Intrigant aussi ce communiqué publié par le Groupe Dubreuil qui, en annonçant sa « séparation » avec Patrick Malval, « entend retrouver une plus grande proximité et une meilleure interaction avec les équipes d’encadrement de la Compagnie ». - DR Air Caraïbes
En relisant l’interview qu’avait accordé Patrick Malval à nos confrères du QdT pas plus tard que le 10 mai dernier, je me demande si ce départ ne s’est pas fait à l’insu de son plein gré…
Est-ce bien raisonnable ? Je n’en sais trop rien. Sans doute, mais peut-on vraiment savoir ? Car comme l’ensemble des compagnies françaises, l’hiver n’a pas été aussi sympa qu’il aurait dû l’être.
A moins qu’il n’y ait eu ce que l’on appelle en termes politiquement corrects, quelques « divergences d’opinion sur la stratégie » ! Sait-on jamais ?
Une chose est cependant sûre: il s'est fait virer, vite fait. Bien, je ne sais pas...
Toujours est-il que la « gouvernance » de la compagnie change et que Jean-Paul Dubreuil, que l’on disait enclin à « prendre un peu de recul », (je n’emploie pas le terme de « retraite », allons !), reprend en quelque sorte, la main en devenant désormais Président du Conseil d’Administration d’Air Caraïbes.
Quant à Marc Rochet, lequel avait lui clairement souhaité prendre un peu de « large », la retraite c’est vraiment pas encore pour aujourd’hui : non seulement il garde la présidence de French Bee, mais il cumule maintenant en devenant également vice-président du Conseil d’Administration.
Est-ce bien raisonnable ? Je n’en sais trop rien. Sans doute, mais peut-on vraiment savoir ? Car comme l’ensemble des compagnies françaises, l’hiver n’a pas été aussi sympa qu’il aurait dû l’être.
A moins qu’il n’y ait eu ce que l’on appelle en termes politiquement corrects, quelques « divergences d’opinion sur la stratégie » ! Sait-on jamais ?
Une chose est cependant sûre: il s'est fait virer, vite fait. Bien, je ne sais pas...
Toujours est-il que la « gouvernance » de la compagnie change et que Jean-Paul Dubreuil, que l’on disait enclin à « prendre un peu de recul », (je n’emploie pas le terme de « retraite », allons !), reprend en quelque sorte, la main en devenant désormais Président du Conseil d’Administration d’Air Caraïbes.
Quant à Marc Rochet, lequel avait lui clairement souhaité prendre un peu de « large », la retraite c’est vraiment pas encore pour aujourd’hui : non seulement il garde la présidence de French Bee, mais il cumule maintenant en devenant également vice-président du Conseil d’Administration.
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Bref, c’est une petite révolution qui très certainement, peut laisser penser que quelques « changements » vont se produire au sein de la compagnie, pour ne pas dire du Groupe Dubreuil.
Pourtant, si je ne m’abuse, Jean-Paul Dubreuil, sans le clamer partout, avait bien essayé ou du moins laissé entendre qu’il ne serait pas opposé à vendre sa compagnie…
Certes, à un prix tel que, même les plus fortunés des investisseurs potentiels en avaient eu un hoquet de surprise.
Intrigant aussi ce communiqué publié par le Groupe Dubreuil qui, en annonçant sa « séparation » avec Patrick Malval, « entend retrouver une plus grande proximité et une meilleure interaction avec les équipes d’encadrement de la Compagnie ».
Est-ce à dire que chacun évoluait dans son coin ? Non, impossible, Dubreuil a toujours été très attentif à la bonne marche de ses affaires…
Mais là, Dubreuil reprend les affaires, d'une main de... fer et sans rire. Mais l'homme sait-il ce que signifie ce mot?
A moins que, - mais où vais-je chercher des trucs pareils, je me le demande - le Conseil d’Administration puisse, par la vente de d’une partie des action ouvrir le Groupe à de nouveaux venus ?
Après tout, un Conseil d’Administration, ça va, ça vient, c’est comme la queue du chien ou la dérive d’un aéroplane.
Pourtant, si je ne m’abuse, Jean-Paul Dubreuil, sans le clamer partout, avait bien essayé ou du moins laissé entendre qu’il ne serait pas opposé à vendre sa compagnie…
Certes, à un prix tel que, même les plus fortunés des investisseurs potentiels en avaient eu un hoquet de surprise.
Intrigant aussi ce communiqué publié par le Groupe Dubreuil qui, en annonçant sa « séparation » avec Patrick Malval, « entend retrouver une plus grande proximité et une meilleure interaction avec les équipes d’encadrement de la Compagnie ».
Est-ce à dire que chacun évoluait dans son coin ? Non, impossible, Dubreuil a toujours été très attentif à la bonne marche de ses affaires…
Mais là, Dubreuil reprend les affaires, d'une main de... fer et sans rire. Mais l'homme sait-il ce que signifie ce mot?
A moins que, - mais où vais-je chercher des trucs pareils, je me le demande - le Conseil d’Administration puisse, par la vente de d’une partie des action ouvrir le Groupe à de nouveaux venus ?
Après tout, un Conseil d’Administration, ça va, ça vient, c’est comme la queue du chien ou la dérive d’un aéroplane.
Je remarque également que les « proches » historiques de la compagnie, Olivier Besnard notamment, bénéficient de ce que l’on peut appeler des « promotions », à tel point que les directeurs généraux vont devenir pléthore. Quasi une armée mexicaine !
Sans doute histoire de les préserver et éventuellement leur garantir un petit parachute en cas de changement de majorité au sein du nouveau Conseil d’Administration.
Certes, Marc Rochet qui reste, quoi qu’on en pense, le véritable stratège de la filiale aérienne du Groupe, ne croit pas (ou ne veut pas y croire) à une certaine forme de consolidation.
Pas plus que son homologue de Corsair, mon nouvel ami à moi que j'ai, Pascal de Izaguirre, qui me le disait pas plus tard qu’il y a une quinzaine de jours, lors du vol inaugural de la compagnie vers Miami.
N’empêche qu’une première tentative avait bien failli réussir il y a quelques années à peine…
Parfois, il faut aussi parfois savoir remettre sur le métier… son ouvrage, n’est-il pas ?
Sans doute histoire de les préserver et éventuellement leur garantir un petit parachute en cas de changement de majorité au sein du nouveau Conseil d’Administration.
Certes, Marc Rochet qui reste, quoi qu’on en pense, le véritable stratège de la filiale aérienne du Groupe, ne croit pas (ou ne veut pas y croire) à une certaine forme de consolidation.
Pas plus que son homologue de Corsair, mon nouvel ami à moi que j'ai, Pascal de Izaguirre, qui me le disait pas plus tard qu’il y a une quinzaine de jours, lors du vol inaugural de la compagnie vers Miami.
N’empêche qu’une première tentative avait bien failli réussir il y a quelques années à peine…
Parfois, il faut aussi parfois savoir remettre sur le métier… son ouvrage, n’est-il pas ?