Selon mon analyse, extrêmement pertinente, Marie-Christine aurait proposé à Georges l'Union Sacrée, en se débarrassant de Cohen. Avec une carte dans la manche pour la sœur de Georges, l'arrivée de Miremont ! - DR
Point important et contrairement à ce que pense mon ami Rick à moi que j'ai, mais qui a d'autres occupations maintenant, il est plus que jamais nécessaire que Fram se tire du (très) mauvais pas dans lequel les querelles familiales l'ont placées.
C'est non seulement indispensable, mais primordial pour l'ensemble du marché en France.
Il n'est, je le pense, pas trop tard. Encore faudrait-il maintenant arrêter les tergiversations et les manœuvres qui ne peuvent que déstabiliser non seulement le personnel, mais également les fournisseurs et les distributeurs de la vieille maison.
Après l'éviction de Daniel Cohen, un reconstructeur (nettoyeur ?), rapide, on pouvait penser qu'un patron, issu de la profession, allait rapidement venir.
Curieusement, le jour même où Daniel Cohen (et donc sa société de reconstruction) étaient virés, on annonçait dans la foulée la nomination de Thierry Miremont.
Ce dernier, contrairement à ce que, dans ma grande naïveté, je croyais, fait aussi partie d'une société chargée de "reconstruire" les entreprises en grande difficulté. Un autre nettoyeur, en quelque sorte…
C'est non seulement indispensable, mais primordial pour l'ensemble du marché en France.
Il n'est, je le pense, pas trop tard. Encore faudrait-il maintenant arrêter les tergiversations et les manœuvres qui ne peuvent que déstabiliser non seulement le personnel, mais également les fournisseurs et les distributeurs de la vieille maison.
Après l'éviction de Daniel Cohen, un reconstructeur (nettoyeur ?), rapide, on pouvait penser qu'un patron, issu de la profession, allait rapidement venir.
Curieusement, le jour même où Daniel Cohen (et donc sa société de reconstruction) étaient virés, on annonçait dans la foulée la nomination de Thierry Miremont.
Ce dernier, contrairement à ce que, dans ma grande naïveté, je croyais, fait aussi partie d'une société chargée de "reconstruire" les entreprises en grande difficulté. Un autre nettoyeur, en quelque sorte…
J'avoue que j'en suis resté (et que j'en reste) encore un peu perplexe. Et si tout ceci n'était pas une dernière charge menée par la sœur de Georges Colson, afin de reprendre le pouvoir ?
Si j'en crois mon gros nez, le plan de Daniel Cohen passait par une négociation avec les banques afin de prolonger l'avance de 9 millions d'euros (et qui arrivait à échéance à la fin juillet).
Cette négociation aurait été soumise néanmoins à la garantie personnelle des deux actionnaires majoritaires de Fram, soit Georges Colson et Marie-Christine Chaubet. Vous suivez ?
Or, si j'en crois toujours mon gros nez, Georges Colson a tout mis dans l'entreprise. Toutes ses économies, y compris ce qu'il gardait pour ses vieux jours (et ceux de ses enfants).
C'est tout à son honneur, parce que le vieux lion croit, même s'il a fait de lourdes erreurs, sans vouloir écouter les conseils, à son entreprise.
Marie-Christine Chaubet, elle, n'a pas digéré son éviction de la direction. Et elle a de l'argent. De quoi rassurer les banques… Et permettre d'attendre l'arrivée d'un nouvel investisseur.
Marie-Christine Chaubet, pas plus que Georges Colson d'ailleurs, ne supportaient Daniel Cohen.
Si j'en crois mon gros nez, le plan de Daniel Cohen passait par une négociation avec les banques afin de prolonger l'avance de 9 millions d'euros (et qui arrivait à échéance à la fin juillet).
Cette négociation aurait été soumise néanmoins à la garantie personnelle des deux actionnaires majoritaires de Fram, soit Georges Colson et Marie-Christine Chaubet. Vous suivez ?
Or, si j'en crois toujours mon gros nez, Georges Colson a tout mis dans l'entreprise. Toutes ses économies, y compris ce qu'il gardait pour ses vieux jours (et ceux de ses enfants).
C'est tout à son honneur, parce que le vieux lion croit, même s'il a fait de lourdes erreurs, sans vouloir écouter les conseils, à son entreprise.
Marie-Christine Chaubet, elle, n'a pas digéré son éviction de la direction. Et elle a de l'argent. De quoi rassurer les banques… Et permettre d'attendre l'arrivée d'un nouvel investisseur.
Marie-Christine Chaubet, pas plus que Georges Colson d'ailleurs, ne supportaient Daniel Cohen.
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Selon mon analyse, extrêmement pertinente, Marie-Christine aurait proposé à Georges l'Union Sacrée, en se débarrassant de Cohen. Avec une carte dans la manche pour la sœur de Georges, l'arrivée de Miremont !
Parce que, quand même, les sociétés chargées de "reconstruire" les entreprises en déroute, ne sont quand même pas pléthore. Les contrats se préparent, non ? Or, si je ne m'abuse, tout ceci a été réglé en 48h, peut-être 72h ?
En contrepartie de cette union, Marie-Christine aurait très bien pu assurer, au nom de Georges, la caution réclamée par les banques. De plus, si j'en crois certaines sources proches du dossier, Olivier de Nicola avait les faveurs de Madame Chaubet… et que Thierry Miremont et de Nicola se connaissent.
J'ai bien l'impression que les choses se sont ainsi déroulées et que de sacrée, l'union soit belle et bien forcée.
D'un autre côté, si ça peut enfin faire avancer l'entreprise, je crois que personne ne s'en plaindra… et que l'amertume de Georges sera largement compensée par la renaissance d'une belle entreprise à laquelle il a consacré toute sa vie.
Ne manque plus qu'un investisseur… qui, selon mon gros nez, devrait arriver fissa !
Parce que, quand même, les sociétés chargées de "reconstruire" les entreprises en déroute, ne sont quand même pas pléthore. Les contrats se préparent, non ? Or, si je ne m'abuse, tout ceci a été réglé en 48h, peut-être 72h ?
En contrepartie de cette union, Marie-Christine aurait très bien pu assurer, au nom de Georges, la caution réclamée par les banques. De plus, si j'en crois certaines sources proches du dossier, Olivier de Nicola avait les faveurs de Madame Chaubet… et que Thierry Miremont et de Nicola se connaissent.
J'ai bien l'impression que les choses se sont ainsi déroulées et que de sacrée, l'union soit belle et bien forcée.
D'un autre côté, si ça peut enfin faire avancer l'entreprise, je crois que personne ne s'en plaindra… et que l'amertume de Georges sera largement compensée par la renaissance d'une belle entreprise à laquelle il a consacré toute sa vie.
Ne manque plus qu'un investisseur… qui, selon mon gros nez, devrait arriver fissa !