Tout le monde se souvient encore du coup de gueule de la Présidente du Cédiv, Adriana, la bouillante méditerranéenne contre un autre bouillant du Sud, Pascal de Izaguirre, peu avant Top Résa.
Une maladresse de TUI France, proposant des produits à ses clients sur Facebook, moins chers que les mêmes produits vendus en agences…
Révolte, vitupérations, avec, certainement, une part de la Comedia dell Arte, mais qui a vite fait bien fait, reculer le géant industriel.
Curieusement d'ailleurs, ce sont les petits, une fois de plus, qui sont montés au créneau.
Et, une fois l'émotion passée, comme à leur habitude, ces petits, qui tiennent essentiellement à la bonne marche de leurs entreprises, au respect de la parole donnée et à la juste rémunération pour tous, ont vite compris que la guerre n'était pas une bonne idée.
Fidèle à ses habitudes, Adriana a vite engagée les discussions. Avec l'aide son consigliere favori, ce cher Pedro Maoula ! Discussions auxquelles l'industriel TUI a répondu immédiatement, parce que, lui aussi, est loin d'être idiot.
Ce qui est quand même réconfortant. Faut dire quand même que la conjoncture est loin d'être terrible et que chacun a ses difficultés.
Pour les agences de voyages, les indépendantes, composées exclusivement de patrons gestionnaires de leurs entreprises, solidaires les uns des autres mais malgré tout farouchement indépendants, c'est une lutte permanente pour la survie de leurs entreprises.
De leur côté, les industriels sont aussi en proie à de grandes difficultés, particulièrement ces gros groupes internationaux.
Des groupes régis par des actionnaires qui ne voient que leur dividendes et se foutent totalement des spécificités des marchés qu'ils ont envahis à coups de massue…
Une maladresse de TUI France, proposant des produits à ses clients sur Facebook, moins chers que les mêmes produits vendus en agences…
Révolte, vitupérations, avec, certainement, une part de la Comedia dell Arte, mais qui a vite fait bien fait, reculer le géant industriel.
Curieusement d'ailleurs, ce sont les petits, une fois de plus, qui sont montés au créneau.
Et, une fois l'émotion passée, comme à leur habitude, ces petits, qui tiennent essentiellement à la bonne marche de leurs entreprises, au respect de la parole donnée et à la juste rémunération pour tous, ont vite compris que la guerre n'était pas une bonne idée.
Fidèle à ses habitudes, Adriana a vite engagée les discussions. Avec l'aide son consigliere favori, ce cher Pedro Maoula ! Discussions auxquelles l'industriel TUI a répondu immédiatement, parce que, lui aussi, est loin d'être idiot.
Ce qui est quand même réconfortant. Faut dire quand même que la conjoncture est loin d'être terrible et que chacun a ses difficultés.
Pour les agences de voyages, les indépendantes, composées exclusivement de patrons gestionnaires de leurs entreprises, solidaires les uns des autres mais malgré tout farouchement indépendants, c'est une lutte permanente pour la survie de leurs entreprises.
De leur côté, les industriels sont aussi en proie à de grandes difficultés, particulièrement ces gros groupes internationaux.
Des groupes régis par des actionnaires qui ne voient que leur dividendes et se foutent totalement des spécificités des marchés qu'ils ont envahis à coups de massue…
Ce qui d'ailleurs, met souvent en déséquilibre certains patrons français de ces gros groupes le c... entre deux chaises : d'un côté l'actionnaire, qui, fort de sa stratégie "universelle", entend dicter sa loi sur le monde.
De l'autre, les spécificités de ces marchés, particulièrement le marché gaulois, qui n'entend pas se laisser dictaturer sans réagir.
Bref, c'est dur pour tout le monde !
Mais au moins, les portes ne sont pas fermées.
On en veut pour preuve que la semaine dernière, entre "Cediviens" et les grands groupes, on s'est rencontré. On s'est parlé. On s'est entendu ?
Pas sûr, mais néanmoins, chacun est conscient des enjeux. Les agents de voyages, qui, de leur propre aveu, ne "sont que des agents de voyages", sont très réalistes.
Ne pas vendre un Marmara (ce n'est qu'un exemple) ? Oui, on pourrait, mais combien de temps ?
Parce que si un Marmara (ou un autre) n'était pas là, qui pourrait le remplacer ?
Faut être réaliste. En même temps, un Marmara, sans agences distributrice, les petits qui connaissent bien les habitudes et les goûts de leurs clients, pourrait-il vivre pleinement sans eux ?
Et, accessoirement, verser quelque substantielle rémunération à ses actionnaires ?
Si l'on s'attarde une seconde sur les pertes de ces dernières années, c'est pas sûr non plus !
En fait, c'est un peu le jeu du "je te tiens, tu me tiens par la barbichette" - ou ce que vous voulez d'ailleurs…
Et, comme les problématiques sont les mêmes entre tous ces "partenaires", la discussion est toujours une excellente idée… qui finit toujours par déboucher sur une solution.
Réaliste et qui, souvent, permet de préserver des vies.
Amen !
De l'autre, les spécificités de ces marchés, particulièrement le marché gaulois, qui n'entend pas se laisser dictaturer sans réagir.
Bref, c'est dur pour tout le monde !
Mais au moins, les portes ne sont pas fermées.
On en veut pour preuve que la semaine dernière, entre "Cediviens" et les grands groupes, on s'est rencontré. On s'est parlé. On s'est entendu ?
Pas sûr, mais néanmoins, chacun est conscient des enjeux. Les agents de voyages, qui, de leur propre aveu, ne "sont que des agents de voyages", sont très réalistes.
Ne pas vendre un Marmara (ce n'est qu'un exemple) ? Oui, on pourrait, mais combien de temps ?
Parce que si un Marmara (ou un autre) n'était pas là, qui pourrait le remplacer ?
Faut être réaliste. En même temps, un Marmara, sans agences distributrice, les petits qui connaissent bien les habitudes et les goûts de leurs clients, pourrait-il vivre pleinement sans eux ?
Et, accessoirement, verser quelque substantielle rémunération à ses actionnaires ?
Si l'on s'attarde une seconde sur les pertes de ces dernières années, c'est pas sûr non plus !
En fait, c'est un peu le jeu du "je te tiens, tu me tiens par la barbichette" - ou ce que vous voulez d'ailleurs…
Et, comme les problématiques sont les mêmes entre tous ces "partenaires", la discussion est toujours une excellente idée… qui finit toujours par déboucher sur une solution.
Réaliste et qui, souvent, permet de préserver des vies.
Amen !
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