Oui, nous a-t-on répondu la plupart du temps.
Les évènements de ces derniers jours n'auront pas d'impact sur le tourisme "réceptif" en France.
J'ai envie de vous dire "gros menteurs" !
Il est vrai que, pour l'instant, les services du MAE n'ont pas ressorti leur carte tragique rouge vermillon et que Paris, la France, ne figurent pas dans la zone "écarlate" pondue par un graphiste visiblement daltonien, il y a quelques temps.
En revanche, chez nous, la portée de ces assassinats ne va-t-elle pas contribuer à la réticence de nos concitoyens à se rendre dans des destinations plutôt marquées, style Tunisie ou Maroc ?
Sans vouloir faire de l'humour de bas étage, j'aurais envie de conseiller à ces touristes en puissance de se rendre à l'étranger en ce moment.
C'est le bon endroit, c'est le bon moment, les gars, faut pas hésiter... car c'est chez nous que ça se passe !
Bon, d'accord, du côté de la Fashion Week masculine (pas franchement mon truc, mais…) qui doit se dérouler du 21 au 25 janvier prochain à Paris, ça craint un peu… Il semblerait même que certains professionnels commencent à décliner les invitations.
Faut quand même dire que l'Amérique, les Etats Unis en particulier, tout en étant "solidaires", n'ont pas franchement brillé par leur présence à Paris ce dimanche.
C'était discret. En revanche, les grands défenseurs de la liberté d'expression, genre Omar Bongo, se pressaient, tel le Sarkozy déchu, pour paraître au premier rang des défileurs "officiels".
Les évènements de ces derniers jours n'auront pas d'impact sur le tourisme "réceptif" en France.
J'ai envie de vous dire "gros menteurs" !
Il est vrai que, pour l'instant, les services du MAE n'ont pas ressorti leur carte tragique rouge vermillon et que Paris, la France, ne figurent pas dans la zone "écarlate" pondue par un graphiste visiblement daltonien, il y a quelques temps.
En revanche, chez nous, la portée de ces assassinats ne va-t-elle pas contribuer à la réticence de nos concitoyens à se rendre dans des destinations plutôt marquées, style Tunisie ou Maroc ?
Sans vouloir faire de l'humour de bas étage, j'aurais envie de conseiller à ces touristes en puissance de se rendre à l'étranger en ce moment.
C'est le bon endroit, c'est le bon moment, les gars, faut pas hésiter... car c'est chez nous que ça se passe !
Bon, d'accord, du côté de la Fashion Week masculine (pas franchement mon truc, mais…) qui doit se dérouler du 21 au 25 janvier prochain à Paris, ça craint un peu… Il semblerait même que certains professionnels commencent à décliner les invitations.
Faut quand même dire que l'Amérique, les Etats Unis en particulier, tout en étant "solidaires", n'ont pas franchement brillé par leur présence à Paris ce dimanche.
C'était discret. En revanche, les grands défenseurs de la liberté d'expression, genre Omar Bongo, se pressaient, tel le Sarkozy déchu, pour paraître au premier rang des défileurs "officiels".
Allons, on va pas s'arrêter comme ça, pour notre grande cause nationale qu'est le tourisme.
D'ailleurs, y'en a qu'ont déjà des idées qui vont d'ailleurs renforcer les fous furieux barbus (et j'ajouterais, bien que l'on ne touche jamais aux habits et au physique, aux crânes en peau de fesse) concernant la prétendue moralité de leurs mœurs.
Figurez-vous (et ça c'est une grande découverte) qu'il existe un syndicat national des Entreprises gaies (SNEG &Co) qui, hasard sans doute mais en tout cas communiquée hier, qui vient de rejoindre le principal syndicat des "métiers et des industries de l'hôtellerie".
Ils vont tout simplement "présenter des pistes pour réinventer la nuit" (sic).
Après tout, pourquoi pas. Mais, avant la nuit, faudrait peut-être songer au jour.
Faudrait peut-être songer à tous ces touristes qui délaissent notre destination parce que nous ne savons pas nous adapter à la demande…
Réinventer la nuit, ça part surement d'une idée très sympa pour les teuffeurs… Qu'ils soient gays ou hétéros, c'est pas le problème.
D'ailleurs, y'en a qu'ont déjà des idées qui vont d'ailleurs renforcer les fous furieux barbus (et j'ajouterais, bien que l'on ne touche jamais aux habits et au physique, aux crânes en peau de fesse) concernant la prétendue moralité de leurs mœurs.
Figurez-vous (et ça c'est une grande découverte) qu'il existe un syndicat national des Entreprises gaies (SNEG &Co) qui, hasard sans doute mais en tout cas communiquée hier, qui vient de rejoindre le principal syndicat des "métiers et des industries de l'hôtellerie".
Ils vont tout simplement "présenter des pistes pour réinventer la nuit" (sic).
Après tout, pourquoi pas. Mais, avant la nuit, faudrait peut-être songer au jour.
Faudrait peut-être songer à tous ces touristes qui délaissent notre destination parce que nous ne savons pas nous adapter à la demande…
Réinventer la nuit, ça part surement d'une idée très sympa pour les teuffeurs… Qu'ils soient gays ou hétéros, c'est pas le problème.
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Mais on est loin, très loin de l'idée première qui consiste à attirer le touriste étranger vers notre pays, que ce soit pour le jour ou pour la nuit.
Tiens, juste pour l'anecdote, j'ai rencontré durant ce week-end conventionnel de Salaün à Bénodet, le patron de la faïencerie Henriot.
Un personnage convivial qui maintient encore à flot la puissance artisanale des vieux métiers, face à la concurrence chinoase et industrielle.
Un artiste en quelque sorte.
Il rêve, pour sa bonne ville bretonne de Quimper, (et de son entreprise) d'un "lâcher de japonaises" (sic et authentique) qui viendraient non seulement admirer ses expositions d'art, mais en plus acheter un "bol" breton… Fabriqué à la main !
Comme quoi, ce ne sont pas les idées qui manquent. Le problème étant simplement que le tourisme, à la moindre crise, s'en prend aussi plein les dents.
Ce qui, bien évidemment, est peu face à en prendre plein la vie…
Tiens, juste pour l'anecdote, j'ai rencontré durant ce week-end conventionnel de Salaün à Bénodet, le patron de la faïencerie Henriot.
Un personnage convivial qui maintient encore à flot la puissance artisanale des vieux métiers, face à la concurrence chinoase et industrielle.
Un artiste en quelque sorte.
Il rêve, pour sa bonne ville bretonne de Quimper, (et de son entreprise) d'un "lâcher de japonaises" (sic et authentique) qui viendraient non seulement admirer ses expositions d'art, mais en plus acheter un "bol" breton… Fabriqué à la main !
Comme quoi, ce ne sont pas les idées qui manquent. Le problème étant simplement que le tourisme, à la moindre crise, s'en prend aussi plein les dents.
Ce qui, bien évidemment, est peu face à en prendre plein la vie…