C’est finalement Alain de Mendonça qui a décidé de reprendre les rênes, peut-être fortement « poussé » par son nouvel actionnaire, Equistone - DR
J’ai toujours en mémoire cette déclaration de Thierry Miremont à l’époque où il prenait la direction de Fram, déjà engluée dans ses malheurs. « Je suis le 5ème patron de Fram, exprimait-il en ce temps-là (qui n’est pas si lointain). Il n’y en aura pas d’autre après moi… » !
Ben si, camarade. Il n’aura d’ailleurs pas tenu bien longtemps, remplacé successivement par Marie-Laurence, la nièce ou la cousine, je ne sais plus très bien, puis avec la reprise par Karavel d’Isabelle Cordier, remerciée chaleureusement et enfin Michel Quenot.
On peut aisément comprendre que ce dernier, homme de bien et de grande humanité ait finalement préféré passer la main.
Entre la reprise de Transat par Tui (prononcez cuit) et Karavel Equistone, ça n’a pas du être très facile. On ne peut d’ailleurs que lui souhaiter plein de bonnes choses pour les nouveaux projets qu’il compte développer.
Or donc, c’est finalement Alain de Mendonça qui a décidé de reprendre les rênes, peut-être fortement « poussé » par son nouvel actionnaire, Equistone.
Ben si, camarade. Il n’aura d’ailleurs pas tenu bien longtemps, remplacé successivement par Marie-Laurence, la nièce ou la cousine, je ne sais plus très bien, puis avec la reprise par Karavel d’Isabelle Cordier, remerciée chaleureusement et enfin Michel Quenot.
On peut aisément comprendre que ce dernier, homme de bien et de grande humanité ait finalement préféré passer la main.
Entre la reprise de Transat par Tui (prononcez cuit) et Karavel Equistone, ça n’a pas du être très facile. On ne peut d’ailleurs que lui souhaiter plein de bonnes choses pour les nouveaux projets qu’il compte développer.
Or donc, c’est finalement Alain de Mendonça qui a décidé de reprendre les rênes, peut-être fortement « poussé » par son nouvel actionnaire, Equistone.
Dominique Gobert - DR
Après tout, ce dernier entend bien « surveiller » de très près son investissement et souhaite très certainement ne pas investir à fonds… perdus !
D’autant que ce « fonds » veut un « retour sur investissement » dans les cinq prochaines années.
Dans ce cas, c’est Mendonça qui va s’y coller, appuyé par sa garde prétorienne « extrêmement rapprochée ». Mais va falloir s’y atteler sérieusement, même si entre Granel, Cadio et surtout cette bonne Michon, directrice commerciale très appréciée de la plupart des distributeurs, l’équipe est plutôt réjouissante.
Encore faudra-t-il retrouver ces clients qui ont, eux aussi vieilli et parfois se sont senti un peu « abandonnés », sans oublier la formidable concurrence qui a bien profité, ce qui est de bonne guerre, des difficultés de Fram depuis ces quelques années !
On ne peut d’ailleurs que souhaiter à Mendonça que le « retour à l’équilibre » se concrétise véritablement en fin d’exercice 2018/2019, même si la tâche risque d’être ardue.
D’autant que ce « fonds » veut un « retour sur investissement » dans les cinq prochaines années.
Dans ce cas, c’est Mendonça qui va s’y coller, appuyé par sa garde prétorienne « extrêmement rapprochée ». Mais va falloir s’y atteler sérieusement, même si entre Granel, Cadio et surtout cette bonne Michon, directrice commerciale très appréciée de la plupart des distributeurs, l’équipe est plutôt réjouissante.
Encore faudra-t-il retrouver ces clients qui ont, eux aussi vieilli et parfois se sont senti un peu « abandonnés », sans oublier la formidable concurrence qui a bien profité, ce qui est de bonne guerre, des difficultés de Fram depuis ces quelques années !
On ne peut d’ailleurs que souhaiter à Mendonça que le « retour à l’équilibre » se concrétise véritablement en fin d’exercice 2018/2019, même si la tâche risque d’être ardue.
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Combien de fois ai-je entendu ces mêmes paroles, notamment de la part d’un grand voyagiste, lequel promet d’année en année un retour à l’équilibre dès la fin de l’exercice…
Ben, c’est comme Godot : on attend toujours ! Espérons qu'ici ce ne soit pas le cas , parce que c’est une jolie entreprise que notre Fram !
En revanche, sans doute parce que la nature a horreur du vide, voilà la renaissance du vieux Lion, « chargé de mission » pour les opérations de Fram au Maroc !
Que l’on ne s’y trompe pas, Georges Colson ne « revient » pas. Et même s’il réside toujours à Toulouse, pas question pour lui de récupérer son bureau !
Il est là pour « conseiller » utilement Alain de Mendonça sur les activités futures de Fram au Maroc.
Ça, c’est bien. En même temps, Colson a aussi une autre mission, en tant que Président de Fram Orange, la filiale marocaine du voyagiste : récupérer, avec l’aval du tribunal de commerce, quelques petits millions d’euros, propriété des sociétés de l’ancien Fram bloqués pour l’instant chez un notaire marocain…
Mendonça déclarait chez un confrère se « sentir plus proche d’un Macron que d’un Mitterrand ».
On comprend mieux pourquoi !
Ben, c’est comme Godot : on attend toujours ! Espérons qu'ici ce ne soit pas le cas , parce que c’est une jolie entreprise que notre Fram !
En revanche, sans doute parce que la nature a horreur du vide, voilà la renaissance du vieux Lion, « chargé de mission » pour les opérations de Fram au Maroc !
Que l’on ne s’y trompe pas, Georges Colson ne « revient » pas. Et même s’il réside toujours à Toulouse, pas question pour lui de récupérer son bureau !
Il est là pour « conseiller » utilement Alain de Mendonça sur les activités futures de Fram au Maroc.
Ça, c’est bien. En même temps, Colson a aussi une autre mission, en tant que Président de Fram Orange, la filiale marocaine du voyagiste : récupérer, avec l’aval du tribunal de commerce, quelques petits millions d’euros, propriété des sociétés de l’ancien Fram bloqués pour l’instant chez un notaire marocain…
Mendonça déclarait chez un confrère se « sentir plus proche d’un Macron que d’un Mitterrand ».
On comprend mieux pourquoi !