La présidente du Cediv et ses administrateurs lors de la soirée de présentation des voeux avec Antonia Hodeau, Cordier Pascal, Frédéric Sainte Marie, Minchella Adriana, Stéphane Fulcrand et Pierre Doucet /photo Cediv
Il y avait beaucoup de monde, mardi soir, pour la traditionnelle présentation des vœux du Cediv.
Oui, j'ai bien dit le Cediv, ces petits artisans, indépendants dans leur âme, solidaires dans l'adversité, résolument tournés vers l'avenir.
Qui se foutent éperdument du parisianisme, des luttes d'égos et qui ne veulent qu'une seule chose : s'offrir le meilleur pour leurs petites entreprises, tout en œuvrant pour une nouvelle conception de la profession.
Bon, d'accord, ils ne font pas toujours les bons choix. Quitter l'alliance avec Manor n'était pas forcément une grande idée, mais bon…
En tout cas, eux, comme Manor d'ailleurs, n'ont pas de problèmes de redistribution des commissions. Chez le Cediv, y'a pas de frais somptuaires, pas de siège délirant et tout est aussi transparent que chez Manor.
Lequel, soit dit en passant, redistribue au minimum 94% des super commissions. En toute transparence, ce qui n'est pas le cas chez le Colonel Grec.
Ceci bien que la Résistance s'organise chez ce dernier avec ceux qui s'interrogent beaucoup sur les fonds qui disparaissent avec l'aisance du pet sur une toile cirée, si je puis me permettre…
Toujours est-il que j'aimerai beaucoup appuyer les vœux du Cediv et de sa Présidente, Adriana.
Lors de leur Congrès, tenu au Portugal, l'appel était clair: entre producteurs et distributeurs, il est indispensable de, non seulement se parler, mais établir des bases saines et constructives, par rapport à une profession et des clients qui évoluent beaucoup plus vite que la musique !
Et c'est vrai. Entre distributeurs, c'est un coup je te vois, un coup je te vois plus.
Oui, j'ai bien dit le Cediv, ces petits artisans, indépendants dans leur âme, solidaires dans l'adversité, résolument tournés vers l'avenir.
Qui se foutent éperdument du parisianisme, des luttes d'égos et qui ne veulent qu'une seule chose : s'offrir le meilleur pour leurs petites entreprises, tout en œuvrant pour une nouvelle conception de la profession.
Bon, d'accord, ils ne font pas toujours les bons choix. Quitter l'alliance avec Manor n'était pas forcément une grande idée, mais bon…
En tout cas, eux, comme Manor d'ailleurs, n'ont pas de problèmes de redistribution des commissions. Chez le Cediv, y'a pas de frais somptuaires, pas de siège délirant et tout est aussi transparent que chez Manor.
Lequel, soit dit en passant, redistribue au minimum 94% des super commissions. En toute transparence, ce qui n'est pas le cas chez le Colonel Grec.
Ceci bien que la Résistance s'organise chez ce dernier avec ceux qui s'interrogent beaucoup sur les fonds qui disparaissent avec l'aisance du pet sur une toile cirée, si je puis me permettre…
Toujours est-il que j'aimerai beaucoup appuyer les vœux du Cediv et de sa Présidente, Adriana.
Lors de leur Congrès, tenu au Portugal, l'appel était clair: entre producteurs et distributeurs, il est indispensable de, non seulement se parler, mais établir des bases saines et constructives, par rapport à une profession et des clients qui évoluent beaucoup plus vite que la musique !
Et c'est vrai. Entre distributeurs, c'est un coup je te vois, un coup je te vois plus.
Je vends en direct ? Et ta sœur ! Moi aussi, je vais proposer à mes clients des voyages fabuleux, sans passer par vos produits ficelés et déjà périmés!
La trésorerie? Mais, tout le monde en manque, c'est plus un secret. Et comme les banques, malgré les grands sourires, c'est quand on a rien à leur demander qu'il faut les rencontrer, on n'avance pas!
Obstinée, Adriana et son petit Cediv de laborieux ne renonce pas pour autant. Parlons-en, dit-elle. Rencontrons nous, mettons les problèmes sur la table. Nous avons besoin les uns des autres.
Au risque de paraitre vieux et obsolète (ouah, obsolète, et ta sœur), pourquoi ne pas se rencontrer ?
Entre qui et qui, allez-vous me dire ? Bonne question, camarades.
Maligne, Adriana a profité de la présence à ses vœux de René-Marc Chickli, pour lui lancer l'invitation. Mais le Seto-Ceto (ou vice et versa, cherchez pas, c'est encore écrit sciemment) pourrait-il parler d'une seule et même voix?
Et puis, du côté des distributeurs, qui va parler ? Chaque tête de réseau ? C'est vrai qu'entre réseaux, c'est pas évident, non ?
Peut-être d'ailleurs, faudrait-il commencer par se parler entre distributeurs…
Délire, dites-vous ? Oui... et non ! Parce que, finalement, si chacun rumine dans son coin, ça va pas faire avancer les choses.
D'autant que les grands producteurs, les "industrieux", eux ont déjà compris que la distribution leur était encore nécessaire.
Et que même s'ils font tous les efforts pour s'en passer, y'a rien à faire, les agences ne sont pas mortes…
Maintenant, y'a plus qu'à…
Nous, en tout cas, on est pour !
Tiens, juste pour rire : le prochain congrès du Cediv se tiendra à Las Palmas, sur le thème de "Tourisme, ton univers impitoyable".
Ça va saigner !
La trésorerie? Mais, tout le monde en manque, c'est plus un secret. Et comme les banques, malgré les grands sourires, c'est quand on a rien à leur demander qu'il faut les rencontrer, on n'avance pas!
Obstinée, Adriana et son petit Cediv de laborieux ne renonce pas pour autant. Parlons-en, dit-elle. Rencontrons nous, mettons les problèmes sur la table. Nous avons besoin les uns des autres.
Au risque de paraitre vieux et obsolète (ouah, obsolète, et ta sœur), pourquoi ne pas se rencontrer ?
Entre qui et qui, allez-vous me dire ? Bonne question, camarades.
Maligne, Adriana a profité de la présence à ses vœux de René-Marc Chickli, pour lui lancer l'invitation. Mais le Seto-Ceto (ou vice et versa, cherchez pas, c'est encore écrit sciemment) pourrait-il parler d'une seule et même voix?
Et puis, du côté des distributeurs, qui va parler ? Chaque tête de réseau ? C'est vrai qu'entre réseaux, c'est pas évident, non ?
Peut-être d'ailleurs, faudrait-il commencer par se parler entre distributeurs…
Délire, dites-vous ? Oui... et non ! Parce que, finalement, si chacun rumine dans son coin, ça va pas faire avancer les choses.
D'autant que les grands producteurs, les "industrieux", eux ont déjà compris que la distribution leur était encore nécessaire.
Et que même s'ils font tous les efforts pour s'en passer, y'a rien à faire, les agences ne sont pas mortes…
Maintenant, y'a plus qu'à…
Nous, en tout cas, on est pour !
Tiens, juste pour rire : le prochain congrès du Cediv se tiendra à Las Palmas, sur le thème de "Tourisme, ton univers impitoyable".
Ça va saigner !
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