Tiens, je vois déjà l'ami Rial chausser ses lunettes toutes rondes et se préparer à tirer.
Non, du calme, tout va bien, ce sont juste quelques réflexions qui passent, comme ça, après avoir écouté très attentivement les uns et les autres.
Le Ceto, association des producteurs de voyages français en a un peu marre d'être considéré comme le "faire valoir" de la profession, sans pour autant pouvoir être considéré comme "représentatif" auprès des instances politiques européennes.
Pourtant, en notre pays fabuleux, existe bien un syndicat "représentatif" de la profession, dont, curieusement, l'appellation Syndicat National des Agents de Voyages, ne correspond pas franchement à l'unité de l'ensemble de cette profession.
Ben oui, agents de voyages et TO, ça travaille ensemble, ça vit ensemble, mais ça n'a pas les mêmes préoccupations. C'est pas un scoop, c'est la vraie réalité.
Et pour les "producteurs", indissociables à mon sens de la vie économique de la profession, on aimerait quand même être entendu. Et ne pas être considéré comme une vague association en mal de reconnaissance.
A juste titre, pour être tout à fait objectif (je sais, mais de temps en temps, j'essaie) ! Parce que, des entreprises qui représentent des centaines de salariés ont aussi le droit d'avoir des avis et des revendications légitimes.
Non, du calme, tout va bien, ce sont juste quelques réflexions qui passent, comme ça, après avoir écouté très attentivement les uns et les autres.
Le Ceto, association des producteurs de voyages français en a un peu marre d'être considéré comme le "faire valoir" de la profession, sans pour autant pouvoir être considéré comme "représentatif" auprès des instances politiques européennes.
Pourtant, en notre pays fabuleux, existe bien un syndicat "représentatif" de la profession, dont, curieusement, l'appellation Syndicat National des Agents de Voyages, ne correspond pas franchement à l'unité de l'ensemble de cette profession.
Ben oui, agents de voyages et TO, ça travaille ensemble, ça vit ensemble, mais ça n'a pas les mêmes préoccupations. C'est pas un scoop, c'est la vraie réalité.
Et pour les "producteurs", indissociables à mon sens de la vie économique de la profession, on aimerait quand même être entendu. Et ne pas être considéré comme une vague association en mal de reconnaissance.
A juste titre, pour être tout à fait objectif (je sais, mais de temps en temps, j'essaie) ! Parce que, des entreprises qui représentent des centaines de salariés ont aussi le droit d'avoir des avis et des revendications légitimes.
Bien sûr, comme nous vivons au sein d'une profession plutôt conviviale, l'affect et les égos jouent pour beaucoup dans les relations. Quoique, ce qui était valable il y a une dizaine d'années n'est plus forcément aujourd'hui d'actualité.
Et, il est très vrai que les producteurs ont tout fait pour faire entendre leur voix au sein du Syndicat. Y compris de créer une section "producteurs", avec le Ceto, afin d'unifier et de débattre sous une même bannière. Finalement, une Fédération, c'était pas dénué de sens.
Politiquement, on allait au front ensemble, quitte à régler face à face certains désaccords.
Bien sûr, on a souvent soulevé le "problème" des égos, principalement entre le président du Snav et le Président du Ceto. C'est nul !
Pour les avoir interrogé, et je veux bien les croire, les producteurs considèrent que ce n'est pas un problème et que ce sont eux qui dirigent les opérations (même si entre eux, ils ne sont pas totalement d'accord). Le Président du Ceto est un porte-parole, point !
Au Snav en revanche, le droit d'ainesse prédomine encore… Les habitudes sont là, mais les décisions collégiales n'ont pas souvent été au rendez-vous. C'est dommage, dans ces moments où tout évolue très vite, de camper encore sur des positions d'un autre temps.
Mais il est vrai que, même si la directive européenne sur les voyages à forfaits ne soit pas naquit (eh oui, bis repetita) avant 2016 ou 17, producteurs et distributeurs n'ont pas les mêmes intérêts.
Pourtant, y'avait moyen de discuter… et de trouver une solution commune !
Sans monter un barnum auquel, de toute façon, nos dirigeants politiques ne comprendront toujours rien. Ça, c'est la bonne nouvelle !
Et, il est très vrai que les producteurs ont tout fait pour faire entendre leur voix au sein du Syndicat. Y compris de créer une section "producteurs", avec le Ceto, afin d'unifier et de débattre sous une même bannière. Finalement, une Fédération, c'était pas dénué de sens.
Politiquement, on allait au front ensemble, quitte à régler face à face certains désaccords.
Bien sûr, on a souvent soulevé le "problème" des égos, principalement entre le président du Snav et le Président du Ceto. C'est nul !
Pour les avoir interrogé, et je veux bien les croire, les producteurs considèrent que ce n'est pas un problème et que ce sont eux qui dirigent les opérations (même si entre eux, ils ne sont pas totalement d'accord). Le Président du Ceto est un porte-parole, point !
Au Snav en revanche, le droit d'ainesse prédomine encore… Les habitudes sont là, mais les décisions collégiales n'ont pas souvent été au rendez-vous. C'est dommage, dans ces moments où tout évolue très vite, de camper encore sur des positions d'un autre temps.
Mais il est vrai que, même si la directive européenne sur les voyages à forfaits ne soit pas naquit (eh oui, bis repetita) avant 2016 ou 17, producteurs et distributeurs n'ont pas les mêmes intérêts.
Pourtant, y'avait moyen de discuter… et de trouver une solution commune !
Sans monter un barnum auquel, de toute façon, nos dirigeants politiques ne comprendront toujours rien. Ça, c'est la bonne nouvelle !
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