C'est vrai, mais c'est aussi sa nature, Georges Colson est un sensible.
Et quand il dit qu'il « aime », j'aurais tendance à le croire... même si parfois, c'est un peu « je t'aime moi non plus » !
A l'heure du grand changement pour le syndicat, malgré les critiques diverses et variées, certaines justifiées, d'autres moins, quel bilan tirer de cette présidence ?
Du bon, indéniablement, que ce soit sur la refonte de la loi de 92, encore que l'aspect « paracommercialisme » de la profession demeure encore très vague, pour ne pas dire flou, les coffrets-cadeaux, la réforme des statuts...
En revanche, l'aspect fiscal de la profession, notamment le crucial problème de la TVA qui pénalise salement les réceptifs français et porte un tort considérable au Tourisme Français, demeure irrésolu.
Et ne le sera sûrement pas avant des lustres.
Et quand il dit qu'il « aime », j'aurais tendance à le croire... même si parfois, c'est un peu « je t'aime moi non plus » !
A l'heure du grand changement pour le syndicat, malgré les critiques diverses et variées, certaines justifiées, d'autres moins, quel bilan tirer de cette présidence ?
Du bon, indéniablement, que ce soit sur la refonte de la loi de 92, encore que l'aspect « paracommercialisme » de la profession demeure encore très vague, pour ne pas dire flou, les coffrets-cadeaux, la réforme des statuts...
En revanche, l'aspect fiscal de la profession, notamment le crucial problème de la TVA qui pénalise salement les réceptifs français et porte un tort considérable au Tourisme Français, demeure irrésolu.
Et ne le sera sûrement pas avant des lustres.
Mais l'échec le plus patent des mandats successifs de Georges Colson, est incontestablement celui de la communication.
Le président n'a pas réussi à changer l'image de la profession qui se dégrade d'année en année.
La vidéo micro-trottoir de l'ouverture du congrès était éloquente à cet égard...
Il faut dire quand même que l'inertie des pouvoirs publics et l'amateurisme (c'est un euphémisme) de notre ministre du tourisme ne risque pas de faire bouger les politisons.
D'ailleurs, comme le Snav (pardon, le Znav, j'ai entendu moult personnages prononcer Znav) doit renouveler ses cadres, il serait sûrement très futé de la part de notre bon Président-normal-chef de guerre-pas-si mou-que-ça de nous fournir un vrai ministre.
Pour une fois, ça changerait !
Or donc, parmi l'émotion flagrante du discours de Georges, les larmes très poignantes de Nicole Colson, le vrai support de Georges, (et j'ai même surpris Jean-Pierre Mas, les yeux rouges et embués) j'ai, comme Martin Luther King et l'espace d'un instant eu, non pas un rêve, mais la vision d'un autre temps...
Vous voulez-savoir ? Et bien, sachez-le !
Durant son discours d'ouverture de ces Rencontres, le Président n'a eu de cesse de prêcher « L'Union ».
Cette fameuse et très redoutée « Union », entre producteurs et distributeurs.
Le président n'a pas réussi à changer l'image de la profession qui se dégrade d'année en année.
La vidéo micro-trottoir de l'ouverture du congrès était éloquente à cet égard...
Il faut dire quand même que l'inertie des pouvoirs publics et l'amateurisme (c'est un euphémisme) de notre ministre du tourisme ne risque pas de faire bouger les politisons.
D'ailleurs, comme le Snav (pardon, le Znav, j'ai entendu moult personnages prononcer Znav) doit renouveler ses cadres, il serait sûrement très futé de la part de notre bon Président-normal-chef de guerre-pas-si mou-que-ça de nous fournir un vrai ministre.
Pour une fois, ça changerait !
Or donc, parmi l'émotion flagrante du discours de Georges, les larmes très poignantes de Nicole Colson, le vrai support de Georges, (et j'ai même surpris Jean-Pierre Mas, les yeux rouges et embués) j'ai, comme Martin Luther King et l'espace d'un instant eu, non pas un rêve, mais la vision d'un autre temps...
Vous voulez-savoir ? Et bien, sachez-le !
Durant son discours d'ouverture de ces Rencontres, le Président n'a eu de cesse de prêcher « L'Union ».
Cette fameuse et très redoutée « Union », entre producteurs et distributeurs.
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Si j'ai bien compris (j'en connais qui diront que je ne comprends rien à rien, ils ont pas tout à fait tort), le Colson, le vieux Lion, malin et politique, en a remis une dernière couche, particulièrement envers son vieil ennemi René-Marc Chikli, (mais à force, c'est aussi son vieil ami), citant dans un vibrant appel aux accents gaulliens cette fameuse Fédération, rassemblant sous une seule et même bannière, tous les métiers du Tourisme.
« Ensembles, nous ferons peut-être des choses ! »
Un moment de grande qualité, d'autant que Georges Colson laisse percer un tout petit peu sa vision de l'avenir de ces instances professionnelles.
Sans vouloir indiquer une quelconque préférence pour tel ou tel candidat, il donne quand même la marche à suivre : le futur Président du Znav (pardon, c'est le soleil, le Snav) devra aimer son boulot, oublier sa casquette actuelle et devra être le Président de « tous ».
C'est un travail « à temps plein », c'est vrai !
Et si finalement durant les deux mois qu'il lui reste de présidence Znavienne, Georges Colson réussissait à poser la première pierre de cette Fédération à laquelle, après mûre réflexion, il ne serait plus hostile ?
Et si le Président Colson devenait le super Président des Métiers du Tourisme ?
En l'écoutant conclure son (théoriquement) dernier Congrès, j'avoue que l'idée m'a traversé l'esprit... Mais il ne s'agit sans doute là que d'une élucubration de journaleux !
« Ensembles, nous ferons peut-être des choses ! »
Un moment de grande qualité, d'autant que Georges Colson laisse percer un tout petit peu sa vision de l'avenir de ces instances professionnelles.
Sans vouloir indiquer une quelconque préférence pour tel ou tel candidat, il donne quand même la marche à suivre : le futur Président du Znav (pardon, c'est le soleil, le Snav) devra aimer son boulot, oublier sa casquette actuelle et devra être le Président de « tous ».
C'est un travail « à temps plein », c'est vrai !
Et si finalement durant les deux mois qu'il lui reste de présidence Znavienne, Georges Colson réussissait à poser la première pierre de cette Fédération à laquelle, après mûre réflexion, il ne serait plus hostile ?
Et si le Président Colson devenait le super Président des Métiers du Tourisme ?
En l'écoutant conclure son (théoriquement) dernier Congrès, j'avoue que l'idée m'a traversé l'esprit... Mais il ne s'agit sans doute là que d'une élucubration de journaleux !