Les fréquentations sont en baisse de -45% pour Transilien, -32% pour TER et -30% pour Keolis - Crédit Valentine Pedoussat SNCF
La SNCF a présenté ses résultats 2020. Impactée par la crise liée au covid-19, et plus marginalement par les grèves de début 2020 liées à la réforme des retraites, le groupe accuse une perte de 3 milliards €.
Sur l'exercice le chiffre d'affaires est en retrait de -14% par rapport à 2019 pour atteindre 30 Mds€. Les conséquences de la crise sanitaire sont estimées par le groupe à 6,8 milliards d'euros.
La dette nette du Groupe s’établit à -38,1 Mds€ un chiffre qui inclus les 25 Mds€ repris par l’État au 1er janvier 2020.
Le trafic passager plonge en 2020. Les activités de transport de voyageurs, et la Grande Vitesse en particulier, sont en net recul, avec une baisse de fréquentation de -48% pour l’ensemble de la Grande Vitesse ferroviaire (TGV INOUi, OUIGO, Eurostar, Thalys etc.), dont -45% en France. Concernant les activités conventionnées, les fréquentations sont en baisse de -45% pour Transilien, -32% pour TER et -30% pour Keolis (Grands réseaux France) par rapport à 2019.
Sur l'exercice le chiffre d'affaires est en retrait de -14% par rapport à 2019 pour atteindre 30 Mds€. Les conséquences de la crise sanitaire sont estimées par le groupe à 6,8 milliards d'euros.
La dette nette du Groupe s’établit à -38,1 Mds€ un chiffre qui inclus les 25 Mds€ repris par l’État au 1er janvier 2020.
Le trafic passager plonge en 2020. Les activités de transport de voyageurs, et la Grande Vitesse en particulier, sont en net recul, avec une baisse de fréquentation de -48% pour l’ensemble de la Grande Vitesse ferroviaire (TGV INOUi, OUIGO, Eurostar, Thalys etc.), dont -45% en France. Concernant les activités conventionnées, les fréquentations sont en baisse de -45% pour Transilien, -32% pour TER et -30% pour Keolis (Grands réseaux France) par rapport à 2019.
Un plan de crise et des mesures d'économies "inédites" mis en place dès avril ont eu un "impact favorable sur la trésorerie disponible du Groupe de 2,5 Mds€ à fin 2020." annonce la SNCF qui souligne sa capacité de rebond.
Le Groupe cite l'exemple du TGV qui "a connu un rebond estival au sortir du 1er confinement avec un retour de 80% des passagers, après avoir atteint un « plus bas » aux mois d'avril et mai avec une fréquentation".
Le Groupe cite l'exemple du TGV qui "a connu un rebond estival au sortir du 1er confinement avec un retour de 80% des passagers, après avoir atteint un « plus bas » aux mois d'avril et mai avec une fréquentation".