Oui, un grand bravo à nos belles et charmantes hôtesses de ce vol, qui prouvent, une fois de plus que le personnel n'est pas responsable de la grande incompétence de ses dirigeants.
Et qu'elles ont une véritable connaissance de leur métier: le passager est au coeur de leurs préoccupations.
J'en ai eu la preuve sur ce vol d'Air France, qui m'a mené, malgré mes incertitudes aux 7emes Rencontres du Snav, pardon du Znav (désolé, mais beaucoup prononcent Znav, j'y peut rien)
Or donc, ce Congrès s'est ouvert sous la présidence d'une Catherine Frécaut enthousiaste, une des figures montantes de cette profession.
La DG de Bourbon Voyages, a su traduire en quelques mots (et en créole) les véritables enjeux de la profession pour demain, suivie en cela (ou ceci, au choix) par les éminents représentants « officiels ».
Ces derniers, apparemment déjà en campagne électorale, n'ont pas manqué de souligner tous les attraits de La Réunion, y compris son cruel manque d'infrastructures hôtelières.
Il est vrai que le Recif, hôtel où nous sommes hébergés, en est un exemple flagrant. Mais bon, on n'est pas là pour rigoler !
J'arrête les digressions, promis. Donc, le Congrès s'est ouvert, une fois que les participants, dont certains repéraient depuis une semaine déjà les parcours de Golf sur l'Île Maurice (juste en face, ils ont eu le pot d'échapper à un nouveau cyclone) arrivés.
Et qu'elles ont une véritable connaissance de leur métier: le passager est au coeur de leurs préoccupations.
J'en ai eu la preuve sur ce vol d'Air France, qui m'a mené, malgré mes incertitudes aux 7emes Rencontres du Snav, pardon du Znav (désolé, mais beaucoup prononcent Znav, j'y peut rien)
Or donc, ce Congrès s'est ouvert sous la présidence d'une Catherine Frécaut enthousiaste, une des figures montantes de cette profession.
La DG de Bourbon Voyages, a su traduire en quelques mots (et en créole) les véritables enjeux de la profession pour demain, suivie en cela (ou ceci, au choix) par les éminents représentants « officiels ».
Ces derniers, apparemment déjà en campagne électorale, n'ont pas manqué de souligner tous les attraits de La Réunion, y compris son cruel manque d'infrastructures hôtelières.
Il est vrai que le Recif, hôtel où nous sommes hébergés, en est un exemple flagrant. Mais bon, on n'est pas là pour rigoler !
J'arrête les digressions, promis. Donc, le Congrès s'est ouvert, une fois que les participants, dont certains repéraient depuis une semaine déjà les parcours de Golf sur l'Île Maurice (juste en face, ils ont eu le pot d'échapper à un nouveau cyclone) arrivés.
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Jean-Pierre Mas, qui villégiaturait « en face » a raté quand même le discours d'ouverture de Georges Colson, qui devrait être en même temps, (samedi prochain), son discours de fermeture...
Autant le dire tout de suite, brillant discours. Pas préparé, mais très bien travaillé. Pas de lamentations, pas de pleurnichements, pas de promesses non plus.
Tout les monde il est beau, tout le monde il est gentil, aurait pu dire le regretté Jean Yanne.
Que des bises à l'ensemble de la profession, un gros poutou au Ceto/Seto et son président bien-aimé, RMC, un clin d'oeil vers le Corse (le seul que je connaisse qui bosse encore un peu, j'en connais un autre, mon nouvel ami mais c'est autre chose et j'ai retrouvé des photos) d'Atout France, un appel du pied (ou du coude) vers Oncle Picsou Nabet, le seul qui possède encore une peu d'oseille.
Malheureusement aphone, ce dernier n'a pu que jeter un oeil désespéré vers la sortie de la salle...
Bref, un joli discours non préparé, mais plein d'astuces. Une sorte de « teasing » pour la clôture du Congrès, samedi soir.
Parce que, mine de rien, le Président du Snav a quand même souligné que ce sont les « adhérents », c'est à dire l'ensemble des professionnels (même s'ils ne sont pas tous là) qui font (et défont) la profession.
Et que cette profession n'est pas appelée à disparaître, à condition, bien sûr, de ne pas baisser les bras... et d'être, peut-être pas soutenue (c'est trop lourd), mais du moins accompagnée par les pouvoirs publics.
Bien évidemment, (et je le crois), Georges Colson a regretté « l'agenda très chargé » de Mademoiselle Pinel, la Ministre.
Faut dire qu'entre jouer les hôtesses d'accueil envers les touristes Chinoas à Roissy (je vous raconterai à mon retour) et sa présence « indispensable » à Paris, elle avait pas le temps de « tester »les plateaux repas d'Air France.
Lesquels, et pour rétablir la vérité, contrairement à ce qu'affirme El Yakoub, le Lang, sont tous à fait corrects. J'ai mangé, c'est vous dire.
Et je peux pas terminer sans citer le déplorable message de Mademoiselle, sur le style Fred Zadig (mais la vidéo a fonctionné).
Pitoyable, la Mademoiselle. Surtout lorsqu'elle annonce que « la concurrence entre réceptifs européens est une saine émulation ».
A ce propos, la TVA entre européens, c'est aussi une saine émulation?
(1) Ou atterré, c'est comme vous voulez!
Autant le dire tout de suite, brillant discours. Pas préparé, mais très bien travaillé. Pas de lamentations, pas de pleurnichements, pas de promesses non plus.
Tout les monde il est beau, tout le monde il est gentil, aurait pu dire le regretté Jean Yanne.
Que des bises à l'ensemble de la profession, un gros poutou au Ceto/Seto et son président bien-aimé, RMC, un clin d'oeil vers le Corse (le seul que je connaisse qui bosse encore un peu, j'en connais un autre, mon nouvel ami mais c'est autre chose et j'ai retrouvé des photos) d'Atout France, un appel du pied (ou du coude) vers Oncle Picsou Nabet, le seul qui possède encore une peu d'oseille.
Malheureusement aphone, ce dernier n'a pu que jeter un oeil désespéré vers la sortie de la salle...
Bref, un joli discours non préparé, mais plein d'astuces. Une sorte de « teasing » pour la clôture du Congrès, samedi soir.
Parce que, mine de rien, le Président du Snav a quand même souligné que ce sont les « adhérents », c'est à dire l'ensemble des professionnels (même s'ils ne sont pas tous là) qui font (et défont) la profession.
Et que cette profession n'est pas appelée à disparaître, à condition, bien sûr, de ne pas baisser les bras... et d'être, peut-être pas soutenue (c'est trop lourd), mais du moins accompagnée par les pouvoirs publics.
Bien évidemment, (et je le crois), Georges Colson a regretté « l'agenda très chargé » de Mademoiselle Pinel, la Ministre.
Faut dire qu'entre jouer les hôtesses d'accueil envers les touristes Chinoas à Roissy (je vous raconterai à mon retour) et sa présence « indispensable » à Paris, elle avait pas le temps de « tester »les plateaux repas d'Air France.
Lesquels, et pour rétablir la vérité, contrairement à ce qu'affirme El Yakoub, le Lang, sont tous à fait corrects. J'ai mangé, c'est vous dire.
Et je peux pas terminer sans citer le déplorable message de Mademoiselle, sur le style Fred Zadig (mais la vidéo a fonctionné).
Pitoyable, la Mademoiselle. Surtout lorsqu'elle annonce que « la concurrence entre réceptifs européens est une saine émulation ».
A ce propos, la TVA entre européens, c'est aussi une saine émulation?
(1) Ou atterré, c'est comme vous voulez!