Le ministre du tourisme jordanien, Makram Mustafa Queisi, en compagnie du docteur Abed Al Razzaq Arabiyat, directeur général du Jordan Tourism Board, hier à Paris (PB)
Destination à l'honneur de la 45e édition d'IFTM Top Resa, qui se tient jusqu'à aujourd'hui Porte de Versailles, à Paris, y est présent en force : non seulement son stand -200 m2- qui accueille plus de 20 réceptifs et régions, est un des plus grands de ce salon dédié au B to B, mais la Jordanie a également surpris en y reproduisant un petit coin de désert : une vaste tente bédouine traditionnelle a en effet été déployée dans un autre espace du salon.
Y sont organisés conférence de presse, événements en tous genres et bien sûr dégustation du mansaf, le plat national. Le tout accompagné de danses et musiques traditionnelles.
La conférence de presse donnée, par le ministre du tourisme jordanien, Makram Mustafa Queisi, en compagnie du docteur Abed Al Razzaq Arabiyat, directeur général du Jordan Tourism Board, a bénéficié de cet accompagnement musical exceptionnel, le ministre et le directeur se mêlant ensuite aux danses traditionnelles tandis qu'étaient servis aux participants une série de délicieux mets jordaniens.
Il est vrai que le marché français est "un des plus fidèles", selon le ministre jordanien qui était ravi d'avoir pu rencontrer sur place de nombreux tour operators.
Pour inciter davantage de Français à venir en Jordanie, une campagne de promotion (affiche dans les rues de Paris et les aéroports parisiens comme dans celui de Lyon et aussi sur les portières des taxis) a été organisée l'année dernière. Elle va être renouvelée car elle a manifestement porté ses fruits.
Selon Muriel Nouchy, fondatrice de l'agence mN'Organisation et représentante du Jordan Tourism Board en France, la Jordanie, a accueilli cette année 63 000 Français du 1er janvier au 31 août. Soit presque le double de l'année dernière et même "très nettement plus qu'en 2019, avant le Covid".
Y sont organisés conférence de presse, événements en tous genres et bien sûr dégustation du mansaf, le plat national. Le tout accompagné de danses et musiques traditionnelles.
La conférence de presse donnée, par le ministre du tourisme jordanien, Makram Mustafa Queisi, en compagnie du docteur Abed Al Razzaq Arabiyat, directeur général du Jordan Tourism Board, a bénéficié de cet accompagnement musical exceptionnel, le ministre et le directeur se mêlant ensuite aux danses traditionnelles tandis qu'étaient servis aux participants une série de délicieux mets jordaniens.
Il est vrai que le marché français est "un des plus fidèles", selon le ministre jordanien qui était ravi d'avoir pu rencontrer sur place de nombreux tour operators.
Pour inciter davantage de Français à venir en Jordanie, une campagne de promotion (affiche dans les rues de Paris et les aéroports parisiens comme dans celui de Lyon et aussi sur les portières des taxis) a été organisée l'année dernière. Elle va être renouvelée car elle a manifestement porté ses fruits.
Selon Muriel Nouchy, fondatrice de l'agence mN'Organisation et représentante du Jordan Tourism Board en France, la Jordanie, a accueilli cette année 63 000 Français du 1er janvier au 31 août. Soit presque le double de l'année dernière et même "très nettement plus qu'en 2019, avant le Covid".
Désaisonnaliser et rajeunir
Danses traditionnelles, hier, à Paris, devant la tente bédouine déployée par la Jordanie au salon IFTM (PB)
Pour le ministre jordanien et le directeur du Jordan Tourism Board, b[l'objectif n'est pas seulement d'augmenter le nombre de touristes français, il est aussi de "désaisonnaliser" la destination. Et de la "rajeunir", en attirant un plus grand nombre de familles. ]b
La diversité de l'offre touristique jordanienne rend cette ambition à portée de main : véritable "musée à ciel ouvert", comme l'a souligné le ministre, le royaume hachémite compte de nombreux sites patrimoniaux où se sont succédé diverses civilisations depuis l'âge de bronze -pas seulement la cité nabatéenne de Petra.
Il abrite aussi le désert et de beaux espaces naturels, des gorges, des chutes d'eau ou encore des vignobles.... S'y ajoutent bien sûr la mer et les plages.
Les amateurs de visites culturelles aussi bien que de randonnée, de canyoning ou de plongée sous-marine y seront donc à la fête. Et puis, a insisté Makram Mustafa Queisi, le ministre du tourisme jordanien, c'est un pays "sûr" où l'on peut voyager en sécurité.
Enfin, la Jordanie qui ne manque pas une occasion de rappeler qu'elle abrite, sur le Jourdain, le lieu où a été baptisé le Christ, mise aussi sur le tourisme religieux. Pour ce pays qui va accueillir prochainement un congrès de directeurs de pèlerinages diocésains, le tourisme religieux représente incontestablement un courant d'affaires important.
La diversité de l'offre touristique jordanienne rend cette ambition à portée de main : véritable "musée à ciel ouvert", comme l'a souligné le ministre, le royaume hachémite compte de nombreux sites patrimoniaux où se sont succédé diverses civilisations depuis l'âge de bronze -pas seulement la cité nabatéenne de Petra.
Il abrite aussi le désert et de beaux espaces naturels, des gorges, des chutes d'eau ou encore des vignobles.... S'y ajoutent bien sûr la mer et les plages.
Les amateurs de visites culturelles aussi bien que de randonnée, de canyoning ou de plongée sous-marine y seront donc à la fête. Et puis, a insisté Makram Mustafa Queisi, le ministre du tourisme jordanien, c'est un pays "sûr" où l'on peut voyager en sécurité.
Enfin, la Jordanie qui ne manque pas une occasion de rappeler qu'elle abrite, sur le Jourdain, le lieu où a été baptisé le Christ, mise aussi sur le tourisme religieux. Pour ce pays qui va accueillir prochainement un congrès de directeurs de pèlerinages diocésains, le tourisme religieux représente incontestablement un courant d'affaires important.