, motivés et désireux de bien accompagner leurs clients.
Sans doute n'ai-je pas rencontré les bons…
En même temps, cher Rick ami à moi que j'ai, vous semblez contrit que je ne parle pas de votre ami Mas et l'unité de son réseau…
Patience, ça va venir et, effectivement, je ne suis pas sûr de l'unité actuelle (ou à venir) dans le premier réseau de France.
En revanche, je pense bien que notre bon Jean-Pierre restera encore pour un certain temps sur le devant de la scène. Au Snav ? A la tête d'AS Entreprises ? J'y reviendrai, mais laissons le Congrès se passer d'abord…
Pour finir, mais ça n'est qu'un premier épisode, je pense sincèrement qu'il fallait un Nabet à la tête de l'APST. Même si c'est encore compliqué et que le ménage est sacrément difficile.
Quant aux contraintes budgétaires de la distribution, c'est quand même pas à moi de le régler. Et si tel était le cas, ça se saurait !
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